Voilà de quoi se mettre à l’abri pour un petit moment. D’après le gouverneur de la Banque centrale libyenne, Qassem Azzoz, l’ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a vendu plus de 20% des réserves en or du pays au cours des derniers jours de son régime. La valeur de la transaction s’élèverait à plus d’un milliard de dollars.
Alors que les géants des mines affichent des résultats records en 2011, leurs titres boursiers ne cessent de dégringoler. Que demandent de plus les marchés financiers ?
Le premier, Charles Mporanyi, dirige depuis vingt ans l’un des plus grands groupes du Rwanda. La seconde, Nadia Uwamahoro, encore étudiante, fait une entrée remarquée dans le secteur des nouvelles technologies. Portraits.
Restauration, distribution, high-tech, loisirs… Une nouvelle classe moyenne urbaine émerge au Rwanda. Et elle ne lésine pas sur les moyens pour se faire plaisir. Stimulant l’économie mais creusant les inégalités sociales.
En baisse de 11 % depuis le début de l’année, le marché local souffre également d’une diminution de moitié des capitaux échangés. Du fait du contexte politique régional, mais aussi parce qu’il reste trop cher.
Avec l’annonce surprise de la nationalisation de trois établissements, la réforme du secteur bancaire nigérian touche à sa fin. À la clé, l’arrivée de fonds de capital-investissement et l’émergence de nouveaux leaders.
Jean-Pierre Oyiba et Philibert Andzembe veulent être blanchis des soupçons de corruption qui pesent sur eux et, surtout, obtenir de l’argent. Ils envisagent de demander des réparations à la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac).
Comment expliquer la crise d’hystérie collective qui frappe les marchés financiers et boursiers ? Avant tout par la peur, largement irrationnelle, des spéculateurs.
Basé à Tunis, le cabinet AlphaMena a fait de l’indépendance son credo. Misant sur un modèle novateur et fort du soutien du français AlphaValue, il ambitionne de s’imposer comme une référence sur l’ensemble des places arabes.
Le quatrième fournisseur d’accès à internet de Tunisie entre en Bourse. Objectif pour Naceur Hidoussi, le fondateur de HexaByte : enrichir son offre avec des services 3G.
Le quatrième fournisseur d’accès à internet de Tunisie entre en Bourse. Objectif pour Naceur Hidoussi, le fondateur de HexaByte : enrichir son offre avec des services 3G.
Déjà présent dans onze pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, le groupe NSIA (Côte d’Ivoire) vient de franchir un nouveau cap dans son expansion. À Lagos, au Nigeria, il a acquis 96,15 % du capital d’Adic Insurance.
Sucre, farine et ciment… Les trois principales filiales du groupe nigérian ont longtemps fait miroiter de spectaculaires taux de croissance. Mais depuis leur entrée en Bourse, elles affichent des performances décevantes.
Quels financements innovants peut-on apporter à l’aide au développement ? C’est notamment à cette question que devra répondre le futur G20, en ces temps de restrictions budgétaires.
L’établissement burkinabè s’octroie 35 % du capital de la BIA-Niger. Son patron, Idrissa Nassa, espère trouver à Niamey le même succès qu’à Ouagadougou.
Près de deux ans après l’explosion du scandale de la Beac révélé par Jeune Afrique, le procès n’a toujours pas eu lieu. Mais les premières libérations « provisoires » ont commencé.
Le déblocage de la situation économique à Abidjan est une bonne nouvelle pour les capital-investisseurs. Mais, faute de visibilité, peu d’opérations sont à prévoir cette année en Côte d’Ivoire.
Le Soudan a lancé dimanche une nouvelle monnaie, six jours après une opération similaire dans le nouvel État du Soudan du Sud, et promis de négocier avec ce dernier pour éviter des difficultés liées aux anciennes coupures.
Lesieur Cristal, numéro un marocain de l’huile de table, sort du giron du holding royal SNI pour intégrer Sofiprotéol. Sa place dans la stratégie du groupe français reste à préciser… et le renouveau du titre en Bourse à confirmer.
Depuis son accession à la tête d’Attijariwafa Bank en 2007, Mohamed El Kettani conduit à un rythme soutenu le développement du groupe au sud du Sahara. Nouvelle étape : la création d’une banque d’affaires à Dakar.
Le groupe français BPCE s’apprête à conclure sa troisième acquisition au sud du Sahara. Après Madagascar et le Mali, il finalise une prise de participation conséquente dans Banque Atlantique Côte d’Ivoire.
En pleine expansion avant la révolution, le distributeur auto paie cher sa proximité avec l’ancien pouvoir. Les analystes sont désormais partagés sur l’intérêt du titre, coté à Tunis et à Casablanca.
En 2036, les établissements bancaires des sept premiers pays émergents supplanteront par la taille leurs homologues du G7. Tel est le scénario écrit par le très sérieux cabinet PricewaterhouseCoopers.
La BPCE, deuxième groupe bancaire français, signe ses premières opérations au sud du Sahara (au Mali et à Madagascar), une région qu’il juge stratégique.
Le cours du métal précieux semble se stabiliser autour des 1500 dollars. Et plusieurs sociétés spécialisées sur l’Afrique de l’Ouest pourraient en bénéficier à moyen terme. C’est peut-être le moment d’investir…