En séjour à Rome pour le sommet de la FAO, le « Guide » libyen a fait venir des Italiennes triées sur le volet leur donner un cours sur l’islam, dimanche soir.
Le président gabonais Ali Bongo est attendu en fin de semaine en France, sa première visite dans ce pays depuis son accession au pouvoir, a-t-on appris lundi au ministère français des Affaires étrangères.
L’interprétation contestée de l’hymne de l’Afrique du Sud avant le test-match contre la France le 13 novembre à Toulouse a pris lundi la tournure d’un incident diplomatique après que les autorités sud-africaines ont mis en cause les organisateurs français.
Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise guinéenne, se rend lundi à Abuja pour évoquer avec le président nigérian Umaru Yar’Adua le « début des pourparlers inter-guinéens ».
Les deux suisses retenus pendant 15 mois en Libye avant d’être remis à leur ambassade lundi, seront jugés avant la fin de l’année, a annoncé Tripoli. Ils sont accusés de fraude fiscale, infraction au code de commerce et à la loi de l’immigration pour avoir effectué un voyage d’affaire avec un passeport touristique, d’après le gouvernement libyen.
Les délégués de la junte au pouvoir à Conakry ont remis mercredi au président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise guinéenne, leurs propositions pour la « formation d’un gouvernement d’ouverture » et le maintien du capitaine Camara à la présidence.
Une délégation nigérienne représentant la mouvance présidentielle a entamé lundi à Abuja des discussions avec un médiateur ouest-africain visant à sortir le Niger d’une longue crise politique.
Les deux Suisses « enlevés » par la Libye en septembre ont été remis lundi à l’ambassade helvétique à Tripoli sans explication sur les raisons de leur détention, a indiqué la Confédération dans un communiqué.
Depuis l’interpellation musclée de Hannibal Kadhafi et de son épouse à Genève, en juillet 2008, Tripoli ne décolère pas. Et se plaît à jouer au chat et à la souris avec Berne.
Sous la pression internationale, le Président soudanais a dû renoncer à son voyage en Turquie, initialement prévu le week-end dernier. Mais il multiplie les déplacements dans les pays amis, en prenant garde à ne pas se faire arrêter.
Depuis le massacre du 28 septembre – au moins 150 morts dans un stade de Conakry –, la junte au pouvoir est mise à l’index par la quasi-totalité de la communauté internationale. Mais son chef ne veut rien entendre, conforté par les tâtonnements des uns et les ambiguïtés des autres.
La venue à Istanbul du président soudanais Omar el-Béchir, visé par un mandat d’arrêt international, ne répond pas à une invitation turque mais à celle de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), s’est défendu vendredi le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a annoncé jeudi qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat lors des élections générales prévues en janvier, manifestant ainsi sa frustration devant le blocage du processus de paix.
Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise en Guinée, a reçu mercredi les propositions de l’opposition guinéenne, qui demande la dissolution de la junte et la mise en place d’une autorité de transition pour six mois, selon différents opposants.
Le Maroc a exigé aujourd’hui « le départ immédiat » d’une diplomate suédoise, accusée d’avoir transmis des documents officiels marocains à « des éléments séparatistes, liés à l’Algérie et au Polisario », a annoncé le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Le médiateur burkinabè, le président Blaise Compaoré, a entamé mardi à Ouagadougou des pourparlers avec l’opposition guinéenne, qui demande le départ de la junte au pouvoir, en vue de sortir de la grave crise consécutive au massacre d’opposants le 28 septembre.
Depuis son accession au trône, Mohammed VI multiplie les voyages sur le continent, où le royaume étend son influence et renforce sa présence, tant politique qu’économique.