Les discussions du 5e Sommet Côte d’Ivoire-Burkina Faso, ont été axées jeudi sur la lutte antiterroriste, après les attentats de Ouagadougou (janvier, 30 morts) et Grand-Bassam (mars, 19 morts).
Alors que la tension est montée de plusieurs crans ces derniers jours à Libreville, la représentante de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne au Gabon a appelé jeudi à « tout faire » pour « éviter tout acte de violence ou toute forme de provocation ».
L’organisation POMED (Project on Middle East Democracy) a envoyé mercredi 27 juillet une lettre ouverte à la Maison Blanche invitant le président américain Barack Obama à effectuer une visite officielle en Tunisie avant la fin de son mandat. Parmi les signataires, d’anciens membres du Congrès et ambassadeurs, quelques ex-responsables gouvernementaux et des directeurs d’ONG.
Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, effectue depuis dimanche une visite de six jours en Afrique de l’Ouest. Accompagné d’une importante délégation d’investisseurs et représentants d’entreprises iraniennes, il a débuté sa visite par le Nigeria, avant de se rendre au Ghana puis en Guinée et au Mali.
Le président burkinabè effectue de jeudi à samedi sa première visite en Côte d’Ivoire dans le cadre d’un traité d’amitié et de coopération entre les deux pays.
Le Conseil de sécurité a prolongé mardi le mandat des Casques bleus en l’adaptant pour notamment tenir compte de la fin prochaine de l’opération militaire française Sangaris.
En marge d’un sommet de la Ligue arabe à Nouakchott, le chef du gouvernement d’union nationale (GNA) a convoqué l’ambassadeur de France en Libye pour lui demander des explications officielles sur la présence de militaires français sur le territoire.
Hassan Naciri Aux dirigeants africains réunis à Kigali, le roi Mohammed VI a signifié le 18 juillet 2016 la volonté du Maroc de revenir dans « sa famille institutionnelle ».
Le forcing diplomatique de la Guinée équatoriale n’y aura rien fait : le 18 juillet, Agapito Mba Mokuy, son ministre des Affaires étrangères, a été écarté de la course à la présidence de la Commission de l’UA dès le deuxième round.
La semaine dernière, Jeune Afrique a publié une vidéo expliquant le projet de passeport africain lancé par l’Union africaine. Une publication qui a fait beaucoup de bruit : plus de 50 000 vues en moins de deux jours sur Facebook et des commentaires provenant de tout le continent. Pourquoi autant d’engouement chez les lecteurs de JA ? Décryptage.
L’ancien Premier ministre portugais, António Guterres, est arrivé jeudi en tête des candidats à la succession de Ban Ki-Moon, qui finira son mandat de secrétaire général des Nations Unis à la fin de l’année, à l’issue d’un vote indicatif du Conseil de sécurité.
Une résolution votée par les députés belge mercredi et soumise à l’exécutif propose de couper l’aide bilatérale directe à la RD Congo, si le pays n’organisait pas l’élection présidentielle dans les délais constitutionnels, avant la fin 2016.
Abdelkader Messahel, ministre algérien des affaires maghrébines et africaines et de la ligue arabe, a réagi mercredi à la demande du royaume du Maroc de réintégrer l’UA, soutenue par 28 États africains qui demandent par là même le retrait de la RASD. Évoquant les statuts de l’organisation, il a indiqué que cette adhésion ne peut pas être soumise à condition.
Le gouvernement libyen a accusé mercredi la France de violer le territoire national après l’annonce de la mort de trois soldats français en Libye. Des manifestations de protestation ont eu lieu dans plusieurs villes du pays.
Israël a annoncé mercredi avoir restauré ses relations diplomatiques avec la Guinée, 49 ans après que ce pays d’Afrique de l’ouest eut rompu ses relations avec l’État hébreu dans la foulée de la guerre des Six Jours en 1967.
Étienne Tshisekedi et Moïse Katumbi, deux figures importantes du « Rassemblement » de l’opposition congolaise, ont été reçus lundi au Quai d’Orsay. Au menu des échanges : le respect de la Constitution de la RD Congo et le dialogue politique national.
Le chef de l’État a évoqué dimanche la possible réintroduction de la peine de mort après l’échec de la tentative de putsch dans la nuit de vendredi à samedi. De son côté, la communauté internationale s’inquiète et réclame le respect de l’État de droit.
Le roi Mohammed VI a annoncé dimanche que le moment était « arrivé » pour le Maroc de retrouver sa « place naturelle » au sein de l’Union africaine (UA). Il appelle l’organisation à corriger « une erreur historique » et à adopter « une neutralité constructive » sur la question du Sahara.
Le 27e sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA) s’est ouvert dimanche peu après la mi-journée. La succession de Nkosazana Dlamini-Zuma, la crise au Soudan du Sud et la question du retour du Maroc au sein de l’organisation font partie des principaux sujets sur lesquels le sommet va se pencher.
Présent à Kigali, en marge du 27e sommet de l’Union africaine, pour participer aux discussions sur la situation au Soudan du Sud, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Le retour du Maroc au sein de l’Union africaine (UA) se confirme, mais Mohammed VI ne se rendra pas dans la capitale rwandaise où doit s’ouvrir demain le sommet des chefs d’État.
Alors que tout le monde spécule sur les différents scénarios possibles lors de l’élection du prochain président la commission de l’Union africaine prévue dimanche, les candidats continuent de battre campagne. Y compris ceux qui ne le sont pas officiellement.
Réunis à Kigali, les chefs d’État du continent doivent choisir le nouveau président de la Commission de l’UA parmi trois prétendants. À moins que cette décision ne soit remise à plus tard pour laisser le champ libre à d’autres compétiteurs…
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, est arrivé vendredi à la mi-journée à Kigali où se déroule le 27e sommet de l’Union africaine. Il participera à des concertations sur la crise au Soudan du Sud.
Les organisateurs de la conférence méditerranéenne sur le changement climatique (MedCop), qui se tient à partir du lundi 18 juillet à Tanger, ont le plus grand mal à loger leurs invités. Et pour cause : les hôtels de la ville ont été pris d’assaut par les hôtes du roi Salmane d’Arabie saoudite, venus assister au mariage d’un de ses fils.