La visite de quatre jours du président ivoirien, Alassane Ouattara, en Algérie, s’achève ce jeudi avec la signature d’accords visant à dynamiser les investissements entre les deux pays. C’était aussi une occasion pour la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, de visiter sa ville de naissance, Constantine.
Souvent sous le feu des critiques, l’organe onusien, où l’Afrique n’a encore qu’une voix marginale, destine pourtant plus de la moitié de ses résolutions au continent. Analyse, en infographies, des quelque 633 textes adoptés depuis 2006.
Cuba a accueilli lundi son premier navire de croisière américain en un demi-siècle, à la faveur du rapprochement diplomatique entre Washington et La Havane. Une arrivée accueillie dans la liesse.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a insisté sur l’importance de la lutte contre le terrorisme au Mali depuis le camp de la force Barkhane à Gao, où il a aussi rendu hommage lundi aux trois soldats français morts en avril dans l’explosion d’une mine.
Sur invitation du président algérien Abdelaziz Bouteflika, le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, s’est rendu à Alger ce lundi pour une visite de quatre jours. La coopération économique, la médiation régionale ou encore la lutte contre le jihadisme seront à l’ordre du jour.
Le Conseil de sécurité a adopté vendredi à 10 voix pour, 2 contre et 3 abstentions une résolution visant à restaurer la mission de l’ONU au Sahara Occidental.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, est attendu à Bamako dimanche 1er mai, puis à Niamey, le mardi suivant. Déplacement auquel se joindra son homologue allemand, Franck-Walter Steinmeier. Une visite africaine sous le signe de la diplomatie européenne : une première…
L’annulation des mandats d’arrêt internationaux qui visaient l’ancien chef d’État burkinabè et le président de l’Assemblée nationale ivoirienne ne signifie pas qu’ils en ont fini avec la justice militaire à Ouagadougou. Explications.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a levé jeudi les dernières sanctions internationales qui pesaient sur la Côte d’Ivoire depuis 12 ans. L’ONU a également confirmé que la mission des Nations unies dans le pays (Onuci) se retirerait définitivement en juin 2017.
Le temps de la brouille diplomatique entre le Maroc et la France est décidément loin ! En avril et en mai, plusieurs ministres français se rendront en effet dans le royaume chérifien.
La visite du Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, en Russie, les 27 et 28 avril, s’inscrit dans une longue histoire de coopération entre les deux pays. Mais au delà de l’Algérie, le pays de Vladimir Poutine cherche à multiplier ses soutiens dans tout le Maghreb.
Après l’annonce par les médiateurs internationaux d’une reprise des pourparlers interburundais à partir du 2 mai à Arusha, le gouvernement a annoncé mercredi qu’il ne prendra pas part à ce dialogue s’il n’est pas consulté en amont.
Les présidents béninois et guinéens, Patrice Talon et Alpha Condé, ont successivement rencontré leur homologue français, François Hollande, mardi. Au menu des discussions : la COP21 et l’environnement mais également le terrorisme.
Mardi, Riek Machar a prêté serment en tant que vice-président du Soudan du Sud. Cela faisait plus d’une semaine qu’il repoussait son retour à Juba. L’ancien chef rebelle a appelé à « l’unité » et à la « réconciliation » pour mettre fin à plus de deux ans de guerre civile.
Il y a deux mois, le fantasque président gambien a décidé de multiplier par cent le montant d’une taxe douanière imposée aux camionneurs sénégalais. Entre Dakar et Banjul, qui ont toujours eu des relations compliquées, c’est reparti pour un tour…
Dans un arrêt de 72 pages, la justice marocaine a décidé de classer sans suite la plainte déposée il y a deux ans à Paris par le kick-boxeur Zakaria Moumni contre le chef du renseignement marocain, Abdellatif Hammouchi. La décision a été transmise à la justice française en vertu de la nouvelle convention judiciaire qui relie les deux pays.
Cela fait plus d’une semaine que Riek Machar repousse son retour à Juba où il devrait prendre les fonctions de vice-président, comme le stipule l’accord de paix signé en août 2015. Il devrait s’y rendre mardi alors qu’une partie de sa garde rapprochée est arrivée lundi dans la capitale sud-soudanaise.
Le chef rebelle sud-soudanais Riek Machar a affirmé ne pas avoir reçu samedi l’autorisation gouvernementale d’atterrir à Juba, manquant ainsi la date limite fixée par la communauté internationale pour son retour dans la capitale du Soudan du Sud, où il doit devenir vice-président en vertu d’un accord de paix.
Le vice-président libyen Ahmed Maetig, en visite à Rome, a souhaité vendredi que l’Union européenne négocie avec la Libye un accord sur le modèle de celui conclu mi-mars entre l’UE et la Turquie pour freiner les flux de migrants vers l’Europe.
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a exhorté vendredi le chef rebelle sud-soudanais Riek Machar de rentrer sans délai à Juba, où il est attendu pour reprendre son poste de vice-président et travailler à un gouvernement de transition.
Presque deux semaines après la diffusion d’une photo d’Abdelaziz Bouteflika, tweetée par le Premier ministre français Manuel Valls, la tension reste à son comble. Irritée par cet affront, la chambre haute du Parlement algérien a dénoncé jeudi un « dérapage grave » et « inacceptable » de la part de la France.
Dans le livre sorti jeudi et signé par son fidèle porte-parole Thomas Renggli, Sepp Blatter affirme qu’il a rencontré Pierre Nkurunziza pour le compte de la diplomatie suisse afin d’offrir au président burundais une place au sein de la Fifa.
Le roi Mohammed VI a participé mercredi au premier sommet entre le Maroc et les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) à Riyad. Daesh, le Yémen, mais aussi le Sahara occidental étaient à l’ordre du jour.
Faustin-Archange Touadéra a été reçu mercredi à l’Élysée par François Hollande pour sa première visite de chef d’État en France. Le président français lui a assuré que la France restera aux cotés de la Centrafrique.
Les États-Unis ont élargi mardi leurs sanctions contre la Libye en ciblant les opposants au gouvernement d’union soutenu par la communauté internationale. Le chef du gouvernement non reconnu basé à Tripoli, Khalifa Ghweil, est visé par ces sanctions.
Déjà annoncée comme délicate, la visite de Barack Obama cette semaine à Ryad sera rendue encore plus épineuse par un projet de loi américain qui permettrait aux familles des victimes du 11-Septembre de poursuivre le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Un ministre saoudien a déjà menacé les États-Unis de mesures de rétorsion si le texte était adopté.
Depuis le tweet par Manuel Valls d’une photo montrant Abdelaziz Bouteflika dans un état diminué, la presse et les responsables politiques algériens se déchaînent contre le chef du gouvernement français.
Nouvel échec pour le gouvernement d’union libyen soutenu par l’ONU. Le Parlement, qui devait se réunir lundi pour le vote de confiance, a reporté sine die sa session en raison de profondes divergences, a fait savoir un député.