La Russie et le Mozambique ont renforcé leur coopération en signant plusieurs accords économiques, notamment dans le domaine de l’exploration des champs gazéifères mozambicains.
Alors que la présidence avait fait savoir, le 23 août, que Paul Biya prendrait part à la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad) à Yokohama, le chef de l’État camerounais n’a pas quitté son pays.
Denis Sassou Nguesso et Emmanuel Macron tiendront le 3 septembre leur premier tête-à-tête à Paris. À l’heure où l’Amazonie brûle, l’environnement et le climat seront au cœur des discussions entre les deux chefs d’État.
Alors que la septième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad 7) s’est clôturé vendredi 30 août, la présence à Yokohama du chef du Front Polisario Brahim Ghali a contraint les organisateurs japonais à réaffirmer que cela ne valait pas reconnaissance de la Rasd.
Face aux atteintes massives aux droits humains commises en Asie du Sud et du Sud-Est contre des citoyens musulmans, la plupart des États du Maghreb et du Moyen-Orient préfèrent s’abstenir de froisser des partenaires économiques incontournables, partisans comme eux d’une diplomatie « pragmatique ».
En admettant ne pas reconnaître le visage du président sud-africain Cyril Ramaphosa, en marge du sommet du G7 à Biarritz, une journaliste américaine a tendu le bâton pour se faire battre…
Faustin-Archange Touadéra (FAT) est attendu au début de septembre à Paris, où il doit rencontrer son homologue, Emmanuel Macron. Au menu de leurs discussions : la présidentielle centrafricaine, prévue pour la fin de 2020, et l’influence de la Russie, qui inquiète les autorités françaises.
Les crises en Libye, au Soudan et en Centrafrique ont contraint le chef de l’État à déployer ses troupes et tous ses talents de diplomate. Pas question de se laisser déborder !
Plusieurs présidents du continent sont attendus pour la grand-messe de la coopération japono-africaine, la Ticad, qui débute mercredi 28 août à Yokohama.
Diplomatie économique, échanges universitaires, coopération culturelle… Le gouvernement québécois multiplie les initiatives pour tisser des liens pérennes avec l’Afrique francophone.
Le chef de l’État ivoirien et son homologue français se retrouveront ce jeudi soir au Fort de Brégançon, la résidence d’été des présidents français dans le Var, pour un dîner auquel participeront également Dominique Ouattara et Brigitte Macron.
L’absence médiatique, depuis près d’un mois, du ministre rwandais des Affaires étrangères, Richard Sezibera, alimente depuis quelques jours les spéculations sur son état de santé. Si des sources rwandaises confirment l’hospitalisation du ministre, Kigali dément formellement les rumeurs d’empoisonnement diffusées dans la presse ougandaise.
Shigeru Ushio est depuis 2018 le « Monsieur Afrique » du ministère japonais des Affaires étrangères (MOFA). À 56 ans, il a pris la direction générale des Affaires africaines avec pour objectif de leur apporter un nouvel élan. Interview.
Organisateur de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad 7) qui a lieu du 28 au 30 août à Yokohama, le Japon accuse un certain retard dans la course aux marchés africains. Pour y remédier, le pays hôte et les représentants des États participants vont lancer un appel en direction du secteur privé, afin de pousser les entreprises nippones à investir enfin sur le continent.
Plusieurs personnalités africaines, notamment gabonaises et rwandaises, ont fait le déplacement fin juillet pour rendre un dernier hommage à l’auteur d’ « Affaires africaines » et de « Noires fureurs, blancs menteurs ».
Plusieurs chefs d’État ont assisté aux obsèques du président Béji Caïd Essebsi, samedi 27 juillet 2019 à Tunis. Une cérémonie solennelle qui a donné lieu à quelques apartés inédits.
Pour s’adapter à la nouvelle réglementation américaine, les autorités chérifiennes ont restructuré leurs réseaux de lobbying dans la capitale fédérale. Avec un double objectif : plaider leur cause dans le dossier du Sahara et promouvoir leur rôle régional.
En matière de politique étrangère, le président iranien Hassan Rohani doit composer avec les proches d’Ali Khamenei, le Guide suprême. En Afrique, la perte de l’allié soudanais, passé dans le camp saoudien, a constitué un revers. Téhéran se tourne donc vers l’Afrique du Sud, membre des Brics, ce club de nations qui tente de faire contrepoids à l’Occident.
Place de l’Afrique dans la diplomatique chinoise, bras de fer commercial avec les États-Unis, rôle de la Belt and Road Initiative… Entretien avec Chen Xiaodong, ministre assistant des Affaires étrangères, chargé des affaires d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord, des affaires africaines et des archives.
Yaoundé tente de refaire sa réputation à Washington, qui accentue sa pression pour pousser les autorités camerounaises à accepter « un dialogue sans pré-condition » pour résoudre la crise dans les régions anglophones. Au centre du dispositif : un cabinet de lobbying proche des Républicains, qui a décroché un contrat de 220 000 dollars pour redorer l’image du gouvernement camerounais.
Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, avait promis une nouvelle relation avec l’Afrique lors de son élection, en 2015. À quelques mois des prochaines élections générales, qui auront lieu en octobre, force est de constater qu’il n’aura rien fait au cours de son mandat de quatre ans pour s’intéresser au continent africain.
Face à l’enlisement de la bataille pour le contrôle de Tripoli, les belligérants libyens changent de tactique et intensifient leurs raids aériens, une escalade militaire dont s’est alarmé l’émissaire spécial de l’ONU, en les exhortant à la trêve.