À chaque déplacement à l’étranger, le président Alassane Ouattara appelle les expatriés ivoiriens à revenir travailler en Côte d’Ivoire. De fait, ils sont de plus en plus nombreux à franchir le pas et à trouver un emploi dans leur pays d’origine, essentiellement dans les secteurs de l’informatique, de la banque, la télécommunication et de l’ingénierie. Enquête.
La banque américaine s’est choisie deux nouveaux directeurs pour piloter ses filiales ivoirienne et sénégalaise. On est encore en attente du nom du remplaçant de Michel Losembe, ex-dirigeant de Citi en RD Congo.
Contrôlé par le capital-investisseur ECP, Finagestion remporte le contrat du secteur public de distribution d’eau de la République démocratique du Congo.
Le Moroccan Infrastructure Fund, cogéré par le capital-investisseur américain ECP et son partenaire local Attijari Invest, vient de céder ses parts dans Osead Maroc Mining. Une opération qui lui a permis de dégager un rendement de 94%.
Jusqu’ici en situation de force sur le marché local, le groupe spécialisé dans le palmier à huile, l’hévéa et l’élevage entre à la Bourse de Libreville. Mais parallèlement, la concurrence s’annonce.
L’impact investisseur néerlandais XSML vient d’accorder un prêt de 500 000 dollars à RJ Trading, une entreprise congolaise de vente au détail diversifiée dans la pâtisserie/boulangerie, la vente de glaces et les services informatiques.
Exclusif. Né au Cameroun, Afriland First Group a signé avec Access Bank la reprise de sa filiale ivoirienne. Au même moment, son offre de reprise de la Banque togolaise pour le commerce et l’industrie est rejetée.
Quelques mois après CMA-CGM qui a vendu 49 % de Terminal Link, sa filiale portuaire, c’est au tour de la compagnie maritime MSC (Mediterranean Shipping Company) de céder une partie de sa branche portuaire pour près de 2 milliards de dollars.
L’ancien président de la Commission de l’Union africaine est nommé président de Phoenix Capital Partners, une société de capital-investissement ivoirienne gérant 50 millions de dollars.
A l’occasion de la visite d’État de François Hollande dans le royaume, les places financières française et marocaine ont signé un accord de coopération.
Faustin Amoussou prendra dans quelques semaines la tête de la principale filiale du groupe.Sa mission : contrôler les risques et maintenir sa position de leader.
Fondé à Dakar en 2003, Impaxis s’est développé dans le conseil et les activités de Bourse. Il se tourne désormais vers l’investissement et veut élargir son activité de la Mauritanie au Congo.
La banque française Société générale a finalisé hier jeudi 28 mars la cession de la totalité de sa participation dans sa filiale égyptienne National Société Générale Bank (NSGB) à Qatar National Bank.
Le cimentier tunisien Carthage Cement a décidé de lever 80 millions de dinars à la bourse de Tunis. L’opération vise notamment à boucler le financement de sa cimenterie dont le lancement est prévu pour juillet 2013.
Avec un produit net bancaire de 1,8 milliard de dollars et un résultat avant impôt de 348 millions, le groupe bancaire panafricain affiche ses meilleurs résultats depuis sa création il y a 25 ans.
La Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, a annoncé avoir investi 5 millions de dollars dans la banque kényane Gulf African Bank. L’institution réalise ainsi son premier investissement dans un établissement charia-compatible en Afrique subsaharienne.
Le continent est resté l’année dernière la principale zone d’intervention de l’agence de développement néerlandaise, qui a principalement soutenu le secteur financier et l’énergie.
Alors que la banque marocaine vient de publier ses résultats au titre de l’exercice 2012, on note les bonnes performances de ses activités internationales qui ont profité de la montée dans le capital de Bank of Africa ainsi que du retour à l’équilibre de la filiale londonienne.
Les deux principaux opérateurs viennent de lancer leur offre de mobile banking. Si la monnaie virtuelle n’est pas encore entrée dans les moeurs, la fonction de transfert d’argent a déjà décollé.
La BEAC révise de 5,8% à 4,1% la prévision de croissance pour la zone. Un écart dû à la chute de la production pétrolière en Guinée équatoriale et à une diminution des investissements publics dans ce pays ainsi qu’au Congo et au Tchad.
Alors qu’Attijariwafa Bank organisait en fin de semaine dernière une conférence sur le thème Maroc-France : les nouvelles autoroutes de croissance, son dirigeant Mohamed El Kettani a répondu aux questions de Jeune Afrique. Expansion en Algérie, au sud du Sahara ainsi qu’en Europe étaient au menu des discussions.
Carlos Lopes, secrétaire exécutif de la CEA, a reçu « Jeune Afrique » à l’occasion des sixièmes réunions annuelles conjointes de l’Union Africaine et de la CEA, qui se tiennent du 21 au 26 mars à Abidjan. Il explique comment, contrairement à une idée reçue, l’Afrique peut baser son développement industriel sur ses matières premières.
Les banques se remettent des retombées de la révolution libyenne. Notamment grâce à l’État, qui occupe une (trop) grande place dans le secteur, à la fois comme actionnaire et comme client.
Au Cameroun, entre 6 et 12 millions de personnes chercheraient à accéder aux services financiers de base sans y parvenir. Les auteurs d’une étude menée par le ministère des Finances pointent du doigt l’inadaptation des services proposés par les institutions de microfinance.
En dépit de performances commerciales supérieures à la moyenne nationale, le groupe hôtelier marocain a perdu en 2012 près de 200 millions de dirhams. Il entend désormais se recentrer sur sa gamme économique.
Alors que le roi du Maroc achève sa tournée africaine (Sénégal, Côte d’Ivoire et Gabon), le royaume chérifien devrait bientôt obtenir son adhésion au capital de la Banque ouest-africaine de développement.
Le régulateur de la bourse de Lagos a annoncé avoir suspendu la filiale nigériane du groupe bancaire panafricain de toute activité financière, en raison de quelques irrégularités ayant entouré un crédit accordé à l’un de ses clients.
Suite à sa récente restructuration et la revente de ses opérations bancaires non commerciales, le groupe bancaire nigérian United Bank for Africa (UBA) a annoncé une vague de nominations au plus haut niveau.
Tuninvest, un capital-investisseur panafricain basé à Tunis, est entré au capital de l’algérien Amimer Énergie. Les fonds levés serviront notamment à développer les activités de ce fabricant de groupes électrogènes et concepteur de centrales clés en main au sud du Sahara.