Organisée en mai dernier à Ottawa, la deuxième édition du « Concours U7+ des universités » a une nouvelle fois mis en évidence les difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes du continent qui aspirent à poursuivre leurs cursus de formation en Occident. Au nombre de ces écueils persistants, l’obtention des visas.
Le 8 septembre, notre correspondant en RDC, Stanis Bujakera Tshiamala, a été arrêté à l’aéroport de N’Djili, à Kinshasa. Nous nous associons ici à l’appel exigeant sa libération, lancé par le collectif « Carte blanche ».
Le départ de l’artiste sénégalais de son poste de ministre conseiller auprès de Macky Sall et de la coalition présidentielle augure-t-il une trajectoire personnelle ?
Hier parent pauvre des politiques publiques, la défense des droits à la santé et à la retraite est aujourd’hui devenue la priorité des nouvelles autorités de transition, qui ont bien compris que les prestations sociales étaient le socle du bien-être des populations, et le meilleur moyen d’assurer la stabilité politique du pays.
Avec le coup d’État du 30 août 2023, le pays entre dans une longue période d’incertitude institutionnelle. Il va devoir, selon Pascal Mbongo, surmonter d’importantes difficultés de mise en œuvre de la démocratie.
Plutôt courants lorsque les contre-pouvoirs sont trop faibles pour défendre les institutions, les putschs ne sont pas une exception africaine. Mais sur le continent, les condamnations à géométrie variable de Paris suscitent quelques interrogations.
Le 6 septembre, le magazine mensuel France Football a publié la short-list des footballeurs qui restent en lice dans l’attribution du prochain Ballon d’or. L’Afrique y dénombre ses ressortissants.
Les plus récentes données économiques publiées par le Fonds monétaire international indiquent que le podium des pays africains les plus riches n’a pas varié. Le reste du top 10 a connu quelques changements.
Le parti au pouvoir est sorti largement vainqueur des élections régionales et municipales. Une page politique se tourne et les regards se braquent déjà sur la présidentielle de 2025.
Ce lundi s’est ouverte la toute première conférence internationale consacrée aux questions climatiques en Afrique. Un « Africa Climate Summit » qui ne suscite guère que scepticisme et critiques.
Malgré la fin du dispositif Barkhane en novembre 2022, l’enjeu d’un droit d’inventaire demeure essentiel, selon Marc-Antoine Pérouse de Montclos. Il importe, en effet, de tirer les leçons des échecs passés à l’heure où le Niger et le Gabon tombent à leur tour sous le joug de juntes militaires.
La décision du ministre français de l’Éducation nationale fait couler beaucoup d’encre et de salive. Pour le président de SOS Racisme, invoquer la laïcité pour interdire des vêtements dont la signification reste ambiguë interroge profondément.
Le premier Sommet africain sur le climat s’ouvre le 4 septembre à Nairobi. Pour la ministre allemande de la Coopération économique et du Développement, qui formule des propositions concrètes au nom de son pays, cet événement démontrera que l’Afrique peut jouer un rôle majeur dans la résolution de cette crise planétaire.
Face à la croissance des besoins en conseil des entreprises, il faut redoubler d’efforts dans la formation des avocats spécialistes du secteur de la tech, souligne Hyssein Mezher Ambouroue, directeur Afrique et Moyen-Orient du cabinet de recrutement Morgan Philips.
Malgré les efforts de la communauté internationale, les combats s’intensifient, principalement au Darfour et à Khartoum, empêchent l’acheminement de l’aide humanitaire et condamnent des milliers de personnes à chercher refuge dans les pays voisins. En cause, selon Amadou Sadjo Barry : la multiplicité d’acteurs.
L’Algérie refuse que le coup d’État au Niger ne devienne un « fait accompli », tout en souhaitant concéder aux putschistes plusieurs mois de transition.
Le récent sommet des Brics à Johannesburg a marqué un moment clé dans les discussions économiques mondiales. Dans un monde de plus en plus multipolaire, la rencontre annuelle a attiré l’attention sur la poursuite d’un ordre économique mondial diversifié, en particulier en réponse à la domination de la gouvernance économique occidentale.
Dans son discours annuel lors de la conférence des ambassadeurs français, le président de l’Hexagone a répété sa conviction que trois États africains auraient disparu si Paris n’était pas intervenu militairement au Sahel.
Dans une adresse à Bukavu, le prix Nobel de la paix 2018 s’est dit « inquiet » pour le processus électoral, et il a souhaité galvaniser la jeunesse. Esquisse d’une candidature ?
Entre la montée des conservatismes et la primauté des questions du genre sur le droit, les femmes se retrouvent prises en étau entre deux formes d’invisibilité.
Alors que le front favorable à une intervention militaire se fissure, le Niger vient d’autoriser le Mali et le Burkina Faso à envoyer leurs troupes à sa rescousse en cas d’attaque.
L’avocat d’Ousmane Sonko aide-t-il vraiment son client en jouant le matamore ? Ne devrait-il pas laisser la place aux conseils sénégalais de l’opposant ?
À la suite de dysfonctionnements, les élections zimbabwéennes sont prolongées d’une journée. Signe de fraude ou de bonne volonté de la part du régime Mnangagwa ?
La procédure de destitution déposée mi-août contre le président angolais a très peu de chances d’aboutir, mais peut-être le poussera-t-elle à revoir sa politique.
Ces dernières semaines, à mesure que la date des élections présidentielle, législatives et locales se rapproche, une certaine fébrilité semble peu à peu gagner les autorités gabonaises. Plusieurs mesures et décisions suscitent des questions.