Dépassé par l’assaut chinois de ces dernières années, le Japon tente de combler son retard et prévoit d’injecter 3,4 milliards de dollars d’ici à 2012 sur le continent.
Après avoir renoncé à un poste confortable au sein d’une grosse banque, cette Tunisienne est devenue une experte reconnue du marché de l’art islamique.
Créé en 1959 par des concessionnaires locaux désireux d’offrir des facilités de paiement à une clientèle aisée, Alios élargit aujourd’hui son offre à la classe moyenne.
Accusés de ne pas financer suffisamment les projets industriels, les banquiers invoquent souvent les risques politiques. Les filiales de grands groupes et les banques locales se disent pourtant prêtes à accompagner les initiatives.
Un prêt de 40,3 milliards de F CFA a été accordé le 30 mars à la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci) par Ecobank et la Bicici.
Patron de la branche assurance de NSIA, le numéro deux du groupe ivoirien évalue l’impact de la réforme du secteur, prévue pour le 1er avril, et détaille la stratégie 2010 du bancassureur face à une concurrence accrue.
Si l’opacité demeure au Maroc et en Algérie, la Tunisie brise l’omerta : ses chefs d’entreprises doivent désormais publier leurs salaires. Enquête sur les rémunérations des principaux dirigeants des trois pays.
Le groupe chinois Geely a racheté le constructeur suédois Volvo dimanche 28 mars. Un nouveau signe de l’irrésistible ascension de son patron, Li Shufu.
La ministre française de l’Economie Christine Lagarde insiste sur la mise en oeuvre des réformes de la BEAC demandées par le FMI dans une lettre au ministre équato-guinéen de l’Intégration régionale.
Le 25 mars 2010, les conseils d’administration de la SNI et de l’ONA ont décidé de fusionner. À la manœuvre : le PDG de l’ONA, Mouatassim Belghazi qui s’est livré à Jeuneafrique.com moins de quarante-huit heures après la fusion. Interview.
Lors d’une réunion le 25 mars 2010, les conseils d’administration de la SNI et de l’ONA ont décidé la fusion de ces deux entités phares de la finance et de l’industrie marocaine. Objectif: stimuler la place financière de Casablanca.
Amélioration du climat économique, lutte contre la corruption, découvertes pétrolières : le pays table sur une croissance de 4,7 % en 2010 et suscite à nouveau l’intérêt des investisseurs internationaux.
Tremblement de terre au Capitole. La loi emblématique de l’administration Obama sur la réforme du système de santé devra être revotée par la chambre des représentants, après que les sénateurs républicains ont mis au jour deux irrégularités de procédure qualifiées de « mineures » par la majorité.
Crise financière oblige, la banque d’investissement, arrivée en fanfare en Afrique en 2007, a remisé une partie de ses folles ambitions. Mais sans perdre de sa vigueur.
Cinq millions d’euros détournés par l’ancien dictateur Jean-Claude Duvalier et déposés dans des banques helvétiques vont sans doute être restitués à Haïti.