La Banque africaine de développement va soutenir financièrement le projet d’électrification rurale, périurbaine et urbaine du Niger (Pepern) afin de renforcer la capacité de production du pays et de l’aider à fournir de l’électricité à la totalité de sa population d’ici neuf ans.
Tous les individus sont soumis à des aléas, y compris en matière d’espérance de vie, qui peuvent avoir de lourdes conséquences financières. Le décès d’un chef de famille peut priver ses proches de revenus. De même, les personnes âgées sont susceptibles de rencontrer des difficultés financières si elles ne disposent pas d’une épargne suffisante et qu’aucun proche n’est en mesure de les aider. Pour permettre aux individus de se protéger contre ces risques, les sociétés d’assurances privées fournissent des services d’assurance sur la vie, dont le principe s’appuie sur plusieurs méthodes de gestions des risques (incitation à la précaution, mutualisation, partage et transfert des risques, etc.).
Sur fond de promotion du développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique, l’Agence française de développement fête son anniversaire en doublant ses fonds propres.
L’Agence française de développement aidera notamment à financer l’électrification rurale. L’aide financière française passait jusqu’ici principalement par les C2D, les contrats de désendettement et de développement, qui se poursuivront jusqu’en 2020.
Engagé depuis plusieurs mois et décidé directement par Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP Paribas, le processus de cession des parts (47 %) du groupe français dans sa filiale gabonaise, la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig), est encore loin d’être réglé : la proposition de rachat par le marocain Banque centrale populaire (BCP) a été officiellement rejetée en septembre en conseil d’administration par la partie gabonaise, qui souhaite une reprise par une banque française ou internationale.
Alors que l’Agence française de développement fête ses 75 ans, Jeune Afrique s’est penché sur la liste des pays qui bénéficient des versements les plus importants. En tête, la Colombie, le Brésil, la République dominicaine ou l’Afrique du Sud…
En République Démocratique du Congo, l’industrie des services financiers par mobile est aujourd’hui dominée par les opérateurs téléphoniques. La banque TMB a décidé de s’y mettre.
Le président de la Banque africaine de développement (BAD) a achevé sa prestigieuse liste de vice-présidents et peut désormais terminer la grande réorganisation qu’il a entreprise. Un défi loin d’être aisé à relever.
C’est la première incursion de Brazzaville sur le marché des obligations dans la zone Cemac. Selon nos informations, la levée de fonds prévue est de 150 milliards de F CFA (229 millions d’euros).
La Banque centrale tunisienne (BCT) a validé, à l’occasion de sa réunion du mercredi 30 novembre, l’introduction de la devise chinoise, le yuan, dans son panier de réserves en devises.
Le géant marocain des phosphates OCP s’apprête à lancer un important emprunt obligataire pour développer ses capacités de production, dans le sillage du méga contrat industriel passé avec l’Éthiopie à la mi-novembre.
Lors de la conférence de presse de clôture mercredi 30 novembre, Youssef Chahed, chef du gouvernement, a estimé que la Tunisie était de retour en force sur la scène économique mondiale.
International Financial Services (IFS Mauritius), intermédiaire depuis 20 ans des acteurs européens et américains investissant en Afrique, est racheté entièrement par un investisseur basé à Jersey (dépendance de la Couronne britannique).
Selon nos informations, le leader marocain des produits laitiers (marques Danone, Centrale, Jamila ou encore Lait de croissance) réfléchit sérieusement à sa sortie de la Bourse de Casablanca.
Le holding commun à la Banque Centrale Populaire (BCP) marocaine et à l’Atlantic Financial Group (AFG) ivoirien a conclu avec l’African Guarantee Fund (AGF) une convention de 30 millions de dollars pour soutenir les PME ouest-africaines.
Reporté à plusieurs reprises, le mégaprojet du « Port Financier de Tunis » — vaste projet immobilier au nord de Tunis — a finalement été remis sur le tapis, dimanche, sous l’impulsion du chef du gouvernement tunisien Youssef Chahed à la veille de l’ouverture de la conférence nationale de relance de l’investissement « Tunisia 2020 ».
British Arab Commercial Bank (BACB), qui a ouvert un bureau de représentation en Côte d’Ivoire en novembre, vient de boucler sa première opération, un financement de 25 millions d’euros au bénéfice du négociant Société Amer et Frères (SAF) Cacao, le numéro deux du secteur après l’américain Cargill.
L’offre publique d’achat, dont les résultats publiés mi-novembre sont passés inaperçus, a rencontré un succès mitigé auprès des petits porteurs. Pour certains experts de Place de Tunis, ce demi-échec peut être perçu comme un signe d’optimisme. Explications.
Sept ans après l’abandon de sa monnaie nationale qui détenait le taux d’inflation le plus élevé du monde, la Banque centrale du Zimbabwe met en circulation ce lundi des « billets d’obligation » indexés sur le dollar. Ils sont censés pallier la pénurie de devises étrangères et relancer la consommation.
Dans un entretien à Jeune Afrique, la Banque africaine de développement indique qu’une partie de ses équipes quittera le siège pour
rejoindre ses cinq bureaux régionaux. On sait déjà que trois de ces bureaux seront situés à Johannesburg, Nairobi et Tunis.
Neuf mois après l’obtention de son agrément de l’administration du ministre de l’économie et des finances Adama Koné, l’assureur marocain Wafa Assurance a ouvert une filiale à Abidjan, dédiée à l’assurance vie et à l’assurance non vie.
Après le succès de son introduction en Bourse, le groupe burkinabè entend poursuivre son expansion en Afrique de l’Ouest. Ses nouveaux objectifs : le Sénégal et le Bénin.
Pour la 8e rencontre du Club des investisseurs de Proparco, la filiale de l’Agence française de développement dédiée au secteur privé a convié mardi environ 160 participants au pavillon Gabriel, dans le 8e arrondissement de Paris.
Anima investment network, un réseau regroupant des agences gouvernementales et des organismes privés de la zone euro-méditerranéenne, dresse le bilan de dix ans d’investissements étrangers dans la région.