Une commission parlementaire égyptienne a approuvé ce mardi un accord controversé, prévoyant la rétrocession de deux îlots de la mer Rouge à l’Arabie saoudite, une procédure qui ouvre la voie à un vote des députés sur le sujet.
Le Maroc va envoyer de l’aide alimentaire au Qatar, un geste de « solidarité » qui « n’a pas de lien avec les aspects politiques » de la crise diplomatique actuelle dans le Golfe, a indiqué lundi le ministère des Affaires étrangères.
Le président français rencontre mercredi 14 juin le roi du Maroc pour une première prise de contact. Au menu : la crise dans le Golfe, la Libye et la coopération bilatérale.
La diplomatie française s’active à la veille du sommet du G5 Sahel, prévu début juillet à Bamako. Elle doit aussi préparer la prochaine visite d’Emmanuel Macron en Algérie. Ce lundi, et jusqu’à mardi, Jean-Yves le Drian, le ministre des Affaires étrangères est donc à Alger.
Les autorités tunisiennes ont rapatrié dimanche 24 jeunes Tunisiens, détenus en Libye depuis près d’un mois après une tentative d’émigration clandestine.
À la tête de la Cedeao depuis le 4 juin, Faure Gnassingbé entend placer son mandat sous le signe de l’intégration, et mise pour cela sur la libre circulation des biens et des personnes.
Président depuis le 7 mai 2017, Emmanuel Macron et son ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian multiplient les visites diplomatiques en Afrique.
Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères diffusé dimanche, Rabat se dit grandement « préoccupé » par la crise actuelle dans le Golfe, et « disposé à offrir ses bons offices » pour aider à la résoudre.
Angela Merkel reçoit lundi et mardi à Berlin bon nombre de dirigeants africains. L’Allemagne veut saisir l’opportunité de sa présidence du G20 pour attirer les investissements vers l’Afrique, étape nécessaire pour réduire les migrations vers l’Europe.
Un « trait d’humour malheureux » soluble dans « l’esprit d’apaisement et de confiance mutuelle » et un coup de fil de l’offenseur à l’offensé, avec ses regrets mais sans excuses : ainsi l’Élysée a-t‑il soldé le compte de la (petite) vague d’indignation née de la blague sinistre d’Emmanuel Macron sur les kwassa-kwassa, ces canots rapides à fond plat qui « ramènent du Comorien » comme d’autres des crevettes, mais qui, surtout, en précipitent dans les abysses du canal du Mozambique, entre Anjouan et Mayotte, au rythme de cinq cents par an.
Le président français Emmanuel Macron a reçu dimanche son homologue ivoirien Alassane Dramane Ouattarra à l’Élysée. Au menu de cette visite : la lutte contre le terrorisme, le développement durable, l’ONU ou encore le métro d’Abidjan.
Le Niger a décidé de rappeler son ambassadeur au Qatar « pour consultations » à la « suite des récentes évolutions diplomatiques dans la région du Golfe », a appris l’AFP samedi de source diplomatique nigérienne.
L’agenda africain du président français Emmanuel Macron s’annonce chargé. Le nouvel occupant de l’Elysée rencontrera son homologue ivoirien Alassane Ouattara dimanche 11 juin, avant de s’entretenir avec le Sénégalais Macky Sall le lendemain et de s’envoler pour le Maroc, le 14 juin.
Nommé par Donald Trump, ce bon connaisseur de l’Afrique – notamment de la Tanzanie, où il fut ambassadeur de 2007 à 2009 – va prendre la direction de l’agence américaine de développement (USAID).
Le patron du football saoudien s’est excusé vendredi après que l’équipe nationale a snobé une minute de silence pour les victimes de l’attentat de Londres lors du match de qualification pour le Mondial 2018 qui l’opposait à l’équipe australienne, à Adelaïde, dans le sud de l’Australie.
Le Maroc est le premier pays maghrébin que le président français visite depuis son élection, en mai. Il doit aussi se rendre à Alger, dans les prochaines semaines, selon les déclarations de la Présidence à l’agence Reuters.
Le dossier libyen était au menu des conversations ce jeudi au Caire, lors de la visite du ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, venu rencontrer son homologue égyptien Sameh Choukri.
La nouvelle crise entre l’Arabie saoudite et le Qatar a donné lieu à une série de réactions dans certains pays africains. Le vôtre a-t-il réagi, et si oui, comment ? Jeune Afrique fait le point, avec une carte interactive.
Silence radio à Kinshasa à propos des nouvelles sanctions que l’UE a adoptées, le 29 mai, à l’encontre de plusieurs responsables congolais, et de celles que les États-Unis ont prises, le 1er juin, à l’encontre du général François Olenga, chef de la maison militaire de Joseph Kabila.
Dans un communiqué du gouvernement diffusé ce lundi, Bujumbura accuse l’Union Européenne de venir en aide à des activistes burundais des droits de l’Homme, et ce faisant, d’essayer de déstabiliser le régime de Pierre Nkurunziza.
Le 28 mai, Emmanuel Macron a téléphoné à Joseph Kabila. Le président français a félicité son homologue pour « la mobilisation et l’efficacité des autorités congolaises » dans la libération, la veille, d’un otage français dans l’est de la RDC.
Le nouveau président français a fait une blague déplacée sur les kwassa-kwassa comoriens, oubliant les tragédies qui leur sont associées. Tollé et gêne aux entournures…
La police britannique a révélé mardi l’identité du dernier des trois assaillants qui ont semé la terreur dans le centre de Londres, samedi 3 juin, faisant sept morts et une cinquantaine de blessés. Selon les autorités, deux des terroristes seraient d’origine marocaine.
L’Arabie saoudite et ses alliés ont rompu lundi avec le Qatar qu’ils accusent de soutenir le « terrorisme », provoquant une crise diplomatique majeure au Moyen-Orient quinze jours après un appel de Donald Trump à l’unité des Arabes face à l’extrémisme.
Le gouvernement tchadien a, dans une lettre datée du 24 mai, vivement rejeté un rapport de l’ONU accusant des soldats tchadiens d’exactions contre des civils en Centrafrique entre 2013 et 2014.
L’ONG Human Rights Watch (HRW) a appelé jeudi 1er juin les chefs d’État à faire pression sur le régime du président congolais Joseph Kabila, pour assurer la tenue d’une élection présidentielle cette année en RDC.
L’organisation devait se prononcer sur la demande d’adhésion du Maroc à l’occasion de son 51e sommet, qui a lieu à Monrovia. Mais plusieurs pays participants ont été étonnés de l’invitation adressée à Benyamin Netanyahou. Jeudi, le roi du Maroc a annulé sa participation, ne souhaitant pas que sa première présence à ce sommet intervienne dans « un contexte de tension ».