Alors que le Togo s’enfonce dans une grave crise politique, le président ivoirien Alassane Ouattara a exhorté mardi Lomé à ouvrir des « négociations » avec l’opposition.
La participation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) au 5ème sommet UE-Afrique qui se tiendra le 29 et 30 novembre prochain à Abidjan en Côte-d’Ivoire est en suspens.
En visite de quatre jours en Centrafrique, le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a demandé, le soir de son arrivée, mardi, un renforcement de l’effectif des Casques bleus en Centrafrique et à la communauté internationale de mobiliser plus de ressources pour le pays.
Emmanuel Macron a insisté mardi sur « le combat commun » de la France et de l’Égypte en matière de lutte antiterroriste, refusant de « donner des leçons » sur la question des droits de l’homme à son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, en visite officielle à Paris.
Le gouvernement malien a ordonné lundi l’expulsion d’un professeur d’une école française de Bamako qui a utilisé le terme « Azawad » dans un devoir d’histoire-géographie distribué à ses élèves.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi rencontrera Emmanuel Macron ce mardi à Paris dans le cadre d’une visite de trois jours. Les ONG montent au créneau.
Les relations entre Kigali et Paris sont à nouveau tendues. Le Rwanda a décidé de rappeler son ambassadeur de France suite à la convocation du ministre de la Défense rwandais, James Kabarebe dans le cadre de l’enquête sur la mort de l’ancien chef d’État, Juvénal Habyarimana en 1994.
Le Gabon a entériné jeudi dernier la suppression des visas pour les ressortissants de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (Cemac), fruit de l’accord conclu en 2013 sur la libre circulation en Afrique centrale, ont annoncé les autorités vendredi.
Le Gabon ne donnera suite « à aucune demande d’enquête internationale » sur les violences post-électorales d’août et septembre 2016 autre que l’enquête en cours de la Cour pénale internationale, a fait savoir le gouvernement lundi en réponse à une demande émise par l’Union européenne le 18 octobre.
A quelques jours de l’inauguration du Louvre d’Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, Jeune Afrique a pu accéder au site. Ouvriers et ingénieurs s’affairent pour porter la dernière main à ce futur temple du classicisme européen construit au milieu des sables brûlants, qui doit ouvrir ses portes au public le 11 novembre prochain.
Les banques marocaines et la Royal Air Maroc (RAM) sont montées au créneau. Mais pour le moment, Alger ne s’est pas expliquée sur les propos de son ministre.
À nouveau réunis à Tunis sous l’égide des Nations unies le 15 octobre pour amender l’accord interlibyen contesté de Skhirat, les représentants du Conseil d’État de Tripoli et ceux de leur rival, le Parlement de Tobrouk, avaient interrompu les négociations le lendemain, laissant craindre une impasse de plus.
L’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, qui n’a pas la langue dans sa poche, effectue ce qui est la première tournée d’un proche de Donald Trump en Afrique.
Le patron de l’Organisation mondiale de la santé a annoncé avoir annulé dimanche la nomination du président du Zimbabwe, Robert Mugabe, comme ambassadeur de bonne volonté de l’OMS, tentant de mettre fin à la polémique.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est attendu mardi en Centrafrique, où les violences ont redoublé ces deniers mois dans les provinces, au moment où le mandat des 12.500 Casques bleus de la Minusca déployés dans le pays est sur le point d’être renouvelé.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a manifesté samedi son « impatience » aux signataires de l’accord de paix au Mali de 2015, à propos des retards dans l’application de cet accord.
Le Maroc a annoncé samedi avoir décidé du rappel pour consultation de son ambassadeur à Alger, en réaction à des déclarations du ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, accusant des entreprises marocaines de « blanchir l’argent du haschich » en Afrique.
L’opposition zimbabwéenne et des associations des droits de l’homme ont critiqué vendredi la nomination du président Robert Mugabe comme « ambassadeur de bonne volonté » de l’ONU pour les maladies non transmissibles, malgré la grave crise sanitaire que traverse son pays.
La représentante permanente des États-Unis aux Nations unies Nikki Haley séjournera du 26 au 28 octobre dans la capitale congolaise pour sa première visite en Afrique.
Visé par des sanctions de l’Union européenne qui lui interdisent de pénétrer sur le territoire européen, le porte-parole du gouvernement congolais séjourne actuellement à Bruxelles. Lambert Mende bénéficie d’une « dérogation » accordée par la Belgique.
Dans un rapport présenté ce jeudi à Paris, la procédure n’a pas été entâchée d’irrégularités malgré sa forte charge politique. Un test pour la transparence de la justice marocaine.
Au moment où se tient à Brazzaville ce jeudi le sommet de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), la RDC continue à accuser ses voisins rwandais et ougandais de ne pas respecter l’accord-cadre d’Addis-Abeba, signé en 2013. Entretien avec le lieutenant-général congolais Denis Kalume, coordonnateur du Mécanisme national de suivi de l’accord-cadre d’Addis-Abeba.
Alors que le verdict du procès des « biens mal acquis », qui vise Teodoro Nguema Obiang Mangue – dit Teodorín -, le vice-président de la Guinée équatoriale, devrait être rendu le 27 octobre à Paris, la diplomatie équato-guinéenne s’active en coulisses.
L’élection de la République démocratique du Congo au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies a provoqué un tollé parmi les organisations de la société civile. Sonia Tancic, représentante de la FIDH à l’ONU, y voit cependant la possibilité de faire avancer la défense des droits humains dans le pays.
Après le Tchad début août, la Centrafrique vient à son tour de supprimer les visas d’entrée sur son territoire pour les ressortissants de la zone Cemac.
En visite à Owerri, dans le sud-est du Nigeria, Jacob Zuma s’est vu attribuer une médaille par le gouverneur de l’État, qui a aussi fait ériger une statue à son effigie. Un hommage qui passe mal dans les deux pays, alors que le chef d’État sud-africain se trouve sous le coup d’une enquête pour corruption.
Fin septembre, Ahmedou Ould Abdalla, le ministre mauritanien de l’Intérieur, a téléphoné à son homologue marocain, Abdelouafi Laftit, afin que ce dernier se penche sur le cas de deux virulents opposants mauritaniens hébergés par le Maroc.