Selon les informations de « Jeune Afrique », le géant américain des OGM, présent dans la vente de pesticides au Nigeria, compte y élargir son offre de produits vers les semences transgéniques.
La baisse des cours du riz, entamée avec la crise, s’est poursuivie sur toute l’année 2015, avec un plus bas proche de 360 dollars la tonne en septembre.
L’épidémie d’Ebola laisse derrière elle un désastre économique, surtout dans le monde rural. Malgré la réapparition du virus dans le sud-est du pays, les producteurs espèrent rapidement remonter la pente.
Considéré comme un laboratoire pour le continent, le Burkina a jeté l’éponge la semaine dernière, en assurant que le coton génétiquement modifié (CGM) n’était pas rentable.
Au nord du pays, l’exploitation des palmeraies a repris grâce à un investissement total de 350 milliards de francs CFA (533,6 millions d’euros) effectué par la société privée, Eco Oil Energie. Retrouvez les coulisses et les objectifs de la filière dans l’émission « Réussite », co-produite par le Groupe Jeune Afrique, Canal + Afrique et Galaxie Presse.
Le prix de la noix de cajou se maintient sur la dynamique de prix élevés observée depuis la fin de la dernière campagne, en juillet pour l’Afrique de l’Ouest.
Après une période d’instabilité avec l’Union européenne, Rabat affiche sa satisfaction en raison du recours déposé par cette dernière auprès de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) qui a annulé une partie de l’accord agricole. Selon ce document, le Polisario n’a pas une existence juridique lui permettant de demander l’annulation de cet accord.
En dépit d’un fort ralentissement de ses revenus, la filiale locale du groupe français, Centrale Danone (ex Centrale Laitière), est parvenue à dégager un résultat net en forte hausse l’an dernier, selon un communiqué de presse publié le 1er avril.
Ce juriste prend les rênes de la principale société cotonnière à un moment décisif pour la filière qui doit négocier des compensations financières avec la firme américaine Monsanto.
Renforcement de ses capacités de production, lancement de nouveaux produits… Le géant anglo-néerlandais des biens de consommation veut accélérer son développement sur le continent.
Le Français Éric-Bastien Ballouhey, fondateur des Grands Moulins de Mauritanie et actionnaire d’une minoterie aux îles Canaries (Espagne), accélère la diversification de ses activités.
Unilever inaugure son usine de fabrication de mayonnaise à Abidjan. Le spécialiste anglo-hollandais des produits de consommation a lancé hier une usine de fabrication de mayonnaise, d’une capacité de 10 000 tonnes par an. Une réponse à la percée de Sipro-Chim dont la mayonnaise locale s’est imposée devant la marque locale Calvé d’Unilever.
Le producteur marocain d’engrais OCP a rendu public mardi ses résultats annuels de 2015. Ils confirment les fortes performances du premier semestre, tant en termes de volume d’activité que de rentabilité. En attendant l’expansion l’africaine.
Le magnat nigérian Aliko Dangote, présent dans l’agro-industrie et le ciment notamment, négocie avec le géant marocain pour la fourniture en phosphates d’une nouvelle usine d’engrais.
Après cinq ans de préparation, l’unité construite à Kano, au Nord du Nigeria, a commencé sa production cette semaine – avec l’objectif de limiter les pertes des agriculteurs locaux et les importations chinoises.
Le groupe français a pris le contrôle du spécialiste ouest-africain des glaces et des jus. L’occasion de s’implanter sur des marchés prometteurs, même si les résultats ne sont, pour l’instant, pas à la hauteur.
En votant un nouveau plan d’appui en faveur de l’huile d’olive locale, l’Union européenne fait un geste pour aider la Tunisie a surmonter ses difficultés économiques et encourager sa transition démocratique.
Le groupe agro-industriel Société ivoirienne de productions animales (Sipra), fondé par Jean Marie Ackah, a investi 5 milliards de FCFA (environ 7,6 millions d’euros) dans ce projet.
Les Grands moulins de Dakar (GMD) anticipent la forte croissance du secteur avicole sénégalais en démarrant une nouvelle unité de production d’aliment de volaille.
Une nouvelle réglementation limite désormais à trois mois – contre huit mois auparavant – la date limite de consommation après fabrication. Ce qui exclut de fait les importations de ce produit depuis l’Europe.
Le 4 mars, la représentante européenne aux Affaires étrangères, Frederica Mogherini, a rassuré les responsables marocains sur le recours déposé par Bruxelles auprès de la Cour européenne de Justice qui a annulé une partie de l’accord agricole, mais Rabat n’a pas encore décidé de reprendre sa coopération avec l’Union européenne, actuellement gelée. Un ballet diplomatique se profile.
La crise diplomatique entre Rabat et Bruxelles, consécutive à l’annulation partielle d’un accord agricole, connaît de nouveaux rebondissements. Federica Mogherini, la Haute Représentante de l’Union européenne (UE) et la politique de sécurité, est en visite officielle à Rabat ce vendredi 4 mars pour s’entretenir avec Salaheddine Mezouar le ministre des Affaires étrangères marocain. Après que le Royaume a décidé de geler ses contacts avec l’UE le 25 Février.
Un an après avoir repris une entreprise de jus concentrés, le groupe diversifié marocain a acquis cinq sociétés qui commercialisent des chips, des fruits secs et des plantes aromatiques avec l’ambition de « développer davantage ses activités dans un secteur en forte croissance ».
Faible production, pertes financières, plaintes des salariés… le nouvel actionnaire majoritaire sud-coréen ne fait pas l’unanimité. L’État s’en mêle et demande une évaluation en urgence des résultats de la société.
Cosmétiques, lessive, mayonnaise… Sur ces produits, le patron de Sivop et de Sipro-Chim s’est taillé la part du lion. Aujourd’hui, il se lance dans les bouillons en cube. Au grand dam des multinationales.
Ce crédit de 35 milliards de F CFA émanant de cinq banques locales est extensible à 40 milliards de F CFA. Il permettra à la filiale du français Geocoton de couvrir la campagne cotonnière 2016-2017. L’entreprise agro-industrielle intervenant dans le septentrion camerounais prévoit de réaliser des recettes de 97 milliards de F CFA cette année.