Je connaissais les accidents de la circulation, les accidents cardio-vasculaires et autres pépins de parcours, mais je n’avais jamais entendu parler d’« accidents auto-érotiques ». Il a fallu la mort d’un acteur américain, survenue le 3 juin dernier, pour que je découvre cette manière étrange de mourir. Rendu célèbre par un téléfilm populaire des années 1970, puis redécouvert grâce au film Kill Bill de Quentin Tarantino, le malheureux a été retrouvé le cou et le sexe attachés par une corde elle-même pendue à une armoire, ce qui a orienté les enquêteurs vers la thèse dudit « accident auto-érotique ».
On va encore beaucoup parler en France du vêtement islamique réservé, paraît-il, aux femmes. Et les débats promettent d’être plus passionnés et confus que jamais. Cette fois, ce n’est pas le voile qui est en cause mais la burqa ou le niqab. Il ne s’agit plus d’un banal fichu qui couvre les cheveux mais d’une ample robe qui dissimule intégralement la femme aux regards concupiscents.
Il faut se méfier de l’eau qui dort. À Marseille, la mer était calme et le ciel bleu azur. Tout allait bien à l’OM, principal baromètre de la bonne (ou mauvaise) humeur de la cité phocéenne : troisième qualification d’affilée en Ligue des champions, comptes assainis, pas de procès retentissants à l’horizon, entente parfaite entre dirigeants et supporteurs, stabilité dans l’effectif et dans les rangs des décideurs, titre de champion de France raté d’un souffle lors de l’ultime journée de championnat…
Omar Bongo Ondimba, 73 ans, est parti comme il est arrivé au pouvoir, par surprise. On savait que la suspension de ses activités, décidée le 6 mai pour une durée indéterminée, n’augurait rien de bon.