Catherine Samba-Panza presque oubliée, Joyce Banda visée par un mandat d’arrêt, Ellen Johnson Sirleaf dans les cartons : que restera-t-il demain des présidentes africaines ?
Dans mes souvenirs d’enfance, le 25 juillet est un jour férié. Pour la Tunisie, c’est une date qui symbolise le passage d’une monarchie de plus de deux cent cinquante ans à une République. Le passage choisi par l’élite politique tunisienne pour entrer dans la modernité. Un temps fort qui revêt plusieurs significations, d’autant qu’une lecture de la République a été réactivée après la chute du régime, en 2011.
Dans une République démocratique du Congo où tout reste à faire et à rebâtir, les opportunités sont plus intéressantes que jamais pour celui qui saura parier sur la période post-crise.
Ancien ministre et acteur associatif culturel, Driss Alaoui Mdaghri nous parle culture. « Elle est là, vivante, vivifiante, multiple et diverse et se renouvelle sans cesse malgré les dérives ».
Pour Abdelaziz Enasri, la transition vers un système de change flexible du dirham n’est pas une mesure isolée mais plutôt la dernière pierre des réformes financières et bancaires menées par l’actuel gouverneur de la banque centrale. Il appelle également les banques à se responsabiliser, pour ne pas vendre des produits de couverture contre le risque de change tout en alimentant ce risque en spéculant.
Une première gay pride vient de se tenir dans la capitale de Namibie. Mais tout n’est pas encore rose pour les homosexuels namibiens, ni même couleur arc-en-ciel…
En 2015, 530 000 personnes ont été emportées par le cancer en Afrique subsaharienne. Un chiffre comparable aux dégâts causés par le sida ou le paludisme : respectivement 860 000 et 627 000 morts sur le continent la même année*. Mais ces ordres de grandeur similaires ont quelque chose de trompeur.
Après la sortie du Président macron établissant un lien entre le boom démocratique en Afrique et les difficultés de stabilisation financière des économies africaines, c’est au tour des parlementaires d’Afrique de l’Ouest de marteler leur volonté de limiter les naissances.
C’est les vacances, hourra, mais rien ne nous oblige à bronzer idiots. Faisons donc un test, amis lecteurs, au bord de la mer, sur le flanc de la dune ou là-haut sur la montagne. Vous vous êtes munis d’un crayon, d’une gomme et d’une feuille de papier ? Excellent. Allons-y !
Jugée peu ressemblante, une statue de la chanteuse Beyoncé a été corrigée, dans un musée de New York. A quel point la couleur de peau de la sculpture était-elle le problème ?…
« Et maintenant, on partage ? » Il y a un an, bien avant les grèves des fonctionnaires et la fronde des militaires, Jeune Afrique s’interrogeait sur la capacité du gouvernement de Daniel Kablan Duncan à mieux répartir les fruits du réveil économique de l’éléphant ivoirien.
Combien de fois ce concept lancé par le président Alassane Ouattara a été prononcé par les actuels dirigeants de la Côte d’Ivoire ? Une belle expression, sinon un slogan, qui brille autant par sa beauté littérale que par sa vacuité.
Après une « réplique tellurique » à Ouagadougou, le séisme provoqué par la déclaration d’Emmanuel Macron sur la fécondité africaine continue de secouer…
Richard Arlove, directeur général d’ABAX – un prestataire international de services fiduciaires, de conseil et d’affaires basé à Maurice -, appelle à revoir et assainir les modes de gouvernance dans les entreprises africaines afin d’améliorer leur valorisation et de faciliter les processus de transmission, de cession et d’ouverture du capital.
La communauté internationale a fait un grand pas vers la lutte contre l’impunité pour les crimes atroces en adoptant le 17 juillet 1998 le Statut de Rome, traité qui a permis d’instituer en 2002 la Cour pénale internationale (CPI), le premier tribunal pénal international permanent de l’Histoire chargé de juger les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité, le génocide et le crime d’agression.
Le dernier sommet de l’Union africaine, qui s’est tenu début juillet à Addis-Abeba, s’est intéressé au sort de la jeunesse du continent, actuellement livrée à elle-même dans moult pays.
Un nouveau rapport confirme que les ressources naturelles africaines, souvent abondantes, ne profitent pas assez aux populations. Qui en bénéficie ? Et qui bénéficie du rapport ?
Un récent rapport co-signé par trois ONG critique les pôles de croissance agricole comme source d’insécurité alimentaire en Afrique. Si tout n’est évidemment pas parfait, l’agence du Nepad soutient que les agropoles restent des éléments de réussite pour la croissance agricole africaine.
Les Jeux olympiques de la gouvernance permettent d’analyser la politique publique du pays, comme le secteur de l’éducation, de l’agriculture ou encore social, en soulignant les manquements et les réussites du gouvernement.
Alors que Nelson Mandela aurait fêté ses 99 ans, ce mardi, sa mémoire est cernée de curiosité malsaine, de manigances politiques et de merchandising. Les gardiens du temple ne sont pas ceux que l’on croit.
Il a été dit – et redit – que les musulmans de France avaient voté pour Emmanuel Macron lors de la dernière présidentielle. L’expression « musulmans de France » renvoie le plus souvent aux militants religieux, aux affiliés du Conseil français du culte musulman (CFCM), aux lobbyistes de la charia, aux fans du voile.
Plusieurs explications accompagnent le récent port de gants par Miss Afrique du Sud, lors d’une visite à des orphelins atteints du sida. Plusieurs réactions fusent également…
En convoquant durant près de deux mois (28 mars-25 mai) à Libreville, à grands frais et en grande pompe, un « dialogue politique inclusif et sans tabou », Ali Bongo Ondimba et son parti, le Parti démocratique gabonais (PDG), espéraient un dénouement heureux à la crise inédite et multiforme que traverse le Gabon depuis la présidentielle ratée d’août 2016.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, lundi 19 juin, un prêt pour la période 2017-2020 de 642 millions de dollars (573 millions d’euros) au Gabon. Il était temps : le prix du pétrole a reculé de plus de 15 % en un mois.
La transition progressive vers un taux de change flottant doit conduire le Maroc à ouvrir son économie aux capitaux étrangers et à afficher une parité conforme à ses fondamentaux, évitant ainsi toute surévaluation potentielle du dirham. L’enjeu est triple pour le Maroc, résorber une balance des transactions courantes structurellement déficitaire, attirer les investisseurs étrangers, et en particulier chinois, et développer le secteur financier.
Nos dirigeants sont parfois souffrants. Quoi de plus humain ? Mais ne devraient-ils pas communiquer davantage et tirer les enseignements des effets de l’âge ? Les situations varient. Et se ressemblent pourtant…