Alors que la guerre en Ukraine a fragilisé ses approvisionnements énergétiques et compliqué ses relations avec Moscou et Pékin, Berlin pose un œil neuf sur le continent. Et fait tout pour convaincre ses entrepreneurs d’y investir.
La Banque mondiale est un créancier incontournable de la Tunisie. Quelles pourraient être les conséquences économiques d’une longue suspension de son appui budgétaire au pays ?
Malgré des réunions de crise et des mesures en faveur des migrants subsahariens, le rétropédalage du gouvernement Bouden a été jugé insuffisant par l’organisation financière.
Désigné par le président américain Joe Biden pour diriger la Banque mondiale, Ajay Banga entame sa tournée mondiale en Côte d’Ivoire pour rencontrer les responsables de la Banque africaine de développement (BAD) et des membres du gouvernement.
Actif dans 48 pays et sur six continents, le négociant, dont la réputation a été entachée par le passé d’affaires de corruption, a subi une fraude « systématique » dans le cadre d’achats de nickel à un homme d’affaires indien. Récit d’une escroquerie de haut vol.
Malgré les perturbations des chaînes d’approvisionnement mondiales et la baisse des volumes de ventes, le géant nigérian maintient le cap avec un bénéfice net en progression de 4,9 % en 2022.
Sur un marché du ciment en forte croissance, IFC, filiale de la Banque mondiale, et Sococim, filiale sénégalaise du cimentier français Vicat, s’allient pour moderniser leurs infrastructures et réduire l’empreinte carbone du secteur.
Expansion au Maghreb, réduction des effectifs au Cameroun, impact de la pandémie et de la guerre en Ukraine… Le DG du producteur d’électricité britannique, leader sur le continent, maintient ses ambitions africaines malgré un contexte difficile.
Louis-Paul Motaze, ministre camerounais des Finances, tire la sonnette d’alarme pour la deuxième année de suite. Mais les responsabilités sont partagées.
Pénurie de devises, crise du carburant, inflation… Alors que le Nigeria traverse une mauvaise passe économique, les propositions des candidats sur ces sujets pèseront significativement sur la décision des électeurs.
En marge du sommet de l’Union africaine, Abdelmadjid Tebboune a annoncé que l’Algérie comptait consacrer 1 milliard de dollars de son budget à l’aide au développement sur le continent.
Jeune et ambitieux, cet homme d’affaires bien introduit ne s’interdit rien. Son nouveau défi : promouvoir toutes les formes d’art du Bénin et d’Afrique.
La guerre en Ukraine et le Covid-19 ont bouleversé l’économie mondiale. Leur impact se fait ressentir jusque dans la relation entre les deux continents qui se refaçonne au gré d’une « diplomatie du gaz » définissant un nouveau rapport de force.
David Malpass a annoncé, ce mercredi 15 février, qu’il quitterait son poste d’ici au 30 juin, avec un an d’avance, alors que l’institution, pressée d’en faire plus sur la question climatique, est en pleine réforme.
En quête de financements extérieurs, Le Caire se tourne de plus en plus vers ses voisins du Golfe. Avec succès : les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Koweït et le Qatar n’hésitent pas à investir dans les entreprises nationales. Tout en exigeant des réformes économiques et davantage de transparence.
Après Macky Sall en 2021 et Nana Akufo-Addo en 2019, le programme « Young Leaders » de la French-African Foundation sera placé sous le double haut-patronage du président rwandais, Paul Kagame, et du président français, Emmanuel Macron. L’appel à candidatures de la nouvelle promotion sera lancé le 16 février.
En défaut de paiement depuis 2020, la Zambie peine à convaincre la Chine de restructurer sa part de la dette qui s’élève à plus de 6 milliards de dollars. Alors qu’aucun accord n’a été conclu, Pékin appelle les créanciers multilatéraux à se joindre à l’effort.
Après des années de croissance, l’économie rwandaise se contracte. La stratégie nationale de transformation qui porte sur le numérique, la résilience climatique et l’économie circulaire, devrait inverser la tendance.
Alors qu’un nombre croissant d’entreprises françaises prospectent, à la faveur des bonnes relations entre Emmanuel Macron et Paul Kagame, pour s’implanter au Rwanda, une délégation de Bercy est attendue à Kigali, fin février.
À la tête depuis 2017 du fonds souverain le plus important d’Afrique, le docteur en finance est visé par un mandat d’arrêt européen émis par la justice belge, pour un dossier antérieur à sa prise de fonctions. Le 21 février, le tribunal de Bruxelles se prononcera sur la validité de cette décision.
L’institution financière internationale a accordé à la Tunisie un prêt de 120 millions de dollars pour des facilités de crédit. C’est le premier financement de l’année en faveur du pays qui attend encore une aide du FMI de près de 2 milliards de dollars.
Déficit de financement, impact des crises mondiales, rôle grandissant du numérique, Russie, Chine… Christian Yoka, directeur du département Afrique de l’AFD, livre son analyse des grands enjeux économiques auxquels fait face le continent.
Fort d’un bilan éloquent à la tête de la direction générale des Impôts, le fiscaliste s’en retourne au FMI faute de s’être vu offrir par Yaoundé des perspectives de carrière intéressantes.
Réunis au Ghana dans le cadre du « Dialogue sur la prospérité de l’Afrique », chefs d’entreprise et économistes se sont accordés sur l’urgence d’accélérer la mise en place de la zone de libre-échange continentale. En rappelant notamment les pays signataires à leurs responsabilités.
Les autorités de la transition burkinabè entérinent un nouveau plan de développement estimé à quelque 12 milliards d’euros. Tablant sur une croissance de 4,8 %, Ouagadougou veut s’appuyer sur le secteur privé autant que sur les grandes instances économiques du continent pour atteindre ses objectifs de « paix » et de « réconciliation ». Décryptage.
Qui succédera à Modeste Mopa Fatoing, le directeur général des Impôts au Cameroun débauché par le FMI ? Le ministre des Finances, Louis-Paul Motaze, et le directeur du cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, poussent chacun leur poulain. Le chef de l’État s’est saisi du dossier.
Le manque de lait et de café est emblématique d’une situation qui inquiète les dirigeants et la population. Pour les leaders de ces deux marchés, une seule solution : la libéralisation.
La directrice générale adjointe de l’Institut israélien pour l’export et la coopération internationale décrit à JA les tendances qui caractérisent les relations économiques de l’État hébreu avec le continent.