Élu en mai 2015 à la tête de la Banque africaine de développement, le Nigérian nourrit de grandes ambitions pour le continent. Ses priorités : l’énergie et l’agriculture.
Le ministre des Finances sud-africain Pravin Gordhan a présenté mercredi un budget teinté d’austérité, dans lequel il prévoit des augmentations d’impôts et une réduction des dépenses publiques. L’objectif : éviter une dégradation de la note de la dette du pays.
S’il reste difficile à financer (au-delà de l’investissement initial) dans les villes, l’assainissement devient beaucoup plus rentable lorsqu’il s’agit de traiter les eaux usées découlant d’une activité industrielle.
Dans les années 1990, la société publique était au bord du dépôt de bilan. Aujourd’hui, c’est un modèle en matière de gestion de l’eau : dans les villes, le taux de raccordement est de 90 %.
Au sud du Sahara, le traitement des eaux usées demeure sous-développé, faisant peser sur les pays un coût sanitaire et économique exorbitant. Mais, sous l’impulsion des bailleurs de fonds, les principaux blocages commencent enfin à être levés.
On connaissait le « Grexit », qui désigne une éventuelle sortie de l’euro de la Grèce. Mais le débat concerne aussi l’UEMOA et la Cemac, dont la monnaie est d’une certaine manière gérée… à Francfort.
Hermès, Christian Lacroix ou le Metropolitan Museum of Art lui ont passé commande. L’émission « Réussite », magazine mensuel économique diffusé sur Canal + Ouest et Centre et co-produit par le Groupe Jeune Afrique, Canal + Afrique et Galaxie Presse, dresse le portrait d’Aïssa Dione, la championne du textile sénégalais.
Le président nigérian Muhammadu Buhari est de nouveau critiqué pour son immobilisme face à une grave crise économique et monétaire qui frappe le pays et menace de faire fuir les investisseurs.
S’ils veulent conquérir le continent et l’international, les groupes africains devront mettre davantage l’accent sur la Responsabilité sociale des entreprises (RSE), ont laissé entendre plusieurs dirigeants actifs sur le continent, lors d’une conférence organisée à Paris le 9 février.
Depuis le 15 mars, les importateurs ont obligation de déposer une demande de « pré-domiciliation bancaire électronique » – une étape supplémentaire dans les opérations d’import ou d’export qui vise à réduire leur volume. L’Algérie, dont les déficits commerciaux explosent avec la baisse des cours du pétrole qu’elle exporte abondamment, veut réduire de 15% ses importations en 2016.
Quand les cours du pétrole s’effondrent, c’est toute l’économie « bolivarienne » qui implose : pénuries, hyperinflation, récession… Pourtant, battus aux législatives de décembre 2015, les chavistes refusent d’abandonner une once de pouvoir. Et le spectre de la guerre civile rôde.
La Commission européenne, le bras exécutif de l’Union européenne (UE), a proposé aujourd’hui d’accorder une assistance macrofinancière supplémentaire de 500 millions d’euros à la Tunisie, a fait savoir la délégation de l’UE à Tunis.
Une délégation de hauts responsables de l’Agence française de développement (AFD), emmenée par Philippe Orliange, vice-président responsable des partenariats, s’est rendue à Tokyo les 9 et 10 février pour rencontrer leurs homologues de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) et son vice-président, Hiroshi Kato.
Les programmes de coopération de l’UE en Tunisie (217 millions d’euros engagés en 2015) ne devraient pas connaître d’inflexion a assuré Martin Schulz, le président du Parlement européen, en déplacement à Tunis, alors qu’une nouvelle intervention militaire occidentale dans la Libye voisine se profile.
Au Gabon, il est a été le « Monsieur Pétrole » d’Omar Bongo Ondimba. Au Bénin, il a soutenu Boni Yayi en 2006 et roulerait aujourd’hui pour Sébastien Ajavon. En politique, Samuel Dossou cultive l’exhaustivité.
Décidé dès le 15 janvier 2011 au lendemain de la fuite du président Ben Ali et de son épouse Leïla Trabelsi en Arabie Saoudite, le gel de leurs avoirs – dont le total pourrait atteindre 9 milliards de dollars – a depuis été reconduit par l’Union européenne (UE) d’année en année. Une décision à nouveau prorogée jusqu’au 31 janvier 2017.
Le gouvernement nigérian compte mobiliser jusqu’à 3,5 milliards de dollars auprès des institutions de financement du développement. Pour quels motifs ? Et pour quels usages ? La réponse en infographies.
Co-fondateur de l’association Agir pour une jeunesse autonomue (APJA), l’ancien basketteur Willy Asseko tente de transmettre aux jeunes Gabonais l’esprit d’initiative.
Préparer les futurs entrepreneurs aux embûches administratives et financières qui les attendent : c’est l’objectif du 3e Salon de l’Entrepreneuriat qui se déroule du 3 au 4 février à Tunis, au siège de l’UTICA, le principal syndicat patronal. Le mot d’ordre cette année : le coaching.
Le Fonds monétaire international se tient prêt à apporter son concours à toute demande de soutien financier d’un État africain mis sous pression par la chute des cours des hydrocarbures, a-t-il indiqué mardi. Pour l’heure, cependant, aucune demande officielle ne lui a été adressée.
L’Union européenne s’étonne qu’un don de 23 millions d’euros qu’elle a octroyé à la Tunisie en 2015 pour l’aider à réformer ses forces de sécurité n’ait toujours pas été dépensé.
De quoi financer une partie des 29 311 milliards de F CFA (44,6 milliards d’euros) du plan national de développement (PND) 2016-2020 annoncé par Abidjan mi-décembre et sur lequel des discussions sont en cours a dit le nouveau représentant de la Banque mondiale à Abidjan lundi.
Les déficits se creusent, les monnaies se déprécient, la croissance ralentit… Le surendettement est encore loin, certes, mais les pays subsahariens doivent ajuster sans tarder la structure de leur budget : moins de matières premières, plus d’impôts.
La première économie africaine a adressé deux demandes d’emprunt, l’une à la Banque mondiale, l’autre à la Banque africaine de développement (BAD), notamment pour financer le déficit galopant de l’État.
C’était lors du sommet de Johannesburg, en juin 2015. Les chefs d’État et de gouvernement décidaient de « s’approprier » le budget de l’Union africaine (UA).
À cause du retard de pluies dans le royaume, le gouvernement marocain a décrété vendredi un plan d’urgence de 4,5 milliards de dirhams (417 millions d’euros) pour faire face à la sécheresse. Mais, vu l’importance de l’agriculture dans l’économie, la croissance de l’année 2016 semble déjà affectée.