Après deux années désastreuses, la banque nigériane United Bank for Africa déclare des profits vertigineux sur les trois premiers mois de 2012. Un résultat à ne pas forcément prendre au pied de la lettre.
Rigueur budgétaire, contrôle, transparence, prudence… Depuis le scandale qui l’a ébranlée en 2009, la Banque des États de l’Afrique centrale a revu son code de conduite. Cela n’empêche pas l’Afrique centrale de connaître une nouvelle affaire de mauvaise gouvernance.
Après deux années désastreuses, la banque nigériane United Bank for Africa déclare des profits vertigineux sur les trois premiers mois de 2012. Un résultat à ne pas forcément prendre au pied de la lettre.
Rigueur budgétaire, contrôle, transparence, prudence… Depuis le scandale qui l’a ébranlée en 2009, la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) a revu son code de conduite. Cela n’empêche pas l’Afrique centrale de connaître une nouvelle affaire de mauvaise gouvernance.
Fusion, cession et même disparition pure et simple : Jeune Afrique révèle les pistes de travail de l’exécutif ivoirien pour sortir les banques publiques de l’ornière.
Quelques mois après avoir repris une compagnie angolaise, l’assureur panafricain basé au Maroc Saham met le cap sur le Moyen-Orient en achetant 81% du libanais LIA Insurance.
Deux ministres, Ridha Saïdi et Houcine Dimassi, le gouverneur de la Banque centrale et le dirigeant du syndicat UGTT. Quatre hommes dont les décisions influenceront grandement le redressement économique du pays.
Dans le cadre d’une augmentation de capital, la banque tunisienne Amen Bank a annoncé l’arrivée prochaine à son capital d’un « partenaire stratégique étranger », dont le nom reste pour l’instant inconnu.
CIPEF VI se positionne comme l’un des plus grands fonds d’investissement spécialisé sur les marchés émergents. Jusqu’à un tiers des sommes collectées pourrait être investi en Afrique.
Le Fonds pour l’agriculture en Afrique (AAF) annonce un investissement de 24 millions de dollars dans Golden Lay, l’une des principales sociétés avicoles au sud du Sahara.
Avec le soutien technique de la banque Standard Chartered, la Société financière internationale (SFI) met en place un programme d’émission obligataire africain. Une initiative pour l’instant limitée à six pays anglophones, mais qui pourrait être rapidement étendue au reste du continent.
En adoptant un Programme pour le développement des infrastructures en Afrique, les États de l’Union africaine se sont engagés à mettre en oeuvre 51 chantiers essentiels. Entretien avec Ralph Olayé, chargé de l’intégration régionale à la Banque africaine de développement (BAD).
L’année 2011 a été difficile sur la Place marocaine, mais les valeurs immobilières ont affiché de belles performances commerciales. En 2012, elles devraient tirer profit du créneau du logement social et intermédiaire.
Avec l’entrée de BPCE au capital du marocain Banque populaire, les deux groupes affirment leur volonté de se développer sur le continent. Mais leur stratégie reste floue.
Fini les aventures en Argentine et en Russie. Le groupe sud-africain Standard Bank se recentre sur l’Afrique. Et pour donner un coup de fouet à son développement, il va recruter entre 3 000 et 4 000 employés en deux ans.
Figure historique de la Place de Tunis, Salah Sayel, le nouveau président du Conseil du marché financier, sera attentif à la transparence des opérations.
Figure historique de la Place de Tunis, Salah Sayel, le nouveau président du Conseil du marché financier, sera attentif à la transparence des opérations.
Fini les aventures en Argentine et en Russie. Le groupe sud-africain se recentre sur l’Afrique. Et pour donner un coup de fouet à son développement, il va recruter entre 3 000 et 4 000 employés en deux ans.
Le cabinet d’audit et de conseil français veut recruter 500 consultants et auditeurs en Afrique francophone. Il s’agit de couvrir 30 pays de la zone et d’y réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros d’ici à quatre ans.
Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), il pilote la diversification de l’économie nationale. Le FGIS doit rapporter plus de 500 milliards de F CFA à l’Etat d’ici à cinq ans.