Le 23e sommet de l’Union africaine (UA) s’est ouvert jeudi dans la matinée. Durant la cérémonie, plusieurs dirigeants se sont succédé à la tribune de l’UA à Malabo en Guinée équatoriale. Si « Agriculture et sécurité alimentaire » est le thème officiel du sommet, c’est bien le terrorisme et les menaces sécuritaires qui préoccupent les chefs d’État africains.
À Malabo, où se déroule le 23e sommet de l’Union Africaine, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, a confirmé, le 24 juin, que « la phase initiale du dialogue inter-malien » se tiendra à Alger en juillet. De nombreux détails restent toutefois à préciser.
Quels chefs d’État du continent se rendront à Washington pour le sommet États-Unis-Afrique des 5 et 6 août prochain et quel en sera le programme ? Éléménts de réponse.
Présent au 23e sommet de l’Union africaine à Malabo, en Guinée équatoriale, le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
Les avocats de l’ex-ministre sénégalais Karim Wade cherchent le soutien de la diplomatie française pour que les autorités sénégalaises lâchent du lest.
Le 18 juin, l’ex-capitaine des Forces armées royales a tenté de pénétrer dans une chambre du Val-de-Grâce où se trouvait le général Abdelaziz Bennani. Et ce n’était pas pour lui offrir des roses…
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, qui effectuait une visite surprise au Caire, a estimé que la transition en Égypte connaissait un « moment critique ». Il a indiqué que les États-Unis étaient prêts à « une collaboration étroite » avec les nouvelles autorités égyptiennes.
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, est arrivé dimanche en Égypte pour une visite surprise, celle du plus haut responsable américain depuis l’investiture à la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi, l’ex-chef de l’armée qui a destitué l’islamiste Mohamed Morsi.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a brièvement rencontré vendredi soir à l’aéroport du Caire le roi Abdallah d’Arabie saoudite lors de sa première visite en Égypte depuis la chute en 2011 d’Hosni Moubarak renversé par une révolte populaire.
La Libye a dénoncé mercredi la capture sur son sol, par les Américains, de Abu Khattala, responsable présumé de l’attaque meurtrière contre la mission diplomatique américaine à Benghazi en 2012. Tripoli a réclamé qu’il soit jugé en Libye.
Les représentants de l’Algérie, du Mali, du Niger, du Burkina Faso, de Mauritanie et du Tchad se réunissent depuis lundi pour discuter de la situation au Sahel. Une rencontre qui intervient après la signature à Alger d’une « plateforme préliminaire » par trois groupes armés du Nord-Mali.
En visite officielle à Tunis du 30 mai au 1er juin, le souverain chérifien Mohammed VI a fait la promotion du modèle marocain. Et capté l’attention de ses hôtes.
Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale (1914-1918), l’Algérie pourrait prendre part au même titre que soixante et onze autres pays au traditionnel défilé du 14 juillet sur l’avenue des Champs-Élysées, à Paris.
Trois groupes armés du nord du Mali ont annoncé dimanche s’engager à dialoguer avec Bamako pour trouver une solution définitive à la crise, sur une « plateforme préliminaire » signée à Alger.
De retour d’une visite à Alger, Laurent Fabius a affirmé mardi que le juge français Marc Trévidic, chargé de l’enquête sur l’assassinat des moines de Tibhirine, pourrait être autorisé à se rendre en Algérie « dans les jours qui viennent ».
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, est arrivé dimanche après-midi à Alger pour une visite officielle de deux jours, notamment centrée sur la sécurité au Sahel.
La réponse de Paul Kagamé au département d’État américain, qui s’est dit mercredi inquiet des arrestations arbitraires au Rwanda, n’a pas tardé. Le chef de l’État a rejeté les critiques tout en menaçant les déstabilisateurs d’être « tués en plein jour ».
Un adolescent de 14 ans, fils d’un diplomate de la RDC, est soupçonné d’avoir commis plusieurs agressions sexuelles à Magnanville, à 60 km à l’ouest de Paris. Pour permettre à la justice d’instruire sur ces « faits graves », les autorités françaises ont demandé jeudi à Kinshasa de lever l’immunité diplomatique du père.
Dans un communiqué rendu public mercredi, les États-Unis ont demandé aux autorités rwandaises de « s’expliquer sur le sort des personnes arrêtées et actuellement en détention ». Washington a également appelé Kigali à respecter la liberté d’expression.
Le régime de Bachar al-Assad continue d’utiliser des armes chimiques dans des bombardements. C’est ce qu’affirme le journal « Le Monde », qui évoque des éléments démontrant l’utilisation de chlore par l’armée syrienne.
Alors que la victoire d’Abdel Fattah al-Sissi à la présidentielle égyptienne a été officiellement proclamée mardi, les relations avec la France semblent au beau fixe. Le constructeur naval français DCNS vient de signer pour 1 milliard d’euros de contrat avec la marine égyptienne.
La gifle infligée le 25 mai aux partis de gouvernement par le succès électoral des partis populistes et xénophobes – qui ont plus que doublé le nombre de leurs élus au Parlement de Strasbourg -, et notamment la spectaculaire percée du Front national, devenu le premier parti eurosceptique de France, suscite beaucoup de questions. Sans prétendre à l’exhaustivité, Jeune Afrique a choisi de répondre à quatre d’entre elles.
Afin de régler la crise causée par l’expulsion ou le retour de nombreux ressortissants de RDC vivant au Congo, de hauts responsables de la RDC et du Congo se sont retrouvés lundi à Kinshasa.
Pour sa première visite en Tunisie depuis la révolution de 2011, le roi du Maroc s’est exprimé samedi devant les élus du pays depuis la tribune de l’Assemblée nationale constituante (ANC) à Tunis. Mohammed VI y a affirmé que l’Union du Maghreb est devenue une exigence régionale.
Le roi du Maroc Mohamed VI est arrivé vendredi à Tunis pour une visite officielle de trois jours, la première depuis la révolution de 2011, à l’invitation du président tunisien Moncef Marzouki, a constaté un photographe de l’AFP.
L’ancien vice-président sud-soudanais Riek Machar, dont les troupes affrontent l’armée sud-soudanaise depuis mi-décembre, est au Kenya où il a rencontré le président Uhuru Kenyatta, pour parler notamment du processus de paix.