Si la crise liée au coronavirus a contribué à l’ascension des télécoms et à la chute du tourisme, c’est la sécheresse qui est à blâmer pour les mauvaises performances de l’agriculture.
Les membres de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) ne sont pas parvenus à s’entendre pour désigner un directeur général intérimaire avant la nomination à la rentrée du successeur du Brésilien Roberto Azevedo. Un poste que se disputent notamment trois candidats africains.
Pour faire face à la crise, l’État apporte un soutien massif aux entreprises et aux ménages. Objectif : faire redécoller l’économie dès le mois de septembre…
Tunis aura besoin de 1,2 milliard d’euros pour boucler un budget malmené par l’endettement structurel du pays, les conséquences du Covid-19 et la crise politique.
Barrage de la Renaissance, crise sanitaire, confinement, Endeavour-Semafo… Le magnat égyptien balaie, de manière parfois très directe, plusieurs sujets qui concernent son pays à l’occasion d’un entretien avec Jeune Afrique et The Africa Report.
Durement touché par la crise sanitaire, le pays pétrolier a vu son budget fortement amputé cette année. Le Gabon muscle son équipe ministérielle dédiée à l’économie, après l’arrivée de la nouvelle cheffe du gouvernement.
Sur le continent, la plupart des entreprises sont gérées et détenues par une famille. Défis, enjeux, avenir… Autant de points qui seront abordés par « The Family Business Summit », un séminaire du Africa CEO Forum, les 1er et 2 octobre prochains.
Le champion tunisien de l’export, qui a conquis le monde avec ses câbles automobiles, s’est diversifié dans l’agroalimentaire en utilisant les mêmes recettes : vision, savoir-faire et discrétion.
Entrée par surprise dans la course pour le poste de directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, l’ancienne ministre nigériane met en avant son profil à la fois politique et financier pour réformer une institution en pleine crise.
Il faut oublier les théories sur la colonisation économique. Le moteur de Pékin en Afrique est avant tout politique, assure l’analyste Eric Orlander, de China Africa Project.
L’institution, qui avait annoncé en avril une « récession historique de 1,6 % » en Afrique subsaharienne, table maintenant sur une contraction de 3,2 %.
Alors que les membres de l’Union africaine s’étaient entendus pour présenter une candidature unique à la direction de l’OMC, cette résolution a fait long feu.
La monnaie unique peut être une parade à la fragmentation de l’espace ouest-africain. Mais il faut aussi admettre que, faute d’un leadership suffisant pour porter l’eco, c’est le pire moment pour le lancer.
Particularités de cette crise sanitaire, moyens de vigilance déployés par Bank Al-Maghrib, scénarios de relance économique, mesures prises en faveur du secteur bancaire… Dans une interview exclusive, le premier banquier du royaume livre son diagnostic et dévoile sa stratégie.
Alors que Fitch Ratings publie une mise en garde contre de « probables » défauts de paiement en Afrique subsaharienne, zoom sur les profils d’endettement les plus à risque.
Après que le Bénin s’est retiré de la course et que le Nigeria a finalement désigné Ngozi Okonjo-Iweala pour le représenter, l’avocat Abdel Hamid Mamdouh se présente comme le seul candidat légitime de l’UA à la direction de l’OMC. Entretien.
Plutôt que de perpétuer sa dépendance à l’égard des donateurs internationaux, et afin de répondre efficacement à l’ensemble des défis découlant du Covid, le continent devrait évoluer vers un financement de marché, selon l’associé-gérant de Enko Capital Management.
La crise économique et sanitaire démontre – paradoxalement – que la relocalisation de la production se fera d’abord grâce à la plus grande ouverture au commerce. Une tribune de Christian Yoka, directeur régional de l’Agence française de développement en Afrique de l’Est, coécrite avec Gaëlle Balineau, économiste pour l’AFD.
L’ex-Premier ministre britannique travaille aujourd’hui à des plans de relance et plaide pour que le continent pèse davantage dans les relations internationales.
Le gouvernement béninois interprète le maintien de sa notation souveraine par S&P comme l’aval de sa décision de ne pas recourir au moratoire sur la dette proposé par le G20.
Un an après le départ forcé d’Abdelaziz Bouteflika et six mois après l’élection d’Abdelmadjid Tebboune, son successeur à la présidence de l’Algérie, Slim Othmani, président du think tank Care, et Abderrahmane Benkhalfa, ancien ministre des Finances, répondent aux questions de Jeune Afrique et des internautes.