La dépendance alimentaire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient risque de s’accroître d’ici à 2050 si les tendances de production et de consommation persistent, avec le changement climatique comme facteur aggravant, selon une étude présentée le 28 octobre par l’Institut national de la recherche agronomique.
Pour dynamiser les secteurs clés et doper les investissements, rien de tel que des zones prioritaires de croissance. Le succès de celle de Bagré incite à renouveler l’expérience.
Joint par Jeune Afrique, le patron d’Advens, qui a accepté le 26 octobre de sortir du capital de Suneor, estime que l’huilier français est le seul capable de structurer une filière arachide.
Selon l’Agence de presse sénégalaise (APS) citant un ministre, l’actionnaire majoritaire de la société arachidière Suneor, Advens, aurait accepté de se séparer de sa filiale acquise en 2005. Des discussions avec des nouveaux repreneurs sont annoncés.
Révision du code minier et octroi de nouveaux permis pour l’or, amélioration de la productivité pour le coton… Pour soutenir les deux premiers produits d’exportation, le gouvernement met le paquet.
La coentreprise – détenue à 51 % par le groupe algérien SIM et à 49 % par le français Avril (ex Sofiprotéol) – a inauguré le 20 octobre une première usine d’aliments pour le bétail à Ain Defla (140 km à l’Ouest d’Alger).
L’entreprise, active dans le cacao ivoirien à travers sa filiale Société de logistique et d’exploitation agricole (Solea), a complété son introduction sur Alternext Bruxelles et Alternext Paris. Une opération au succès mitigé.
Dans le nord du pays, la production bat son plein. Alors que les exploitants de fruits et légumes se font une place sur les marchés européens, le gouvernement promeut le riz local à coups de subventions et d’investissements, pour atteindre l’autosuffisance en 2017.
Le capital-investisseur Mediterrània Capital Partners a acquis une participation de 23 % dans la Société meunière tunisienne, connue pour sa marque de pâtes et de couscous « Randa ».
La PME cotonnière Sodefitex se diversifie dans les céréales et les services au développement agricole. Les caméras de « Réussite » vous font découvrir les dessous de cette mue.
Le groupe français a subi un dur revers lors de la sélection des opérateurs autorités à exporter du cacao. Son futur dans le pays est désormais en jeu.
Le brasseur né en Afrique du Sud et leader en Afrique SABMiller a annoncé mardi s’être mis d’accord avec AB Inbev sur les termes de son rachat. L’opération serait la troisième plus grande fusion-acquisition de tous les temps.
Leader au Nigeria, au Rwanda ou au Congo, le brasseur néerlandais espère bien s’imposer plus largement. En s’alliant avec CFAO à Abidjan, le numéro trois mondial s’attaque à nouveau à un bastion de Castel.
Du café sud-soudanais va être exporté pour la première fois ce mois-ci dans le cadre d’une initiative à long terme destinée à revitaliser l’industrie du café dans le pays.
L’action de la Société africaine forestière et agricole du Cameroun (Safacam) fait grise mine depuis bientôt deux mois. Willy Delort Heubo, directeur des marchés chez Financia Capital, analyse pour Jeune Afrique les dessous de ce recul et les perspectives de la filiale de Bolloré.
Une nouvelle unité de transformation de noix de cajou devrait bientôt voir le jour dans la capitale de la Côte d’Ivoire. Découvrez en exclusivité les détails de ce projet.
Franck Eba est le directeur de l’unité agricole intégrée de Sucrivoire, filiale de Sifca, le premier employeur privé de la Côte d’Ivoire. Dans cette tribune, il présente les résultats de la politique de responsabilité sociale et environnementale (RSE) du groupe agro-industriel.
La mousse n’a finalement pas pris. Le festival promu par la société Brasseries du Maroc, censé être une première au Maroc, vient d’être interdit par les autorités de Casablanca.
C’est un vignoble pas comme les autres qui s’étend sur un hectare à peine : des baobabs veillent sur son raisin jeune qui se gorge de soleil à Nguékhokh, une localité située à environ 60 km au sud-est de Dakar.
Le prix d’achat du cacao aux planteurs de Côte d’Ivoire, premier producteur mondial, a été fixé à 1 000 francs CFA (1,52 euros) le kilo à l’ouverture jeudi de la campagne cacaoyère 2015-2016, soit une hausse d’environ 20 %.
À Yamoussoukro, Mamadou Sangafowa Coulibaly, le ministre ivoirien de l’Agriculture, a annoncé que la production ivoirienne de noix de cajou en 2015 aurait dépassé celle de l’Inde. Mais ses chiffres sont déjà contestés.
Dans un contexte morose, le producteur de bières et de sodas a multiplié par deux son résultat net en cinq ans. Les analystes sont unanimes : c’est une valeur sûre.