Ces derniers mois, le Maroc, le Soudan, le Bahreïn et les Émirats arabes unis ont normalisé leurs relations avec Israël. Des accords successifs qui redessinent le paysage géopolitique au Moyen-Orient.
Lors du sommet du 20 janvier dernier, organisé en visioconférence, le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a rassuré ses partenaires africains : la Grande-Bretagne post-Brexit garde toutes ses ambitions pour le continent. Mais sans rien proposer de vraiment nouveau.
Les cartes viennent d’être rebattues au sein de l’Union africaine, avec un jeu bien plus favorable aux intérêts marocains. Jusqu’à quel point ? Éléments de réponses.
Appels téléphoniques, lobbying des ministres… Alors que leurs candidats à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF) battent campagne en vue de l’élection du 12 mars, une autre compétition se joue en coulisses : celle des chefs d’État.
Depuis la fermeture des frontières et l’arrêt du commerce informel entre le Maroc et les enclaves espagnoles, la situation socio-économique est préoccupante de part et d’autre. Explications.
Alors que les féministes et africanistes se réjouissent de la nomination de Ngozi Okonjo-Iweala à la tête de l’Organisation mondiale du commerce, la qualification de « grand-mère », par un journal suisse, de l’ancienne ministre nigériane a suscité l’indignation.
Le 15 février, les chefs d’État du G5 Sahel, Macky Sall et Nana Akufo Addo se sont réunis en huis clos pendant plus de deux heures, tandis qu’Emmanuel Macron a participé aux échanges par visioconférence. Voici ce qu’ils se sont dit.
Sous l’impulsion du président angolais, la CEEAC s’active sur le terrain pour convaincre les groupes de la Coalition des patriotes pour la Centrafrique (CPC) et François Bozizé de participer à un dialogue le 2 mars à Luanda.
Malgré la présence de soldats français, la situation sécuritaire est loin d’être stabilisée. Au point que certains suggèrent désormais un dialogue avec les jihadistes, alors que s’ouvre ce lundi le sommet du G5 Sahel à N’Djamena.
Le Britannique a été élu procureur pour un mandat de neuf ans, vendredi 12 février, lors d’un vote à bulletin secret. Faute d’avoir atteint un consensus, les États-parties ont dû, pour la première fois, en passer par un vote.
La représentante de l’Unesco pour le Maghreb, la Libanaise Golda el-Khoury, a été mise en cause pour son management et écartée de son poste de directrice du bureau de Rabat après des propos jugés déplacés à l’égard de l’équipe marocaine.
Le président français recevra très prochainement son homologue ivoirien, qu’il n’a pas revu depuis leur déjeuner, le 4 septembre dernier, et sa réélection pour un troisième mandat. Voici les sujets qu’ils aborderont.
Dans un message vidéo adressé à l’Union africaine, le nouveau président américain a promis respect, dialogue et cohérence. Et peut-être même une visite au prochain sommet de l’institution panafricaine.
La Confédération africaine de football (CAF) connaîtra son nouveau président le 12 mars. Dernier rebondissement dans une campagne qui n’en manque pas : le retour d’Ahmad Ahmad, un temps écarté pour des soupçons de détournements de fonds.
Élu pour un an en septembre 2020, Nana Akufo-Addo vient déjà d’être reconduit à la présidence de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. Les dirigeants étaient très pressés d’officialiser leur décision.
Alors que la crise s’enlise en Centrafrique, où les groupes armés font face au président réélu Faustin-Archange Touadéra, l’Angola tente une médiation.
Des organisations syndicales du ministère des Affaires étrangères dénoncent des parachutages de personnalités n’appartenant pas au corps diplomatique à la tête des ambassades et consulats tunisiens. Et soulignent qu’une part importante d’entre eux sont des membres du ministère de l’Intérieur.
Le 15 février s’ouvrira à Abuja une session cruciale de la commission mixte Cameroun-Nigeria, qui sera présidée par le représentant spécial de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest, Mohamed Ibn Chambas. Qui espère bien parachever le processus de délimitation des frontières avant la fin de son mandat, courant 2021.
Le président malien de la transition a été reçu à déjeuner à l’Élysée par le chef de l’Etat français le 27 janvier. Sommet de N’Djamena, élections au Mali, Assimi Goïta… Voici ce qu’il faut retenir de leurs discussions.
Crise migratoire, Sahara, lutte antiterroriste… La ministre espagnole des Affaires étrangères Arancha González Laya revient sur les dossiers chauds entre son pays et le Maghreb.
Le 5 janvier, l’émir étreignait son meilleur ennemi, le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salman, mettant fin au blocus que lui imposaient plusieurs de ses voisins depuis 2017. Une séquence qui lui a coûté cher, mais dont le Qatar est sorti renforcé.
Poterie de Sejnane, pêche à la charfiya, harissa… Depuis sa nomination en 2016 à l’Unesco, le diplomate s’attelle à porter plusieurs pans de la culture et de la civilisation tunisienne au panthéon du patrimoine mondial.
Officiellement investi président des États-Unis mercredi 20 janvier, Joe Biden est déjà revenu sur certaines des mesures phares de Donald Trump. Il a aussi nommé un Africain en tant que dirigeant intérimaire de la Millennium Challenge Corporation.
Les deux chefs d’État se sont rencontrés en tête-à-tête, le 19 janvier, pour évoquer la réouverture partielle de la frontière entre le Bénin et le Nigeria. Patrice Talon a fait une proposition à Muhammadu Buhari.
Après trois années à la tête de la mission de maintien de la paix en RDC, la diplomate algérienne Leïla Zerrougui s’apprête à passer la main. Pour lui succéder, le secrétaire général de l’ONU António Guterres a choisi de nommer l’expérimentée diplomate guinéenne Bintou Keïta.
Visas, sécurité, développement… La politique africaine du nouveau président américain se lit tout autant dans les déclarations d’intention que dans le casting de la nouvelle administration.
Alors qu’une dizaine de pays africains projettent de se tourner vers le nucléaire civil et ont annoncé leur intention de se doter d’une centrale, la Chine et la Russie se positionnent sur le marché.
La nomination du médiateur de la CEEAC pourrait intervenir peu après le 19 janvier. Mais le choix de la personnalité se heurte aux exigences des uns et des autres, et notamment à celles du président centrafricain Faustin-Archange Touadéra. JA vous donne les détails.