Dakar supplanté par Mbacké, longévité augmentée, femmes moins nombreuses… L’agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) a dévoilé le rapport préliminaire du dernier recensement réalisé au Sénégal.
Les contours et l’avenir de la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique sont au cœur des discussions entre les ministres du Commerce américain et africains qui se tiendront à Johannesburg du 2 au 4 novembre.
Le patron de Privinvest, qui se trouve au centre d’un scandale de corruption à 2 milliards de dollars au Mozambique, a éludé presque toutes les questions lors de son contre-interrogatoire devant la justice britannique. Récit.
Augmentation du capital et des investissements, transition énergétique, réformes de la finance du développement… À mi-mandat, le président de la Banque ouest-africaine de développement détaille, en exclusivité pour « Jeune Afrique », l’état d’avancement de son plan stratégique.
Le 30 juillet, la Cedeao a interdit toute transaction financière entre ses États membres et le Niger à la suite du putsch du général Abourahamane Tiani. Pourtant, la Banque centrale ne semble pas avoir cessé de fournir des devises aux banques du pays.
La question des fonds promis par l’Europe à Tunis était de nouveau au programme d’une réunion à Bruxelles, le 25 octobre dernier. De nouvelles pistes ont été évoquées pour faire aboutir, enfin, le partenariat.
Les Jeux de la francophonie, qui se sont tenus en juillet et en août à Kinshasa, auraient coûté près de sept fois plus cher que prévu, selon le ministre congolais des Finances, qui met en cause les organisateurs.
Un juge anglais a estimé que la société offshore avait eu recours à la corruption et au parjure pour obtenir une sentence arbitrale frauduleuse d’un montant de 11,5 milliards de dollars. Retour sur le procès du siècle.
Les actionnaires de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) viennent d’approuver les demandes d’adhésion du Bénin et de la Côte d’Ivoire. Une première pour des pays d’Afrique subsaharienne.
Alpha Condé a été chassé du pouvoir à la suite d’un coup d’État en 2021. Pourtant, contrairement à celles des autres pays du Sahel, l’économie guinéenne résiste. Explications.
Sous l’égide du programme économique et financier soutenu par le FMI, le Sénégal s’apprête à recevoir un décaissement d’environ 275 millions de dollars. Mais, dans un contexte préélectoral marqué par des incertitudes politiques, quelles sont les prévisions économiques pour le pays ?
Les sanctions de la Cedeao qui ont visé les pays dirigés par des juntes se retournent contre ceux qui les ont prises. Du Sénégal au Bénin en passant par la Côte d’Ivoire, tous ont connu à divers degrés une baisse de leurs échanges commerciaux avec leurs voisins.
À des degrés divers, les tissus économiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger se délitent. Même si les indicateurs macroéconomiques tiennent bon, les entreprises sont les premières à payer les frais de l’instabilité politique et sécuritaire.
En compétition avec son compatriote qui sollicitait un nouveau mandat, le patron de Coris Bank s’est imposé en obtenant le vote de confiance des organisations patronales, réunies en assemblée générale. Il prend ainsi les rênes d’un Conseil national du patronat en quête d’un nouveau souffle.
Alors que les putschistes d’Afrique de l’Ouest justifient leur action en promettant une amélioration du bien-être collectif, le résultat est souvent inverse : hausse de la pauvreté, baisse du budget et des dépenses sociales, recul de l’activité économique…
Mali, Burkina Faso, Guinée et maintenant Niger. Depuis trois ans, les pays d’Afrique de l’Ouest sont frappés par une série de coups d’État. Si ces prises de pouvoir par les armes ont isolé diplomatiquement les juntes, elles ont également eu de lourdes conséquences pour les économies de la sous-région.
Depuis de son adhésion en 2022 à la Communauté de l’Afrique de l’Est, la RDC s’emploie à lever les barrières aux déplacements et au commerce avec ses nouveaux partenaires.
La gestion des primes et des caisses d’avance par la nouvelle équipe dirigeante de la Commission, présidée par Baltasar Engonga Edjo’o, est montée en épingle par les proches de son prédécesseur, au moment où le cabinet d’audit s’apprête à livrer ses conclusions sur la gestion passée.
Lors d’une table ronde sur les crises de la dette souveraine, le prix Nobel d’Économie Joseph Stiglitz a déploré l’incapacité de l’Occident à comprendre les besoins de refinancement du continent.
En pleine crise économique, et sans explications, le président tunisien a demandé à la ministre des Finances d’assurer l’intérim de Samir Saïed, le ministre limogé.
Alors que l’homme d’affaires franco-libanais Iskandar Safa est accusé de corruption d’agents publics, il dénonce une « machination politique » du président Filipe Nyusi, au premier jour du procès à Londres d’un scandale politico-financier qui secoue le Mozambique depuis une décennie.
Assainissement budgétaire, fin des subventions : le gouverneur de la Banque centrale du Kenya explique ses recettes pour retrouver le chemin des marchés internationaux.
Pour Mounir Houari, le directeur général du Centre régional d’investissement, la priorité accordée au développement de Dakhla et de ses environs est en train de porter ses fruits, même si des efforts restent à faire pour attirer des talents et densifier les liaisons aériennes.
À l’occasion d’un échange avec le président du groupe de la Banque mondiale au Maroc, le milliardaire anglo-soudanais a vertement critiqué l’organisation de l’institution internationale.
Si le Sommet de Paris a permis de constater la nécessité d’une meilleure représentation des pays du Sud au sein des institutions de Bretton Woods, l’heure est venue, selon les intéressés, d’accélérer le mouvement à l’occasion des assemblées annuelles des deux institutions au Maroc.
Le directeur général de la Société financière internationale aborde les réformes passées et en cours au sein de la filiale de la Banque mondiale. Il détaille également les investissements records réalisés par l’institution cette année.
Depuis plusieurs mois, des représentants de haut niveau de la Cemac et de la BDEAC font la tournée des grands rendez-vous du financement du développement pour convaincre les investisseurs de miser sur une nouvelle tranche de « projets intégrateurs ». Coulisses.