En marge de sa rencontre avec son homologue français Jean-Yves Le Drian lundi, le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelkader Messahel a répondu le lendemain, dans une interview à « France 24 », aux accusations marocaines d’incursions du Polisario au Sahara occidental. Il s’est également exprimé sur le 5e mandat de Bouteflika et la béatification des moines de Tibhirine.
Le président français, qui recevait le prince héritier d’Arabie saoudite mardi à l’Élysée, a associé aux discussions Saad Hariri, Premier ministre libanais. Les trois hommes devaient notamment évoquer « la stabilité du Moyen-Orient ».
Arrivé lundi à Paris, pour une visite de trois jours, le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelkader Messahel s’entretient avec son homologue français Jean-Yves Le Drian, notamment sur la lutte contre le terrorisme, les conflits régionaux et sur les relations bilatérales entre les deux pays.
Les deux chefs d’État ont essentiellement discuté des tensions au Moyen-Orient. Par ailleurs, le roi a réitéré son invitation au président français pour une visite officielle au Maroc.
Nostalgique, George Weah ? Lors de sa première visite officielle en Côte d’Ivoire, le président libérien a organisé le 5 avril un déjeuner dans le célèbre restaurant L’Aboussouan, le même dans lequel il avait signé son premier contrat de footballeur professionnel avec l’Africa Sport.
Réunis dans un restaurant parisien, le prince héritier saoudien, le roi du Maroc et le Premier ministre libanais se sont prêtés à un exercice de communication opportun.
Le chef de l’État, Alassane Ouattara, rencontre ce mardi le président du PDCI, Henri Konan Bédié. Un tête-à-tête, annoncé par la présidence ivoirienne, qui intervient dans un contexte particulièrement tendu entre les deux alliés.
Le puissant héritier de la dynastie des Al Saoud est à Paris pour trois jours. Depuis quelques mois, il cherche à séduire, dans un contexte de crise régionale.
Face à la nomination d’une vingtaine de personnes, dont certaines n’ont pas d’expérience, à des postes de conseiller aux Affaires étrangères, des diplomates de carrière menacent d’entamer une grève.
Après la convocation par le ministère français des Affaires étrangères de Christian Bader, l’ambassadeur de France en Centrafrique, son premier conseiller Eric Bosc, ainsi que le consul Anton Bialecki, viennent d’être rappelés et seront de retour à Paris cette semaine.
Après les accusations royales à l’encontre d’Alger, Rabat a déployé ses politiques pour montrer son intention de mettre fin aux incursions du Polisario dans les zones gérées par l’ONU. Parallèlement, des vidéos amateurs montrent un convoi militaire marocain faisant route vers le Sahara.
Ce samedi 7 avril, la députée française Sira Sylla, présidente du groupe d’amitié France-Rwanda, devait assister, à Paris, à la cérémonie commémorant le génocide des Tutsis. Un premier pas vers une normalisation, encore largement virtuelle, de la relation bilatérale ?
Dans son dernier rapport qui sera soumis au Conseil de sécurité ce mois d’avril, le secrétaire général de l’ONU a joué à l’équilibriste. Sans parti pris, il s’est cependant exprimé sur les questions du moment.
Rachid Ndiaye, le ministre guinéen de la Communication, a été reçu à l’Élysée lors de sa visite à Paris, fin mars. Il s’est longuement entretenu avec Franck Paris, le conseiller Afrique du président français.
Dans un message adressé au secrétaire général de l’ONU, le roi du Maroc a plaidé, avec des mots très durs, pour qu’Alger prenne part aux négociations sur ce conflit historique. Alger, de son côté, refuse toute implication directe, et précise que ces négociations ne concernent que le Maroc et le Polisario.
Le ministre ivoirien de la Défense a proposé que les forces armées ivoiriennes intègrent les opérations de maintien de la paix de l’ONU, en particulier au sein de la Minusca, en République centrafricaine.
Auguste Alavo, actuellement ambassadeur du Bénin en France, devrait quitter Paris sous peu pour prendre un nouveau poste à Niamey. Le président béninois lui reproche d’avoir mal organisé sa dernière visite en France.
Le numéro 2 de la diplomatie sahraouie est mort mardi dans une clinique en Espagne, des suites d’une longue maladie. Il a accompagné toutes les négociations onusiennes depuis l’accord de cessez-le-feu de 1991.
Quelques jours après le vote par le Conseil de sécurité d’un nouveau mandat d’un an de la Monusco, Kinshasa a fait savoir qu’elle souhaitait le départ en 2020 de la force onusienne.
Le 23 mars, les représentants de la République centrafricaine ont boycotté la réunion de la Cemac. Objectif de ce mouvement d’humeur : protester contre le retour à Malabo du siège de l’institution.
Arrivé ce mardi en Algérie, le président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy examine avec son homologue, Ahmed Ouyahia, la question du gaz, dont presque la moitié de la consommation espagnole vient d’Algérie, et également l’épineux dossier sur la migration clandestine.
Après l’article de Jeune Afrique sur les dessous du contrat entre la Commission nationale électoral indépendante (Ceni) et le sud-coréen Miru Systems pour les « machines à voter », l’ambassade de Corée du Sud se désolidarise du fabricant et prévient des risques de « retard additionnel » à la tenue des élections.
Le royaume a appelé l’instance onusienne à intervenir pour mettre fin à ce qu’il qualifie de « provocations ». Faute de quoi, le Maroc « assumera ses responsabilités », a affirmé le ministre marocain des Affaires étrangères.
Incendiaire, conservateur, adepte de Fox News… Avec la nomination de John Bolton à la tête du Conseil de sécurité nationale, Donald Trump a trouvé un homme à sa hauteur.
Lors du sommet de Kigali, le 21 mars, la République arabe sahraouie démocratique (RASD) a signé l’accord mettant sur les rails la Zone de libre-échange continentale (ZLEC). Les représentants marocain ont quitté la salle le temps de cette signature.
Recep Tayyip Erdogan a terminé le 2 mars dernier une tournée africaine particulièrement chargée, en visitant pas moins de quatre pays : l’Algérie, le Sénégal, la Mauritanie et le Mali. De quoi placer un peu plus les pions turcs en Afrique, continent sur lequel le pays est déjà bien présent.
Si les politiques migratoires se durcissent en Méditerranée, seule une minorité d’habitants du « Sud » seraient prêts à quitter leur pays pour refaire leur vie ailleurs, s’ils avaient le choix.
La France devrait accueillir une rencontre entre les parlementaires des pays membres du G5 Sahel et les bailleurs de fonds de l’Alliance Sahel. L’événement, prévu fin 2018, se tiendra sous l’égide de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale française.
L’émissaire onusien Horst Köhler présente ce mercredi les premières conclusions de sa tournée régionale au Conseil de sécurité. Le Maroc, le Polisario et leurs cercles d’amis se préparent à une nouvelle bataille ce mois d’avril dans le dossier sur le Sahara occidental.
Le Vatican ne relâche pas la pression sur les autorités camerounaises pour faire aboutir l’enquête sur la mort suspecte de Mgr Jean-Marie Benoît Bala, l’évêque de Bafia (Centre).