Le groupe nigérian Access Bank a adopté une stratégie volontariste pour promouvoir l’avancement des femmes en son sein et a développé des produits financiers qui leur sont destinés.
L’offre du groupe bancaire marocain pour le rachat de quatre filiales du français BPCE (Cameroun, Madagascar, Tunisie et Congo), bien qu’approuvée à la fin de décembre, doit encore recueillir l’aval de différents régulateurs.
Deux postes attendent l’ex-ministre de la Santé nigérian : directeur mondial pour la santé, la nutrition et la population, et directeur de la facilité de financement mondiale à Washington DC. Médecin de formation, il a étudié aux États-Unis et au Royaume-Uni, et dirigeait jusqu’ici l’Agence nationale de développement des soins de santé primaires du Nigeria.
Nommé vice-président chargé de l’investissement bancaire en Égypte, ce bilingue arabe et anglais formé à l’université de Southampton a démarré sa carrière en 2007 comme analyste chez CI Capital Investment Banking. Passé par Adib Capital Investment Banking, il rejoint Beltone Financial en tant que directeur associé en 2017.
L’ex-numéro 2 de la banque publique marocaine vient d’être nommé PDG de l’établissement, en remplacement d’Ahmed Rahhou, désormais ambassadeur du royaume auprès de l’Union européenne.
La société spécialisée en capital-investissement sur le continent préparerait la création d’un fonds doté de 1,25 milliard de dollars, le plus important dédié au secteur privé africain.
La banque française s’apprête à céder ses filiales africaines au Gabon, en Tunisie, au Mali, au Burkina Faso et en Guinée. En cause, les tensions avec les partenaires locaux et le faible dynamisme de ces marchés.
Malgré le départ précipité de BNP Paribas en 2010 – quatre ans après son arrivée –, son ex-filiale mauritanienne a prospéré sous le marocain Attijariwafa Bank.
L’exil des grands groupes bancaires complique l’accès des entreprises africaines à la « correspondance bancaire », nécessaire pour réaliser des paiements internationaux.
BNP Paribas a fait du Maroc sa principale base logistique pour « la gestion des 100 millions d’euros d’investissements consacrés à la refonte du système d’information de ses activités » en Afrique francophone.
Les principales places boursières du continent affichent des performances médiocres depuis le début de l’année. Mais l’amélioration de la conjoncture devrait ranimer l’intérêt des investisseurs.
L’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) vient d’imposer une habilitation aux professionnels des sociétés de Bourse et de gestion. Sans elle, impossible d’exercer.
Pour financer son expansion dans le capital de Union Bank of Nigeria (UBN) et maintenir la conformité de ses indicateurs financiers avec les ratios prudentiels réglementaires (ratio en deçà duquel une banque est insolvable), Atlas Mara avait annoncé le 20 juin 2017 son intention de lever 200 millions de dollars à travers une augmentation de capital.
Pour répondre aux appels d’offres internationaux alors que son marché domestique est devenu trop étroit, l’intermédiaire boursier Tunisie Valeurs change de catégorie.
Ces dernières années, le capital-investisseur a dû renoncer à plusieurs projets. Mais la clôture de son fonds AFIV, doté de 640 millions de dollars, redonne du souffle à sa stratégie.
La banque française BNP Paribas fait l’objet d’une procédure collective lancée par vingt-et-un réfugiés soudanais l’accusant d’avoir renforcé les exactions du régime entre 1997 et 2007, en traitant plusieurs milliers de ses opérations bancaires via ses bureaux new-yorkais.
Si la BDEAC a bel et bien engagé des réformes pour améliorer sa gouvernance, le FMI s’oppose toujours à la reprise de mesures de soutien en sa faveur par la Banque des États d’Afrique centrale, son actionnaire de référence.
Lutte contre la fraude, développement du secteur des assurances-vie et transformation digitale. Le directeur général de Saham Assurance Maroc, Christophe Buso, revient pour Jeune Afrique dévoile son plan d’action pour renouer avec la rentabilité.
En raison d’une « rupture importante de confiance », le PDG du groupe d’assurance Old Mutual, vient d’être écarté de ses fonctions par le conseil d’administration du groupe.
En moins de dix ans, le PDG du groupe public marocain CIH Bank, Ahmed Rahhou, a profondément transformé l’établissement bancaire en en faisant un champion du numérique.
C’est une première en Afrique de l’Ouest francophone. La Banque de l’habitat du Sénégal (BHS) a lancé, le 16 mai, ses premiers titres à destination des personnes physiques et morales issues de la diaspora. Jeune Afrique a demandé des précisions à Marie-Odile Kantoussan, directrice générale de CGF Bourse, qui coordonne cette émission.
Le clan de l’ancien président congolais a cherché à prendre le contrôle de plusieurs banques congolaises, entre 2013 et 2017, avec l’aide d’associés angolais et chinois. Ce sont les conclusions d’un rapport de l’ONG américaine The Sentry, cofondée par George Clooney.
Après son arrivée remarquée sur la place boursière de Lagos, MTN Nigeria annonce l’obtention d’un prêt de 494 millions d’euros auprès de sept banques internationales pour financer ses investissements et solidifier ses réserves.
Cet ex-Premier ministre du Bénin, normalien et agrégé d’économie rejoint Attijariwafa Bank en tant qu’administrateur pour six ans. Sa nomination doit être approuvée en assemblée générale le 27 mai. Ce Franco-Béninois passé par la banque Rothschild et PAI Partners dirige en parallèle sa société d’investissement panafricaine SouthBridge.
Oragroup annonce des résultats en forte progression pour l’année 2018, à l’heure de l’arrivée de Ferdinand Ngon Kemoum pour succéder à Binta Touré Ndoye à la direction générale.
En partenariat avec le camerounais Afriland First Group, l’État guinéen crée sa première banque nationale d’investissement, la BNIG, qui sera pleinement opérationnelle en octobre.
Collaboration avec les Bourses africaines, accompagnement des PME, émissions obligataires… La place financière fait du continent une priorité. Ibukun Adebayo, codirecteur de la stratégie pour les marchés émergents, revient sur l’actualité de ces derniers mois.
La Caisse des dépôts et de gestion (CDG), bras financier de l’État marocain, vient de lancer le nouveau programme « 212 Founders », visant à aider les start-up locales. Les bénéficiaires pourraient recevoir une enveloppe atteignant les 10 millions de dirhams.