Pressenti au poste de directeur général adjoint de l’Agence française de développement, Georges Serre devrait finalement rester au ministère des Affaires étrangères.
La Libye a renouvelé sa demande de 5 milliards d’euros par an à l’Union européenne pour « stopper définitivement » l’immigration clandestine à partir de ses côtes, à l’occasion d’une visite d’une délégation européenne à Tripoli.
Peu à peu, les relations franco-ivoiriennes se réchauffent. À un mois du scrutin présidentiel, Claude Guéant a rencontré Laurent Gbagbo et s’apprête à s’entretenir avec Guillaume Soro, Henri Konan Bédié et Alassane Dramane Ouattara.
Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a énoncé, à la tribune de l’ONU, une position en contradiction avec celle du Premier ministre, qui s’est immédiatement désolidarisé.
Mohammed VI a profité de sa présence au sommet de l’ONU sur les Objectifs du millénaire pour multiplier les rencontres bilatérales. Et désamorcer des tensions.
L’étude du projet de loi sur la criminalisation du colonialisme a été reportée par les députés algériens. Le récent rapprochement entre les deux pays y a sans doute contribué.
Même si le sort de Bernard Kouchner, le ministre français des Affaires étrangères, n’est pas encore définitivement scellé, son départ à l’occasion du remaniement ministériel de novembre est considéré comme quasi acquis par les fonctionnaires du Quai d’Orsay, lesquels ne cachent pas leurs préférences quant à l’identité de son successeur.
À Paris, les réunions se multiplient pour tenter de gérer au mieux la crise née de l’enlèvement par Aqmi de sept otages au Niger. Les dernières rencontres en date impliquent Salou Djibo, Claude Guéant, Robert Bourgi et Anne Lauvergeon.
Le secrétaire général de l’Élysée, qui a rencontré samedi dernier le chef de la junte nigérienne Salou Djibo, doit se rendre en Côte d’Ivoire les 2 et 3 octobre, dans la perspective de la présidentielle du 31 octobre prochain. Il devrait être accompagné par André Parant, conseiller « sud-Sahara » de Nicolas Sarkozy.
Avant l’élection présidentielle prévue le 31 octobre, le secrétaire général de l’Elysée doit venir prêcher la bonne parole dans la capitale ivoirienne. Il envisage de rencontrer les trois principaux candidats.
L’ancien vice-consul de Tunisie à Strasbourg, Khaled Ben Saïd, a été condamné par la justice française à douze ans de réclusion criminelle pour « complicité de tortures par instructions ». Les faits, qui se sont produits à Jendouba, remontent à octobre 1996.
Parce que la réussite du processus de paix menace directement leurs intérêts, les extrémistes des deux bords n’ont qu’un objectif : torpiller coûte que coûte tout règlement négocié.
Pour s’assurer le contrôle des îlots et récifs coralliens de la mer de Chine méridionale – voie maritime stratégique qui recèle de surcroît d’immenses réserves d’hydrocarbures –, Pékin ne recule devant rien. Au grand dam des autres pays riverains.
L’ambassadeur de Mauritanie au Mali a regagné son poste, huit mois après avoir été rappelé par Nouakchott en signe de protestation contre la libération par Bamako de quatre détenus réclamée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Le médecin rwandais Eugène Rwamucyo, soupçonné d’être impliqué dans le génocide de 1994 a été libéré par la justice française. Le Rwanda, qui réclamait son extradition, s’est dit « indigné et déçu ».
Après l’adoption de la liste électorale définitive, le secrétaire général de l’Élysée prépare un déplacement en Côte d’Ivoire, signe d’un réchauffement des relations entre Paris et Abidjan.
En visite dans la capitale italienne, le « Guide » réclame à l’UE 5 milliards d’euros par an pour continuer à la protéger de l’émigration clandestine subsaharienne.
Malgré des poussées de fièvre régulières, notamment à propos de la souveraineté de Ceuta et de Melilla, les relations entre les deux voisins vont se raffermissant. Héritage et destin communs obligent.
Une biographie de Nelson Mandela écrite par un ancien membre du gouvernement de Tony Blair, révèle un coup de sang du leader sud-africain contre le Premier ministre britannique en 2003 après le choix de celui-ci de se joindre à l’invasion de l’Irak. Madiba aurait mis en garde contre les « immenses dégâts » que sa décision allait causer dans le monde.
Les juges français chargés de l’enquête sur l’attentat contre l’avion du président Juvénal Habyarimana en 1994 arrivent au Rwanda samedi pour tenter d’éclaircir les conditions dans lesquelles l’appareil présidentiel a été abattu.
Le médecin et l’ancien consul de France, qui avaient assisté à l’identification des têtes des sept moines assassinés en Algérie en 1996, contredisent la version de l’ambassadeur de France d’alors. Cette enquête, qui empoisonne les relations entre Paris et Alger, est une nouvelle fois relancée.
Le ministère français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, dit « douter » de la sincérité de Dieudonné. L’humoriste a récemment annoncé qu’il demanderait au président Mahmoud Ahmadinejad la « clémence » pour Sakineh Mohammadi-Ashtiani.
Des mesures douanières prises par la Libye avaient déclenché des violences à la frontière avec la Tunisie cet été. La récente visite du Premier ministre tunisien a permis d’apaiser les tensions.
Le voyage éclair du secrétaire général de l’ONU au Rwanda, ce 8 septembre, n’a qu’un but : apaiser le courroux de Kigali, qui menace de retirer ses soldats des forces internationales de paix au Soudan. En cause : le rapport des Nations unies à paraître le 1er octobre, qui accuse l’armée rwandaise de « génocide » entre 1996 et 1998.
Dans la droite ligne du roi Fayçal, l’actuel souverain a introduit quelques réformes timides, mais significatives, dans un royaume réputé pour son conservatisme. Trois hommes sont aujourd’hui en pole position pour lui succéder. Et assumer – ou renier – cet héritage.