À l’invitation d’Emmanuel Macron, plusieurs chefs d’État et de gouvernement africains prendront part aux cérémonies du centenaire de l’armistice, le 11 novembre, à l’Arc de Triomphe.
Lors de sa visite officielle au Burkina, la gouverneure générale du Canada a évoqué avec Roch Marc Christian Kaboré le cas de Yacouba Isaac Zida, en exil à Ottawa depuis qu’il a quitté le pouvoir en 2016.
Le Brésil, ancien partenaire commercial et politique de plusieurs pays africains, pourrait décider d’abandonner définitivement le continent avec l’élection du nouveau président d’extrême droite. Ses déclarations choc et ouvertement racistes continuent à faire polémique, au Brésil comme en Afrique.
L’Union européenne a décidé le 25 octobre de renouveler d’un an les mesures restrictives prises à l’encontre de personnalités accusées d’entraver le processus de sortie de crise.
Les suspects du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, tué dans le consulat saoudien à Istanbul, seront poursuivis en Arabie saoudite, a déclaré samedi le ministre saoudien des Affaires étrangères, après que la Turquie a demandé leur extradition.
Alors que l’enquête turque sur la mort de Jamal Khashoggi se poursuit, Ankara maintient l’attention publique depuis près d’un mois en diffusant chaque jour de nouvelles informations par l’intermédiaire de la presse locale et américaine. Et le président Recep Tayyip Erdogan en sort renforcé.
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, qui révolutionne le paysage politique de la Corne de l’Afrique depuis son accession au pouvoir, doit effectuer à Paris lundi 29 octobre sa première visite en Europe. Une rencontre est prévue avec le président français Emmanuel Macron à l’Élysée.
Genèse du Pacte pour la paix au Mali, première conférence du Groupe des amis de la Mauritanie, abandon des poursuites contre le Chinois Tong Mei au Bénin… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Comme à chaque période préélectorale, la question de la restitution des îles Éparses – Europa, Bassas da India et Juan de Nova, dans le canal du Mozambique –, conservées par la France après l’indépendance de Madagascar, s’invite dans la campagne.
Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed Ben Salman a qualifié mercredi de « crime haineux » le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi au consulat en Turquie, affirmant que Ryad coopérait avec Ankara et que « la justice prévaudra ».
Les grands partis de l’opposition congolaise se réunissent depuis mercredi à Johannesburg. À l’origine de cette initiative, une discrète ONG sud-africaine, dirigée par d’anciens négociateurs de la fin de l’apartheid.
Les représentants de 41 pays se sont exprimés à propos du Sahara occidental lors de la dernière session de la 4e commission de l’ONU chargée des questions de décolonisation, qui s’est tenue à New York du 10 au 18 octobre.
La présidence française a mobilisé plusieurs de ses conseillers afin d’assurer l’élection de la Rwandaise Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), vendredi 12 octobre à Erevan.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé mardi 23 octobre que toutes les personnes impliquées dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, y compris les commanditaires, devaient être punies.
Vingt jours après le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, le ministre des Affaires étrangères tunisien a estimé que cette affaire ne devait « pas constituer une occasion pour déstabiliser le royaume ».
D’un côté, le Qatar. De l’autre, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, en pleine tourmente de l’affaire Khashoggi. Entre ces deux camps irréconciliables, la lutte d’influence fait rage. Champs de bataille : le Maghreb, l’Europe et les États-Unis. Enquête.
À contre-courant de la vague d’indignation suscitée en Occident par la mort, confirmée par Riyad samedi 20 octobre, du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, les pays arabes n’ont pas officiellement réagi. La plupart d’entre eux semblent ne pas vouloir prendre le risque de défier leur partenaire saoudien…
Riyad a admis, samedi 20 octobre, que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi avait bien été tué à l’intérieur du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul. L’affaire, qui suscite un tollé mondial, a terni l’image du royaume au point que le prince héritier Mohamed Ben Salman (MBS) s’en trouve fragilisé.
Sept ans et demi après la chute de Laurent Gbagbo, plusieurs figures du Front populaire ivoirien (FPI) ont décidé de rentrer du Ghana, dont Émile Guiriéoulou et Justin Koné Katinan.
Alors que la France a suspendu ses visites politiques en Arabie Saoudite, l’invitation du royaume au Forum de Paris sur la Paix, du 11 au 13 novembre, n’a pas été officiellement levée. Une situation embarrassante, alors que la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi continue de susciter l’indignation.
L’Union soviétique a été parmi les premiers soutiens de la jeune Guinée indépendante, en 1958. Soixante ans après, la Russie est de retour dans la coopération économique, sanitaire et militaire. Alexandre Brégadzé, l’ambassadeur de Russie en Guinée, plaide pour un renforcement de cette coopération renouvelée.
La vague mondiale d’indignation suscitée par la disparition, mardi 2 octobre à Istanbul, du journaliste Jamal Khashoggi, pourrait coûter à Mohamed Ben Salman (MBS) son poste de prince héritier, et déclencher une crise politique en Arabie Saoudite. Analyse.
L’Afrique est partagée au sujet d’Emmanuel Macron. Elle envie sa jeunesse, qui tranche avec l’âge moyen de ses chefs d’État. Elle applaudit le milliard d’euros de dons supplémentaires inscrits au budget 2019 de l’Agence française de développement (AFD). Mais elle s’agace quand le président français lui dit crûment ses vérités.
Par plusieurs gestes hautement symboliques en direction du continent africain, le président français Emmanuel Macron montre qu’il veut changer de paradigme. Sans pour autant renoncer à ses positions stratégiques.
Lors d’un point de presse tenu le 17 octobre à Kinshasa, Léonard She Okitundu, chef de la diplomatie de la RDC, a indiqué avoir officiellement transmis à Luanda « l’indignation et les vives protestations » de Kinshasa à la suite de la brusque expulsion de quelque 200 000 Congolais de l’Angola.
En marge du sommet de l’OIF à Erevan, le président français Emmanuel Macron a rencontré son homologue congolais Denis Sassou Nguesso, et s’est entretenu en tête à tête avec Ali Bongo Ondimba.
Le ministre français de l’Économie, Bruno Le Maire, a annoncé le 18 octobre qu’il ne se rendrait pas à Riyad, où il devait assister au sommet économique prévu du 23 au 25 octobre, en raison de la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
Depuis la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, il y a deux semaines à Istanbul, de nombreux partenaires économiques du royaume ont décidé de ne pas assister à la 2e édition du sommet « Future Investment Initiative », prévu du 23 au 25 octobre à Riyad. Ira, n’ira pas : simple effet d’annonce ou réel boycott ? Éléments de réponse.