Le Sénégalais Amadou Kane prend la suite de Tiémoko Yadé Coulibaly à la présidence du conseil d’administration de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM).
Le gabonais Philibert Andzembé sera maintenu au poste de gouverneur de la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC), en dépit de son rappel par le Gabon après la découverte de malversations et d’importantes pertes, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
L’enquête de Jeune Afrique réalisée sur un panel de grandes écoles de commerce place le secteur bancaire en priorité des recherches d’emploi. La téléphonie mobile et les cabinets de conseil ont également la cote.
À 59 ans, le fils de l’un des fondateurs du groupe bancaire panafricain en devient le président. Il succède au Malien Mandé Sidibé et entend poursuivre la consolidation de la banque après sa phase d’expansion.
Le Conseil d’administration du groupe Ecobank a désigné, lundi, son nouveau président en la personne de Kolapo Lawson. Une nomination qui fait suite au décès du malien Mandé Sidibé, en août dernier.
Dans le cadre du rachat au Crédit Agricole de cinq banques de détail en Afrique subsaharienne, deux acquisitions ont été agréées par les autorités de tutelle : celles du Crédit du Congo (Congo-Brazaville) et de l’Union gabonaise de banque.
Alors que l’économie américaine se porte mieux, le président chute dans les sondages. Ce qui ne l’empêche pas de parler sans détour aux banquiers et aux traders. Et, surtout, de défendre avec vigueur le grand projet de son mandat : la réforme de l’assurance maladie.
Philibert Andzembé, le gouverneur de la Banque des Etats d’Afrique Centrale (BEAC) a admis que 15 milliards de FCFA ont été détournés au bureau parisien de la Banque entre 2000 et 2008, confirmant ainsi les informations publiées dans Jeune Afrique.
Il est le premier PDG noir à la tête de l’une des premières banques de son pays. Depuis ce poste stratégique, il veut financer en priorité les projets de sa communauté avec un égal souci de rentabilité.
Quelque dix-neuf milliards de F CFA – au très bas mot – détournés à la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), un vrai buzz sur les sites Internet de la région, la une de plusieurs quotidiens camerounais et tchadiens, des radios et télés internationales qui reprennent l’info en boucle et… rien.
Trente millions d’euros (19 milliards de F CFA) au minimum ont été détournés au bureau extérieur de Paris de la Banque des États de l’Afrique centrale entre 2004 et 2008. Comment ? par qui ? et pour le compte de qui ? Révélations sur un scandale.
Entre 2004 et 2008, trente millions d’euros (dix-neuf milliards de francs CFA) au minimum ont été détournés au sein du bureau de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) à Paris. Une enquête exclusive de la rédaction de Jeune Afrique révèle les dessous de ce scandale.
L’assainissement du secteur prépare l’arrivée d’investisseurs étrangers dans le capital des établissements du pays et préfigure une seconde vague de consolidation.