Le ministre qatari des Affaires étrangères a affirmé mardi que la liste des demandes de l’Arabie saoudite et de ses alliés adressée à son pays, qu’ils accusent de « soutenir le terrorisme », était « irréaliste ».
Alors que l’ultimatum lancé par l’Arabie saoudite et ses alliés au Qatar doit expirer sous peu, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir s’est présenté ce mardi au sommet de l’Union africaine, qui se tient à Addis-Abeba. Il n’avait pas été annoncé.
Avec la nomination, le 25 juin, de Mohamed Arrouchi au poste de représentant permanent du Maroc à l’UA, « le royaume montre qu’il entend jouer un rôle moteur » au sein de l’organisation, confie une source diplomatique marocaine.
Coutumier des excentricités, le président zimbabwéen s’est une nouvelle fois fait remarqué lors de l’ouverture du 29ème sommet des dirigeants africains ce lundi à Addis-Abeba.
Pourquoi Mohammed VI n’a-t-il pas reçu Youssef Chahed, le Premier ministre tunisien, à l’occasion de la visite de ce dernier à Rabat, où il a coprésidé avec son homologue Saadeddine El Othmani la 19e session de la Haute Commission mixte maroco-tunisienne, les 18 et 19 juin ?
L’Arabie saoudite et ses alliés ont annoncé ce lundi avant l’aube avoir décidé, à la demande du médiateur koweïtien dans la crise du Golfe, de prolonger de 48 heures l’ultimatum fixé au Qatar pour répondre positivement à leur liste de 13 demandes.
Suite à la médiation nigériane, les clauses que le Maroc avait jugées attentatoires à sa souveraineté sur le Sahara, dans un rapport prévu pour être signé lors du sommet, ont été changées.
Les dirigeants du continent se retrouvent ce lundi à Addis-Abeba pour un sommet de transition. Alpha Condé, Alassane Ouattara ou encore Joseph Kabila sont là mais plusieurs poids lourds du continent sont absents.
Le président français Emmanuel Macron a promis dimanche à Bamako d’aider les pays du G5 Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso, Mauritanie, Tchad) à obtenir des financements pour leur force conjointe, mais les a exhortés à en démontrer l’efficacité face aux jihadistes.
Le Maroc a rejeté samedi le rapport de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, ce dernier contenant deux clauses sur l’instauration d’une mission de surveillance des droits de l’homme dans le Sahara.
Les chefs d’État du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad), avec le président français Emmanuel Macron, se réunissent dimanche à Bamako pour concrétiser leur projet de force conjointe contre les groupes jihadistes, qui reste à financer.
Denis Sassou-Nguesso, président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye, doit réunir les principaux protagonistes de la crise dimanche, en marge du 29ème sommet de l’Union africaine (UA). Jean-Claude Gakosso, le ministre des Affaires étrangères du Congo-Brazzaville, revient sur l’avancée des négociations.
La décision des Nations unies de réduire la mission de maintien de la paix au Darfour (Minuad) montre que le conflit dans cette région du Soudan est un « chapitre clos », selon le ministre soudanais des Affaires étrangères.
Entre optimisme et fermeté, le président de la Commission de l’UA élu en janvier dernier a tenu vendredi son premier discours devant le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’organisation.
Le 22 juin dernier, la Cour suprême du Ghana a jugé la présence d’anciens détenus de Guantanamo « inconstitutionnelle ». Dans la foulée, l’ambassade des États-Unis à Accra a suspendu les avantages de délivrance des visas accordés aux hautes personnalités politiques du pays.
L’ancien président du Burkina Faso Michel Kafando, nommé en mai dernier envoyé spéciale de l’ONU au Burundi, a rencontré pour la première fois le président Pierre Nkurunziza, jeudi 29 juin. Le gouvernement burundais a profité de cette première visite protocolaire pour le mettre en garde contre toute accointance avec l’opposition en exil.
Les ministres des Affaires étrangères africains se retrouvent à Addis-Abeba ce vendredi pour préparer la réunion des chefs d’État qui doit avoir lieu en début de semaine prochaine.
Les chefs d’État des pays du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) se réunissent dimanche 2 juillet à Bamako. Principal enjeu de ce sommet : la mise sur pied d’une force conjointe anti-terroriste, annoncée depuis des mois.
Michel Kafando, ancien président du Burkina Faso nommé en mai dernier envoyé spécial de l’ONU au Burundi, est arrivé ce mardi 27 juin à Bujumbura. Il s’agit d’un « premier contact » avec le président burundais Pierre Nkurunziza avant d’entrer dans le vif du sujet, la semaine prochaine.
Le 20 juin, après quatre mois de discussions, le Conseil de sécurité de l’ONU a approuvé à l’unanimité la nomination du diplomate libanais comme médiateur dans la crise libyenne.
Le décret anti-immigration de Donald Trump a été remis partiellement et provisoirement en vigueur par la Cour suprême ce lundi. Il interdit aux natifs de six pays musulmans qui seraient « totalement inconnus des autorités américaines » de pénétrer sur le sol américain, au moins jusqu’à l’automne. Les Somaliens, les Soudanais et les Libyens sont concernés.
Le Suédois Johan Gustafsson, enlevé par Al-Qaïda en novembre 2011 dans le nord du Mali avec le Sud-Africain Stephen Malcolm McGowan, a été libéré, a annoncé ce lundi le gouvernement suédois.
Le panafricanisme est-il une construction politique réelle visant à rassembler les Africains pour réaliser le développement global du continent ou une simple chimère, voire un simple idéal émotionnel de mobilisation des politiques africaines ?
En cette fête de l’Aïd el-Fitr, le président Béji Caïd Essebsi a présenté dimanche ses vœux au peuple tunisien, et en particulier aux « concitoyens vivant dans les pays du Golfe ». L’occasion pour lui de s’exprimer sur le conflit diplomatique opposant depuis quelques semaines le Qatar à d’autres pays arabes.