Porté par ses marchés phares et les infrastructures durables, le groupe français a, sur le continent en 2022, frôlé une croissance à deux chiffres de ses revenus.
Instaurer une culture du partage des données n’est plus une option mais une nécessité pour les assureurs traditionnels, selon l’associé du cabinet de conseil EY.
De l’ONA à Saham en passant par la commission royale sur le modèle de développement et le conseil d’affaires Maroc-Israël, retour sur le parcours d’une centralienne qui « n’aime pas le feu des projecteurs ».
Malgré un chiffre d’affaires record en 2022, le conglomérat tunisien voit le cours de son action dévisser depuis plusieurs mois. En cause, une audacieuse mais coûteuse stratégie, plombée par une conjoncture difficile.
Du Maroc à la France en passant par l’Afrique subsaharienne, les pays du Golfe et Israël, le PDG de Holmarcom possède un puissant réseau. Et pas uniquement dans les milieux d’affaires.
Trois années après le sinistre ayant endommagé les installations de l’unique raffinerie du Cameroun, l’apériteur tarde à indemniser l’assuré. Le peut-il seulement ?
Collaboratrice de Jeannine Mabunda pendant dix ans, cette quadra congolaise est désormais administratrice associée d’un cabinet de conseil en investissements. Elle est aussi à la tête de deux boulangeries dans le Kongo-Central. Portrait d’une businesswoman hyperactive.
Cette nouvelle banque publique est censée décharger le Trésor du coût de la politique immobilière. Mais l’environnement réglementaire et institutionnel restent confus.
Afin de combler leur retard dans la digitalisation de leurs offres et leur organisation interne, les acteurs traditionnels peuvent désormais s’adresser à une pléthore de start-up résolues à moderniser le secteur. Encore faut-il que ces deux mondes se comprennent.
La finance africaine pleure la disparition, à 81 ans, de Pathé Dione, le fondateur et président du groupe de bancassurance Sunu. Quelques mois auparavant, il avait entamé une réorganisation de son groupe, qui prend à présent des allures de testament.
Selon nos informations, Pathé Dione est mort ce 12 janvier à Paris. Nous republions à cette occasion le dernier article paru dans Jeune Afrique sur le groupe de bancassurance du vétéran franco-sénégalais.
L’ancien argentier du royaume et ex-ambassadeur à Paris a pris la tête d’un fonds souverain qui doit capter plus de 10 milliards d’euros d’investissement d’ici à 2026. Un nouveau défi pour celui qui s’est illustré dans sa gestion de la crise du Covid-19.
Cession, inclusion financière, start-up, croissance… Le financier camerounais, qui a pris les rênes d’Oragroup en 2019, balaie pour Jeune Afrique les dernières tendances du secteur bancaire en Afrique et les orientations stratégiques du groupe.
Après avoir tenté, sans succès, de faire exécuter le jugement rendu par la Cour de justice de la Cedeao en Afrique, l’homme d’affaires congolo-malien se tourne vers le tribunal de Paris. Une audience est prévue le 11 janvier.
L’annonce d’un écart de 11 millions de dollars (10,3 millions d’euros) dans un compte de transit – 3 % des fonds propres – a déclenché une bronca sur ce marché peu bancarisé, échaudé par de précédentes faillites.
L’investisseur français – très présent dans les projets d’infrastructures du continent – s’apprête à accueillir un actionnaire sud-coréen. Derrière cette opération se profile une ouverture à l’Asie. L’Afrique risque-t-elle d’être délaissée ?
Le 14 février, le président de la banque de développement de la Cedeao va de nouveau tenter d’obtenir la possibilité de briguer un second mandat. Mais la ministre sénégalaise de l’Économie défend l’accord de 2020 : Dakar doit avoir la main pour désigner son successeur. Coulisses.
Quelques semaines après avoir dévoilé ses plans d’expansion au Nigeria, au Kenya et en Éthiopie, le leader bancaire panafricain annonce vouloir déployer sa banque d’affaires et d’investissement au Sénégal, et développer ses activités en Côte d’Ivoire.
Les levées de fonds en « private equity » ont atteint un niveau exceptionnel sur le continent ces derniers mois. Une embellie à savourer avant des turbulences à venir.
Malgré des performances globales en repli sur les marchés du continent, certains secteurs – et des entreprises phares – résistent. Et des signes encourageants pour l’ensemble des investisseurs subsistent.
Pour le cabinet de conseil, la volatilité macroéconomique de 2022 a « renversé de nombreuses hypothèses et mis fin à une période de relative stabilité ». Explications
Avenir de l’assurance, concurrence kényane, retrait des banques européennes, ambitions pour les PME… Le patron du colosse de la banque en RDC doit faire face à de nombreux défis.
Le Fonds africain de développement s’engage à investir près de 41 millions de dollars pour développer l’aviculture, l’agriculture et la pisciculture. Ce projet tourné vers la résilience climatique concerne près de 240 000 personnes.