Paul Kagame et Macky Sall ont visité ce vendredi le salon Viva Technology, à Paris. Les deux pays, aux trajectoires différentes dans ce secteur, y ont défendu leur stratégie digitale respective.
Avec le sabotage de quatre pétroliers au large des côtes émiraties, puis l’attaque de drones, revendiquée par les Houtis, contre deux pipelines saoudiens, le Golfe a connu une semaine sous haute tension. Les Émirats jouent l’apaisement, tandis que l’Arabie saoudite hausse le ton.
Le ministre français de l’Intérieur se rendra à Abidjan puis à Dakar, lors d’une mini tournée en Afrique de l’Ouest du 19 au 21 mai. Objectif : renforcer la coopération bilatérale avec ces deux partenaires phares de la France dans la région.
Le président français Emmanuel Macron recevra la semaine prochaine le maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’Est libyen, afin de tenter de relancer le processus politique dans le pays.
Alassane Dramane Ouattara (ADO) était en visite mercredi 15 mai à Libreville, où il a rencontré son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba (ADO). Après une période délicate, la relation entre les deux hommes semble de nouveau au beau fixe.
Après N’Djamena le 20 mai, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian se rendra à Kinshasa dans le but de « relancer » la coopération bilatérale entre la France et la RDC.
Les présidents ivoirien et nigérien ont abordé début mai à Abidjan la question des crises libyenne et soudanaise, pour lesquelles ils plaident en faveur d’une action concertée au sein de l’Union africaine.
Félix Tshisekedi a annoncé la reprise de la coopération militaire avec la Belgique. Bruxelles a de son côté affirmé qu’un échange d’ambassadeurs pourrait « intervenir prochainement ».
Après le président togolais, qui s’est rendu à Libreville début mai pour y rencontrer son homologue gabonais, le président malien est également annoncé. D’autres présidents africains pourraient être présents au Gabon lors des célébrations du dixième anniversaire de la mort d’Omar Bongo Ondimba, le 8 juin.
Le Qatar a marqué l’opinion publique française depuis plusieurs décennies par sa présence dans le pays et sa volonté d’influence sur la scène politique et économique, suscitant un débat permanent sur sa stratégie, ses investissements et ses vocations islamiques.
Isolé sur la péninsule, Doha avance méticuleusement ses pièces sur le continent. Mais se retrouve confronté aux réseaux de ses concurrents saoudien et émirati.
Emmanuel Macron a « réaffirmé » mercredi le « soutien » de la France au chef du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) Fayez al-Sarraj, a fait savoir l’Élysée après une rencontre entre les deux dirigeants à Paris.
Les tribus Herero et Nama, déboutées en mars de leur demande de réparations à l’Allemagne pour les persécutions commises à l’époque de la colonisation allemande dans l’actuelle Namibie, ont déposé mardi un appel devant la justice américaine.
Le chef du gouvernement libyen d’union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj, va entamer mardi une tournée des principales capitales européennes pour y « réunir des soutiens contre l’agression » du maréchal Khalifa Haftar, a annoncé lundi le ministère des Affaires étrangères.
En dépit des réticences africaines, le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra à l’initiative des États-Unis sa première réunion sur le Cameroun le 13 mai prochain, alors que le pays est secoué depuis 2017 par un conflit armé entre séparatistes anglophones et les autorités centrales.
La question du partage des eaux du Nil empoisonne les relations entre l’Égypte et l’Éthiopie. Le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, et le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, tentent vainement de trouver un terrain d’entente sur le fond.
L’ONU a renouvelé pour six mois sa mission de paix au Sahara occidental. Les États-Unis, rédacteurs de la résolution, se sont attirés les foudres de l’Afrique du Sud, qui dénonce une approche favorisant le Maroc aux dépens du Front Polisario.
Depuis Ouagadougou où elle a entamé mercredi sa première étape d’une mini-tournée sahélienne, la chancelière allemande Angela Merkel a appelé les pays européens à consentir plus d’efforts pour les pays du G5 Sahel et a annoncé une aide au Burkina.
L’ancien président de la transition en Guinée, Sékouba Konaté, peine à renouveler son passeport en France, où il réside. Pour contourner ces difficultés, il en a appelé à Macky Sall pour obtenir la nationalité sénégalaise.
La Libye a demandé au Conseil de sécurité de l’ONU d’envoyer une équipe d’inspecteurs pour enquêter sur les violences contre des civils dans la capitale Tripoli, selon une lettre publiée jeudi.
Tunis reproche à Moncef Kartas, membre du panel d’experts des Nations unies pour la Libye arrêté le 26 mars, d’avoir notamment « reçu et divulgué des données sécuritaires importantes sur la lutte antiterroriste ».
C’est plus qu’une épine dans le pied, c’est une véritable épée de Damoclès. L’affaire du coup d’État manqué au Burkina Faso rattrapera-t-elle Guillaume Soro ?
S’il a perdu son allié Blaise Compaoré en 2014, Guillaume Soro peut toujours compter sur un carnet d’adresses bien rempli. De Mohammed VI à Faure Gnassingbé en passant par Teodoro Obiang, tour d’horizon des chefs d’État avec lesquels l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne entretient des liens.
Alors qu’un sommet africain doit se tenir le 23 avril sur la situation en Libye sous la houlette d’Abdel Fattah al-Sissi, président en exercice de l’UA, ce dernier a déjà plaidé la cause du général Khalifa Haftar auprès de certains dirigeants du continent.
Le ministre ivoirien de la Défense joue les bons offices entre le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré et l’ancien président Blaise Compaoré, en exil en Côte d’Ivoire, qui souhaite rentrer au Burkina Faso.
Des chefs d’État africains réunis sous la houlette d’Abdel Fattah al-Sissi, président en exercice de l’Union africaine, ont appelé mardi à une « transition pacifique et démocratique » d’ici trois mois au Soudan. le Conseil de paix et de sécurité de l’UA avait posé un ultimatum de quinze jours aux militaires.
Deux sommets africains se tiendront mardi au Caire sous la houlette du chef de l’État égyptien Abdel Fattah al-Sissi, président en exercice de l’Union africaine (UA), pour évoquer en urgence les crises au Soudan et en Libye.
L’annonce tardive d’un contact direct entre Donald Trump et le maréchal Khalifa Haftar pendant son offensive sur Tripoli clarifie un jeu international dans lequel Washington et Moscou apparaissent sur un même bord, au risque de marginaliser l’ONU en Libye.