Laurent Touchard travaille depuis de nombreuses années sur le terrorisme et l’histoire militaire. Il a collaboré à plusieurs ouvrages et certains de ses travaux sont utilisés par l’université Johns-Hopkins, aux États-Unis. Ce billet en deux parties est consacré à la genèse de l’arsenal chimique syrien et à la stratégie suivie par Bachar al-Assad jusqu’à aujourd’hui – toujours en étroite collaboration avec les Russes.
Le Dr Ibrahima Aliou est secrétaire général de Association pour la Promotion de l’élevage au Sahel et en savane (APESS). Dodo Boureima est président du réseau Billital Maroobe.
Abdoul Gadiry Diallo est coordinateur régional du Réseau Ouest-Africain des Défenseurs des Droits Humains (Lomé). Hassan Shire Sheikh est quant à lui directeur exécutif du Projet des Défenseurs des Droits Humains dans l’Afrique de l’Est et la Corne d’Afrique (Kampala)
Alexandra Le Courtois* est spécialiste des questions urbaines à la Banque mondiale (1). Cet article est d’abord paru dans la revue Secteur Privé & Développement, éditée par Proparco.
Les images des victimes syriennes après l’usage d’armes chimiques, le 21 août, dans la Ghouta orientale, ont poussé les pays occidentaux, États-Unis en tête, à envisager une intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad. Alors que cette option n’a pas encore été décidée, l’armée syrienne indique d’ores et déjà qu’elle se défendra. En a-t-elle les moyens ? Quel est l’état de ses troupes ? États des lieux.
Laurent Touchard travaille depuis de nombreuses années sur le terrorisme et l’histoire militaire. Il a collaboré à plusieurs ouvrages et certains de ses travaux sont utilisés par l’université Johns-Hopkins, aux États-Unis.
Carlos Lopes est le secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (Uneca). Kemal Dervis est vice-président et directeur de l’économie mondiale et du développement à la Brookings Institution.
Laurent Touchard travaille depuis de nombreuses années sur le terrorisme et l’histoire militaire. Il a collaboré à plusieurs ouvrages et certains de ses travaux sont utilisés par l’université Johns-Hopkins, aux États-Unis.