Fondée à Buea au Cameroun, la jeune pousse Njorku a été sélectionnée par le prestigieux magazine Forbes pour figurer parmi les 20 start-up qui comptent en Afrique.
Routes, aéroport, production agricole, défi énergétique… Pas de doute, le chef de l’État a été ambitieux pour son pays. De quoi avoir le tournis et s’interroger sur le coût de certains projets.
Le Printemps arabe redessine le marché. Les révolutions ont entraîné une redistribution des cartes économiques. Dégât collatéral : la croissance a très nettement ralenti.
Un égyptien bientôt premier? Alors que les groupes sud-africains enregistrent un tassement de leur activité, Orascom Construction Industries prend la deuxième place.
Poussée de production. Les projets d’usines se multiplient au sud du Sahara, où la demande peine à être satisfaite. À l’inverse, le marché nord-africain est saturé.
Le Cameroun et le Gabon restent ultradominants dans la zone. Libreville, qui multiplie les investissements et les réformes, se positionne pour l’avenir.
Certes, aucun groupe du continent ne pointe encore son nez dans le top 500 mondial. Mais cela ne saurait tarder, tant les progrès des leaders locaux sont spectaculaires. Analyse de notre palmarès 2011.
Autrefois bannie en Afrique, l’élaboration de politiques tournées vers le secondaire revient au goût du jour chez les économistes. Il était temps, car la production manufacturière du continent fait grise mine.
Des plans quadriennaux à celui dédié au soutien de la croissance, les choix ont été variés à travers les époques en matière de politique de développement en Algérie.
Réélu pour un troisième mandat il y a tout juste un an, le président Abdelaziz Bouteflika poursuit sa politique d’investissements publics, soutenue par une large majorité de la classe politique. Mais, sur le front économique et social, les tensions se font jour.
Croissance en berne, dégradation continuelle de la situation de l’emploi, casse sociale… La réélection de Nicolas Sarkozy dans deux ans est tout sauf assurée.
Ces deux dernières années n’ont pas été sans heurts. Pourtant, la crise internationale ne confine pas le pays au pessimisme. Inflation maîtrisée, grands chantiers dans l’énergie et les transports, projet de modernisation de l’agriculture… Reste à transformer l’essai.
Réélu pour un cinquième mandat de cinq ans, le président Zine el-Abidine Ben Ali s’est fixé un objectif ambitieux : faire entrer la Tunisie dans le club des pays développés d’ici à 2014.