Selon des sources financières, le FMI a demandé à l’État tunisien de préparer une provision de 400 millions de dinars au titre d’une première tranche d’indemnités que celui-ci pourrait être amené à verser à ABCI Investments.
Development Partners International va investir 100 millions de dollars dans Atlantic Business International, holding commun entre le marocain Banque populaire et l’ivoirien Atlantic Financial Group (AFG).
Le groupe bancaire basé à Lomé va émettre 35 milliards de F CFA (53,36 millions d’euros) en billets de trésorerie sur le marché de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Ces ressources, explique la direction d’Oragroup, serviront à « amplifier » son développement.
Selon les informations de « Jeune Afrique », le conflit entre le groupe agro-industriel Tarraf et la filiale sénégalaise de Société générale est sur le point d’être résolu.
Relancer les investissements en Afrique, tel est l’un des objectifs assignés au nouveau – et déjà contesté – patron du principal fonds souverain du pays. Portrait.
New Development Bank (NDB), mise sur pied en 2014 par les cinq grands pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud – BRICS), a signé un accord de partenariat stratégique avec la banque sud-africaine Standard Bank, ont fait savoir les deux institutions fin août. Objectif : favoriser les investissements de NDB dans l’économie de la nation arc-en-ciel.
Le président angolais José Eduardo dos Santos a procédé ce lundi a un mini-remaniement ministériel. Parmi les sortants : Armando Manuel, ministre des Finances depuis trois ans et demi. Le ministre de l’agriculture a également été remplacé.
Selon l’agence américaine « Bloomberg », les offres de deux acquéreurs potentiels de la participation du britannique Barclays dans sa filiale panafricaine ont connu plusieurs à-coups au cours des derniers mois, compliquant un processus enclenché au premier semestre 2016.
Le capital-investisseur britannique Actis est entré au capital du groupe pharmaceutique Les Laboratoires Médis, présent en Tunisie et en Algérie, acquérant à travers cette opération la participation de l’investisseur panafricain AfricInvest.
Le spécialiste ivoirien du textile Uniwax lance une offre publique de vente pour financer un programme d’expansion de ses installations, sur la période 2016-2019.
La Banque centrale du Nigerian (CBN) est revenue jeudi sur sa décision de suspendre huit banques du marché international des changes, pour ne pas avoir versé l’argent des revenus pétrolier qu’elles devaient au gouvernement depuis un an.
L’agence de notation WARA a confirmé la note d’investissement (A-) de Total Sénégal, avec une perspective stable. Malgré le recul de son chiffre d’affaires en 2015 (-15,6 %), le leader sénégalais de la distribution de carburants conserve ses parts de marché et sa marge de profit.
La Banque africaine de développement (BAD) a été l’un des principaux acteurs de la 6e Conférence de Tokyo pour le développement en Afrique (Ticad VI), organisée les 27 et 28 août à Nairobi. Charles Boamah, vice-président pour la finance de la BAD, a répondu aux questions de « Jeune Afrique » sur la place de l’institution panafricaine dans la coopération entre le Japon et les pays du continent.
Cette mesure est censée répondre aux « frustrations des Kényans au sujet du coût du crédit », selon le président Uhuru Kenyatta. Elle est vivement contestée par l’industrie bancaire et les analystes financiers.
Deux mois après la mise en oeuvre d’un taux de change fluctuant du naira, rompant avec une politique de strict contrôle face au dollar, et alors que le pays voit sa croissance ralentir et ses réserves en dollars diminuer, la Banque centrale du Nigeria se fait plus pressante vis-à-vis des banques commerciales du pays.
Selon les informations de « Jeune Afrique », les deux sociétés de gestion et d’intermédiation se sont arrogées la part du lion, dans une opération publique de vente, au grand dam de leurs concurrentes.
Ecobank Transnational Incorporated et l’ancien président de son conseil d’administration, le Nigérian Kolapo Lawson, démissionnaire en 2013 durant la crise de gouvernance traversée par le groupe panafricain, ont trouvé un accord financier mettant un terme aux procédures judiciaires qui les opposaient.
Le groupe télécoms sud-africain va céder 4 % supplémentaires de son capital à des investisseurs sud-africains noirs, en conformité avec les quotas imposés par le gouvernement.
L’association des personnels de la Banque mondiale n’y va pas par quatre chemins pour dénoncer le mode de désignation du président de l’institution de Bretton Woods.
KCB M-Pesa, la plateforme mobile d’épargne et de crédit ouverte en partenariat avec la célèbre application de paiement mobile de Safaricom a permis la délivrance de 10,3 milliards de shillings kényans (88,2 millions d’euros) de prêts compris entre 10 et 400 euros en un an et demi, a fait savoir l’opérateur téléphonique kényan jeudi.
Le groupe bancaire panafricain a vu son bénéfice courant croître de +5 % au premier semestre 2016, malgré un environnement macroéconomique difficile en Afrique du Sud et le recul du naira nigérian.
Désormais à la tête du fonds spécialisé dans les infrastructures, le Camerounais définit ses ambitions pour ce véhicule d’investissement soutenu par vingt-deux pays actionnaires.
Un article de l’agence « Bloomberg » mettant en exergue la chute du naira et le rétablissement du rand sud-africain a déclenché des réactions en série pointant le « recul » de l’économie nigériane. Les chiffres racontent une autre histoire. Décryptage.
Les autorités camerounaises ont conclu des accords de financement pour le complexe sportif d’Olembé, au nord de Yaoundé. D’un coût de 163 milliards de F CFA (248,5 millions d’euros), sa construction doit durer 30 mois. Le chantier a été confié au groupe de BTP italien Piccini.
Dans sa nouvelle édition double n°2901-2902, en kiosques du 14 au 27 août, « Jeune Afrique » présente une enquête exclusive sur la stratégie et les ambitions en Afrique du milliardaire Jean-Claude Mimran, le puissant patron de la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS). Découvrez également un focus sur les retards du projet de métro d’Abidjan et un dossier sur l’économie du sport en Afrique.
Le gouvernement libyen soutenu par les Nations unies a annoncé lundi la nomination d’un comité intérimaire de cinq membres pour gérer les avoirs du fonds souverain du pays qui se montent à 67 milliards de dollars (60 milliards d’euros).