À défaut de dialoguer directement, le Maroc et l’Algérie s’envoient des piques verbales par ministres interposés. Un nouvel échange de piques peu amènes a eu lieu dimanche.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a pointé du doigt samedi le Maroc pour les flux de haschisch qui arrivent en Algérie où des quintaux de résine de cannabis sont saisis chaque semaine.
Les députés européens ont adopté jeudi une résolution très critique vis-à-vis de Kinshasa. Les parlementaires demandent à l’Union européenne de conditionner une éventuelle participation au financement des élections à la mise en place de « mesures concrètes démontrant la volonté politique manifeste d’organiser les élections le 23 décembre 2018 »
Alors que l’enquête sur le meurtre du militant franco-égyptien, tué à Paris le 4 mai 1978, a été rouverte en France. Ses proches continuent de considérer que c’est au soutien du FLN algérien que le commando d’assassins s’en est pris.
Le président de la Guinée équatoriale a tenu lundi et mardi des discours fermes lors de la rentrée judiciaire du pays. Il y a notamment évoqué la tentative de putsch déjoué, la corruption de la justice équato-guinéenne et les militants de l’opposition emprisonnés, qu’il chiffre à « une vingtaine ».
Recherché par Paris dans l’enquête sur le possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy, le sulfureux homme d’affaires français, arrêté à Londres, a été libéré sous caution. Jusqu’à son extradition ?
Quelles étaient les motivations du commando arrêté pendant la période de Noël ? Après avoir évoqué un coup d’État manqué, les autorités parlent désormais d’« acte de terrorisme international ». JA a mené l’enquête.
Qui sont les commanditaires présumés du coup d’État déjoué fin décembre ? Portrait des principales personnalités désignées par les autorités équato-guinéennes.
Qui sont les « mercenaires » arrêtés par les autorités équato-guinéennes fin décembre ? Tchadiens, Centrafricain ou Équato-guinéens, tous ont en commun un passé de militaire et certains ont des liens au plus haut niveau dans leur pays d’origine.
Devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, sept États ont réclamé à Paris de déclassifier les documents concernant sa politique au Rwanda avant, pendant et après le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994.
Deux femmes porteuses de marchandises – les « hamalates » – ont été piétinées ce lundi dans une bousculade. Depuis début 2017, elles sont six à avoir trouvé la mort dans des accidents similaires.
Le 28 décembre dernier, l’élection de l’ancien footballeur George Weah à la tête du Liberia est venue conclure l’année en beauté. Entre le premier et le second tour, les recours de ses adversaires avaient laissé planer l’ombre du scénario kényan, mais la démocratie a fini par triompher.
Les paroles attribuées à Donald Trump sur les pays africains qualifiés de « pays de merde » sont inacceptables, a déclaré samedi le président ghanéen Nana Akufo-Addo.
La cheffe de la francophonie, Michaëlle Jean, a jugé samedi « indigne » et « offensant » que le président américain Donald Trump qualifie de « pays de merde » Haïti et les nations africaines, un propos qui a suscité un déluge de condamnations à travers le monde.
Les ambassadeurs du groupe africain à l’ONU ont exigé vendredi, dans un communiqué au langage très fort, « rétractation » et « excuses » au président américain Donald Trump, condamnant ses propos « racistes » rapportés la veille sur l’immigration en provenance de « pays de merde ».
La polémique enfle depuis la divulgation par la presse américaine des propos plus que désobligeants du président des États-Unis, qualifiant de « pays de merde » Haïti ainsi que plusieurs pays africains – non-identifiés.
L’avis de l’avocat général demandant à la Cour de justice de l’Union européenne d’invalider l’accord de pêche entre le Maroc et l’UE a déclenché de nombreuses réactions. Bruxelles qualifie le Maroc de « partenaire stratégique », tandis que l’Espagne réfléchit à des pistes de sorties.
Les dix leaders sécessionnistes camerounais arrêtés au Nigeria n’ont pour l’instant pas été extradé au Cameroun. Yaoundé affirme qu’un mandat d’arrêt international a été émis à leur encontre. Au Nigeria, l’un des avocats des sécessionnistes affirme que certains ont le statut de résident permanent et d’autres bénéficient de l’asile politique.
Les relations entre l’Inde et l’Afrique sont historiques et multidimensionnelles. Le pays jouit d’une grande estime sur le continent, où vivent actuellement près de 3 millions de personnes d’origine indienne.
Après son avis controversé sur l’accord agricole en 2016, la juridiction européenne doit se prononcer sur la légalité de l’accord de pêche. Nouveaux tracas pour la diplomatie marocaine ?
L’ambassadrice américaine auprès des Nations unies a condamné mardi les violences policières du 31 décembre, qui ont fait au moins cinq morts selon l’ONU.
À la fin du second mandat d’Obama, la levée de l’embargo commercial contre le régime castriste semblait imminente. Un an plus tard, il n’en est manifestement plus question. Merci qui ?
Alors que les autorités équato-guinéennes ont annoncé fin décembre avoir déjoué une tentative de coup d’État, l’envoyé spécial de l’ONU affirme que les Nations-Unies appuieront les autorités dans ses « efforts de stabilisation ». L’opposition se dit déçue de ne pas avoir rencontré l’émissaire des Nations Unies.
Alors qu’il s’emploie à plaire aux grandes puissances, le président soudanais se montre ferme sur le plan domestique. Conforté à l’international, Omar el-Béchir ne semble pas près à l’écoute et au compromis, alors que des manifestations ont éclaté après l’augmentation du prix du pain.
Cette zone tampon administrée par l’ONU connaît une nouvelle montée d’hostilités entre le Maroc et le Polisario. Les menaces et les provocations fusent.
Intellectuel et militant burundais, David Gakunzi décrypte pour Jeune Afrique les zones d’ombre autour de l’« Institut Mandela de Paris », un organisme non identifié qui vient de décerner le « prix du Courage » au président burundais Pierre Nkurunziza.
Israël a lancé un programme destiné à imposer à 38 000 migrants africains en situation irrégulière de choisir entre l’expulsion ou l’incarcération, affirmant avoir des accords avec des pays tiers pour assurer l’accueil des volontaires au départ. Après l’Ouganda, c’est au tour du Rwanda de démentir l’existence d’un tel accord.
Langage diplomatique et franc-parler étaient au rendez-vous des échanges de vœux entre le président ivoirien Alassane Ouattara et le corps diplomatique représenté en Côte d’Ivoire, jeudi au palais de la présidence ivoirienne. Morceaux choisis de la déclaration de Mgr Joseph Spiteri, nonce apostolique, doyen du corps diplomatique.