Les États-Unis ont annoncé dimanche leur intention d’établir un grand centre militaire médical à Abou Dhabi, financé par les Émirats arabes unis, pour traiter en urgence des militaires de ce pays et des forces américaines basées au Moyen-Orient.
Le nouveau président de la RDC a demandé à son homologue brazzavillois de jouer le médiateur avec la France, le diplomate Abdou Abarry nommé ambassadeur du Niger auprès de l’ONU, le ministre des Affaires étrangères algérien rencontre le secrétaire d’État américain… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Le président et le vice-président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat et Thomas Kwesi-Quartey, sont engagés dans un bras de fer qui fait trembler les murs de l’institution. Le tout sur fond d’accusations de népotisme et de favoritisme.
Pomme de discorde entre Le Caire et Addis-Abeba, le barrage de la Renaissance en construction en Éthiopie constituera certainement l’un des gros dossiers qu’aura à traiter l’Union africaine sous la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi. Mustapha El Gendy, député égyptien au Parlement panafricain et spécialiste du sujet, y revient pour Jeune Afrique.
Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a achevé vendredi 15 février un déplacement officiel de trois jours dans la capitale française, au cours duquel il a notamment rencontré le président Emmanuel Macron et le Premier ministre Édouard Philippe. Retour sur cette importante visite avec le président du groupe d’amitié France-Tunisie au Sénat, Jean-Pierre Sueur.
Le président Félix Tshisekedi avait initialement prévu de réclamer à l’Union européenne (UE) la levée des sanctions à l’encontre de plusieurs personnalités proches de son prédécesseur Joseph Kabila, selon la version écrite de son allocution. Finalement, il a prononcé un discours très diplomatique à destination de son partenaire, avec qui il a assuré vouloir « redynamiser » ses relations.
L’ancien président français François Hollande a profité de sa visite en Mauritanie, jeudi, pour répondre à l’invitation du PDG de la Banque nationale de Mauritanie, Mohamed Ould Noueigued. Le lien entre les deux hommes : Michel Sapin, ex-ministre de Hollande et proche de longue date de Noueigued.
Depuis mercredi, le chef du gouvernement tunisien est en visite de travail pour trois jours dans la capitale française. Alors qu’il est notamment apparu ce jeudi matin aux côtés d’Édouard Philippe à Matignon, retour sur les premiers temps fort de son déplacement.
Les rois du Maroc Mohammed VI et d’Espagne Felipe VI ont présidé mercredi à Rabat une séance de signature de onze accords bilatéraux, à l’occasion de la visite d’État du souverain espagnol au Maroc, dont le voisin du nord est le premier partenaire commercial.
Cinq mois après la promesse du président Paul Biya de proposer un rendez-vous au cardinal Christian Tumi, qui projetait d’organiser la All Anglophone Conference (AAC), aucun contact n’a été établi entre les deux hommes.
Si officiellement Tel-Aviv et Doha n’entretiennent pas de relations diplomatiques, des échanges entre les deux pays se développent depuis les années 1990. Objectifs, pour l’un comme pour l’autre : diversifier les partenariats et augmenter son influence géopolitique au Moyen-Orient.
Les États-Unis co-organisent avec la Pologne, mercredi 13 et jeudi 14 février à Varsovie, une conférence internationale sur le Moyen-Orient. Ils entendent à cette occasion discuter de la situation politique dans la zone, et surtout accentuer la pression sur l’Iran.
Annoncée il y a un an et reportée à quatre reprises, la visite de Felipe VI dans le royaume chérifien aura finalement lieu ce 13 février. L’occasion pour Mohammed VI et son homologue espagnol d’écrire un nouveau chapitre dans la longue histoire des deux maisons royales.
Le chef du gouvernement sera en visite dans la capitale française du mercredi 13 au vendredi 15 février. Il rencontrera notamment son homologue Édouard Philippe et le président Emmanuel Macron.
Le sous-secrétaire d’État américain aux affaires politiques, David Hale, a créé la polémique, lundi à Abidjan, en émettant des doutes sur la pertinence d’un éventuel troisième mandat d’Alassane Ouattara. Des propos qui interviennent alors que la diplomatie américaine, sur la réserve depuis la crise post-électorale, réinvestit de plus en plus le volet politique.
En marge du 32e sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a accepté d’évoquer pour Jeune Afrique la question du Sahara occidental et l’actualité de la diplomatie chérifienne.
Le 32e sommet de l’Union africaine s’est achevé lundi 11 février, à Addis-Abeba, sous la présidence de l’Égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Retour sur ses principales conclusions.
En théorie, la réforme de l’Union africaine (UA) a supprimé son traditionnel sommet de milieu d’année. En pratique, le Niger, qui devait être le premier État à subir cette réforme, a trouvé le moyen d’inviter l’ensemble des chefs d’État du continent à Niamey en juillet 2019. Explications.
Guterres, Kagame, Ramaphosa, Mogherini… Pendant son séjour à Addis-Abeba, le nouveau président congolais a enchaîné les rencontres bilatérales avec ceux qui doutaient de la transparence de son élection. De quoi amplement le rassurer : sa victoire ne devrait plus être contestée par la communauté internationale.
Lors du 32e sommet de l’Union africaine (UA), le commissaire pour la paix et la sécurité de l’institution panafricaine, l’Algérien Smaïl Chergui, a fait une série d’annonces sur la Libye et la situation au Sahel.
Alors que l’Égypte prend la présidence de l’Union africaine, certains diplomates subsahariens s’interrogent sur la place des pays d’Afrique du Nord au sein du continent et de l’institution panafricaine. Des doutes sans fondement, pour le président tunisien Béji Caïd Essebsi.
Le Rwandais Paul Kagame a cédé son siège de président en exercice de l’Union africaine (UA) à son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, lors de la session d’ouverture du 32e sommet à Addis-Abeba. L’Afrique du Sud a été désignée pour lui succéder en 2020.
Le chef de l’État quitte la tête de l’Union africaine, où son style a parfois bousculé ses pairs, pour prendre celle de la Communauté de l’Afrique de l’Est. Quel bilan laisse-t-il ?
Avant d’accepter d’engager l’aviation française dans des frappes contre les rebelles de l’UFR en territoire tchadien, Emmanuel Macron a sollicité d’Idriss Déby Itno une lettre lui permettant d’avoir « une base légale suffisante » pour mener l’opération.
Alors que se tient le 32e sommet des chefs d’Etats de l’Union africaine, à Addis-Abeba, Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’Etat américaine, et Mohamed Benaïssa, ancien ministre marocain des Affaires étrangères, plaident pour un renforcement du multilatéralisme face aux nationalismes extrêmes. Avec un leitmotiv : la coopération édifie des nations, tandis que l’isolationnisme les déchire.
Premier voyage à Addis-Abeba pour Félix Tshisekedi, début de la présidence continentale pour Abdel Fattah al-Sissi, et même candidature inédite du roi d’Eswatini Mswati III pour lui succéder… Le 32e sommet de l’Union africaine devrait être celui des nouveautés.
Le roi Mohammed VI a nommé un nouvel ambassadeur en Tunisie. Hassan Tariq, ancien député de gauche, rompu au dialogue avec les islamistes et connaisseur du mouvement syndical, devrait s’y montrer à l’aise.
Pour exprimer son exaspération face à des gestes jugés hostiles, l’ambassadeur du roi du Maroc en Arabie saoudite a été retenu à Rabat. Un rappel officieux qui révèle l’ampleur des tensions entre les deux pays.
Le 6 février à Bangui, le gouvernement et les groupes armés centrafricains ont paraphé l’« accord politique pour la paix et la réconciliation ». En 43 pages, ils s’engagent dans un processus de sortie de crise, axé sur le désarmement, la décentralisation et la justice. Jeune Afrique a analysé le document.
Alors que son pays s’apprête à prendre la présidence de l’Union africaine, dimanche à Addis-Abeba, l’ambassadeur d’Égypte à Paris livre quelques pistes sur l’action égyptienne pour le continent. L’occasion, aussi, de revenir sur la récente visite d’Emmanuel Macron au Caire.