Le numéro deux marocain, Banque centrale populaire, devrait conclure ce 7 juin l’acquisition d’environ la moitié du capital du groupe Banque Atlantique.
Après s’être implanté au Ghana, en Gambie, en Sierra Leone et au Liberia, le groupe nigérian amorce sa conquête de l’Afrique subsaharienne francophone. En commençant par Abidjan.
Le cabinet de conseil FinAfrique a été choisi par la SFI, filiale de la Banque mondiale chargée du secteur privé, pour mettre en œuvre la « boîte à outils pour les PME » au Cameroun.
Le groupe panafricain rapproche deux de ses trois branches d’activité : la banque d’investissement et la banque de l’entreprise. Les fonctions de plusieurs cadres dirigeants ont été redéfinies.
La Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale chargée du secteur privé, assumera 50% des risques de pertes sur les crédits aux PME accordés par la filiale ivoirienne de BNP Paribas.
Après de bons résultats en 2011, la filiale de l’Agence française de développement chargée du secteur privé fera passer ses interventions en Afrique subsaharienne de 29% de ses engagements en 2011 à 55% en 2012.
Le Kenya a recouru à des taux d’intérêt très peu élevés pour doper la consommation. Il doit aujourd’hui faire marche arrière, au risque de se retrouver avec des créances irrécouvrables.
Basé à Nairobi, le fonds African Guarantee Fund est doté d’un capital de 50 millions de dollars. Objectif : aider les banques à satisfaire les besoins d’investissements des PME africaines.
La plateforme Venture capital for Africa (VC4Africa) vient de lancer un nouveau service pour aider à connecter entrepreneurs et investisseurs potentiels.
Le Japon vient d’accorder des financements d’un milliard de dollars à la BAD dans le cadre de l’initiative de l’assistance renforcée au secteur privé (EPSA).
La SFI, filiale de la Banque mondiale, pourrait prendre 10% du capital de la banque tunisienne Amen Bank. En ligne de mire : des développements bancaires en Algérie, en Libye et au sud du Sahara.
Pour son neuvième investissement à l’est du continent, le capital-investisseur Emerging Capital Partners a choisi la chaîne de restauration Nairobi Java House, basée au Kenya.
Après deux bonnes années boursières, le groupe marocain Managem devrait afficher de moins belles performances en 2012. Sa volonté de rééquilibrer la structure de ses revenus continue toutefois à séduire les analystes.
L’émission obligataire de 60 milliards de F CFA (91,5 millions d’euros) lancée le mois dernier par la Côte d’Ivoire pour le financement de projets d’infrastructures a été sursouscrite de 20%.
La SFI, filiale de la Banque mondiale, ainsi que Phoenix Capital vont investir 3,8 millions d’euros dans le groupe avicole ivoirien. En ligne de mire : la conquête du marché régional.
Nommé en janvier 2011, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie est sur la sellette. Son tort : défendre bec et ongles l’indépendance de l’institution, au risque de se mettre le pouvoir à dos.
Avec la création de l’institution financière West Africa Agribusiness Development Corporation, Rabobank et la SFI veulent participer au décollage agricole du continent.
Les petites et moyennes entreprises constituent l’essentiel du tissu économique africain. Pourtant, leurs difficultés pour se développer subsistent. Autopsie d’une situation qui s’améliore timidement, notamment grâce au capital-investissement.
En 2011, le groupe marocain Centrale laitière a conforté sa première place. Toutefois, ses marges se détériorent. Résultat, au Maroc, la Bourse de Casablanca boude le titre.
Le président sénégalais Macky Sall a assoupli les restrictions à l’importation de véhicules d’occasion. Une mauvaise nouvelle pour la profession alors que le marché du neuf peine à décoller au Sénégal, notamment chez les particuliers.
Confronté à la difficulté de dynamiser son cours en bourse, le groupe forestier français Rougier quitte Euronext pour un autre compartiment, dédié aux PME.
La BAD vient de donner son accord pour un investissement de 100 millions de dollars dans Agvance Africa, le premier fonds de fonds dédié à l’agrobusiness en Afrique.
Le nouveau gouvernement de Macky Sall pourra-t-il tenir ses engagements socio-économiques ? En avril déjà, Amadou Kane, le ministre de l’Économie, avait qualifié l’état des finances sénégalaises d' »extrêmement grave ».