Dans un rapport rendu public mardi, l’ONU envisage de réduire à nouveau les effectifs de la force des Nations unies en République Démocratique du Congo (Monusco). Une proposition qui sera examinée la semaine prochaine par le Conseil de sécurité.
Le ton ne cesse de monter entre l’Iran et l’Arabie saoudite. Ali Vaez, analyste senior sur l’Iran à l’International crisis group (ICG) explique, dans cette interview, les répercussions de ce conflit.
Le monde musulman commence la nouvelle année sur fond d’escalade entre l’Iran et l’Arabie saoudite après l’exécution le 2 janvier à Riyad du chef religieux chiite Nimr al-Nimr, figure emblématique de la contestation contre le régime saoudien. L’onde de choc a gagné la presse maghrébine qui n’a pas tardé à réagir. Revue de presse.
Omar el-Béchir, président du Soudan, a annoncé lundi que son pays rompait ses relations diplomatiques avec l’Iran. Une décision similaire à celles prises quelques heures plus tôt par les autorités de l’Arabie Saoudite et de Bahreïn.
Les tensions sont à nouveau montées d’un cran entre les deux grandes puissances rivales. Le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a en effet annoncé dimanche 3 janvier la rupture des relations diplomatiques de l’Arabie saoudite avec l’Iran.
De quoi ont donc parlé le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz et les trois membres d’une délégation marocaine de haut niveau (Salaheddine Mezouar, ministre des Affaires étrangères ; Yassine Mansouri, directeur des services de renseignements extérieurs ; et le général Bouchaïb Arroub, patron de la zone Sud) venus le rencontrer à Nouakchott, le 12 décembre ?
Les Etats-Unis se sont dit samedi « profondément déçus » par la décision du président rwandais sortant Paul Kagame de briguer un troisième mandat et de potentiellement diriger le pays jusqu’en 2034.
L’émissaire de l’ONU Martin Kobler s’est rendu vendredi à Tripoli pour tenter de convaincre le président du Parlement libyen non reconnu internationalement de soutenir un gouvernement d’union nationale pour mettre fin au chaos en Libye.
Roch Marc Christian Kaboré, le nouveau président élu du Burkina Faso, a été investi mardi à Ouagadougou en présence de nombreux chefs d’État africains. Celle de son homologue ivoirien Alassane Ouattara a tout particulièrement retenu l’attention. Il faut dire que les relations entre les deux pays sont assez compliquées.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a validé mercredi l’accord de Skhirat qui prévoit la formation d’un gouvernement d’union nationale en Libye. Il espère que ce dernier pourrait contrer la montée de l’État islamique dans le pays.
Le vice-ministre congolais à la Coopération internationale et à l’Intégration régionale, Franck Mwe Di Malila, réitère l’importance d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition, désormais réunie en un « Front citoyen 2016 ». Interview.
Selon la médiation est-africaine, des représentants de la rébellion de Riek Machar et ceux du gouvernement sud-soudanais se sont rencontrés mardi pour la première fois à Juba en vue de mettre en application l’accord de paix, signé fin août.
Martin Kobler, l’émissaire de l’ONU pour la Libye a indiqué dimanche 20 décembre que des contacts avaient été établis à Tripoli avec des responsables de la sécurité, notamment des milices, en vue d’installer le gouvernement d’union nationale dans la capitale.
Des députés et des hommes politiques libyens ont signé jeudi au Maroc un accord pour sortir le pays du chaos. Celui-ci a pourtant d’ores et déjà été rejeté par les deux Parlements rivaux.
Alors que le Soudan du Sud est depuis deux ans en proie à une guerre civile qui ne faiblit pas, le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé mardi le mandat de sa mission, la Minuss, renforçant un peu ses effectifs et ses moyens d’action.
L’actuel secrétaire général Ban Ki-moon termine son deuxième et dernier mandat de cinq ans à la fin de 2016. Et en coulisses, la recherche d’un successeur a déjà commencé.
Deux jours avant la signature au Maroc d’un accord de sortie de crise sous l’égide de l’ONU, les chefs des deux Parlements libyens rivaux se sont rencontrés mardi à Malte. La première depuis la division du pays.
L’annulation pour la zone du Sahara de l’accord agricole entre l’Union européenne et le Maroc par le Tribunal de l’Union européenne (UE) fait l’objet d’un pourvoi des ministres européens des Affaires étrangères. Ce pourvoi ne deviendra suspensif que si la Cour de justice européenne (CJUE) approuve les mesures transitoires qui vont lui être présentées.
Montrant sa volonté de rester un partenaire crédible dans la lutte contre le terrorisme, l’Arabie Saoudite a formé une coalition islamique antiterroriste de 34 pays, a annoncé mardi l’agence officielle Spa. En font partie l’Égypte et le Sénégal parmi de nombreux autres États africains.
Trois jours après un bain de sang à Bujumbura, une résolution de l’ONU appelle au déploiement « en urgence » d’une mission au Burundi pour enquêter sur de possibles violations des droits de l’homme.
Le gouvernement de la RDC a accusé dimanche les autorités sénégalaises d’accueillir une réunion d’une quarantaine d’opposants et d’acteurs de la société civile, destinée à « déstabiliser les institutions » du pays.
Les États-Unis ont demandé dimanche à leurs ressortissants de quitter aussi rapidement que possible le Burundi en proie aux pires violences depuis un coup d’État manqué en mai dans ce pays plongé dans une profonde crise politique.
Un accord sans précédent pour lutter contre le réchauffement, dont l’ampleur menace la planète de catastrophes climatiques, a été adopté à Paris par 195 pays, mais beaucoup reste à faire pour que les engagements ambitieux se concrétisent.
L’Italie et les États-Unis présidaient dimanche à Rome une conférence internationale pour pousser les principales factions politiques émergeant dans le chaos libyen à appliquer rapidement un accord négocié difficilement sous l’égide de l’ONU.
Créer des emplois et améliorer les conditions de vie de la population ? Le gouvernement est dans les starting-blocks, comme l’explique le ministre des Affaires étrangères.