La réunion annuelle de l’Union des Bourses Arabes s’est ouverte mercredi à Casablanca, au Maroc. Les participants se consacreront surtout à la crise financière et à ses répercussions sur les marchés du monde arabe.
Un « Fonds d’investissement pour l’agriculture en Afrique » vient d’être créé pour soutenir le travail de la terre en Afrique. Les filières céréalière, de fruits et légumes et d’élevage pourraient chercher à se rapprocher de ce fonds, qui atteindra à terme 500 millions d’euros.
La crise mondiale frappe les forestiers au moment où la lutte contre l’exploitation illégale commençait à s’imposer. Des milliers d’emplois sont menacés.
La perte de 16,4 milliards de F CFA par la Banque centrale remet à l’ordre du jour la bataille pour la répartition des postes au sein de l’institution.
Le Mali et la France viennent de signer trois conventions d’un montant total de plus de 10 milliards de francs CFA (20 millions de dollars) pour l’amélioration de la gouvernance de la filière-coton et un appui au Programme d’investissement sectoriel pour l’éducation (PSE III) et au Fonds d’expertise et de renforcement des capacités (FERC), a- t-on appris mardi de source officielle.
Fondée il y a quinze ans, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) est à la peine. Intégration régionale balbutiante, rivalités au sommet, « affaire » de la Beac…, le chantier, ouvert en 1994, est loin d’être achevé.
Le gouvernement zimbabwéen a décidé de suspendre officiellement pour au moins un an l’usage de la devise nationale qui a, dans les faits, déjà disparu de la circulation, a indiqué dimanche l’hebdomadaire d’Etat Sunday Mail.
Le gouvernement de Morgan Tsvangirai a réussi à réduire l’inflation, mais le pays reste sinistré. Et le président Mugabe ne semble pas prêt à faciliter la tâche de la nouvelle équipe.
Face à la gravité de la crise, ils étaient condamnés à s’entendre et à obtenir des résultats. Réunis à Londres le 2 avril, vingt représentants de pays développés et émergents ont posé les bases d’un nouvel ordre économique planétaire.
Épargnée, pour le moment, par la tempête actuelle, la finance islamique poursuit son essor en Afrique, où elle compte une quarantaine d’établissements.
Avec le retour des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers, le pays relance sa machine économique dans un contexte difficile. Seuls le coton et les phosphates peinent à redécoller.
Après son divorce avec Auchan en 2007, l’ONA pensait faire cavalier seul. L’offensive de son principal concurrent, Label’Vie, associé à Carrefour, et les ambitions d’outsiders relancent les hostilités.
L’ONG française Sherpa a adressé au prince Albert II ainsi qu’au procureur de Monaco un courrier demandant le gel de comptes bancaires ouverts en principauté, selon l’association, au nom d’Edith Bongo, l’épouse décédée du chef d’Etat gabonais Omar Bongo, a-t-on appris jeudi auprès de Sherpa.
À l’étroit sur le marché national, qui l’a vu grandir, la première société d’intermédiation change d’identité et part à la conquête des marchés voisins.
Après la privatisation et l’assainissement des créances douteuses, les banques consolident leurs fonds propres et se préparent pour une nouvelle bataille : la qualité des conseils et des services. En attendant un ultime mariage de raison.
Fini la TV publique. La disparition des monopoles a suscité la création de près de 300 chaînes privées dans 44 pays, qui se partagent 700 millions de téléspectateurs. Reste à organiser le marché de la production.