APÄ Bangui (Centrafrique) Les députés centrafricains ont adopté, à Bangui, le budget de l’Etat centrafricain pour l’exercice 2009, arrêté à la somme de 167 milliards de FCFA.
L’affaire est conclue depuis le 31 octobre : la Banque internationale du Burkina (BIB) change de propriétaire. Salariés et concurrents sont sur le pont.
Les championnats professionnels de première et deuxième division de football de Côte d’Ivoire ont enregistré, à l’issue de la saison 2008, un déficit total de 112 millions 328 mille 670 FCFA, a annoncé le président de la Ligue professionnelle, Sory Diabaté.
Rien ne semble pouvoir faire reculer le groupe français en Afrique, pas même ses déconvenues au Niger, en Centrafrique et au Gabon. Et pour cause : les perspectives de son marché n’ont jamais été aussi radieuses.
Surfant sur une conjoncture favorable, l’OCP marocain a lancé un vaste plan de développement. Il se déploie dans l’industrie et affiche des ambitions au Togo.
La bataille pour la première place mondiale se poursuit. Elle devrait mener à la création de supergéants capables d’imposer leurs prix aux industries de transformation.
Tandis que les champions africains de l’or et du diamant connaissent un tassement de leur activité, une nouvelle génération de pays miniers monte en puissance, comme la Côte d’Ivoire, la Guinée, la RD Congo ou encore Madagascar.
Président de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), après avoir été directeur Afrique du Fonds monétaire international (FMI) pendant six ans, il est convaincu que le continent n’échappera pas au ralentissement.
La traditionnelle réunion des ministres des Finances devait entériner les bonnes perspectives économiques de la région. Il a fallu bousculer l’ordre du jour.
Le secteur se consolide. À coups de fusions et d’acquisitions, dont celle du premier établissement bancaire du pays, la BIB, par le groupe nigérian UBA.
Le prêt exceptionnel de la France au Sénégal, d’un montant de 125 millions d’euros, constitue « une honte pour le Sénégal » dont « l’économie est asphyxiée » par une gestion ‘gabégique' », a estimé la porte-parole du Parti socialiste (PS, opposition) Aissata Tall Sall.
Le niveau de transparence dans la gestion des ressources publiques a progressé sur le continent africain, notamment en raison d’une pression accrue d’organismes de lutte contre la corruption, a estimé à Addis Abeba un haut responsable de la Banque mondiale (BM).
Le Gouverneur de la ’Reserve Bank of Zimbabwe’ (RBZ), M Gideon Gono, a décliné l’offre du gouvernement américain de le placer à un poste à la Banque Mondiale, ont rapporté à Harare, des médias publics, qui dénoncent dans cette affaire « le double jeu » des capitales occidentales.