Le président burkinabè, Michel Kafando, a lancé le 08 décembre la deuxième phase du projet Ziga qui vise à porter les capacités de traitement actuelles de la Société nationale des eaux à 7 500 mètres cubes par heure. Pour un coût de 158,5 millions d’euros.
La justice béninoise a ordonné l’arrêt des travaux du chemin de fer ouest-africain réalisé par Bolloré et une procédure arbitrale internationale a été lancée. Derrière cette offensive, deux groupes qui s’estiment lésés.
Cet accord de financement, signé en marge du Forum sur la coopération sino-africaine de Johannesburg, finance l’extension de la nouvelle ligne ferroviaire Mombasa-Nairobi.
L’accord de prêt de 200 milliards de F CFA (305 millions d’euros) vise à financer l’axe autoroutier Aéroport Blaise-Diagne-Mbour-Thiès, d’une longueur de 55 kilomètres.
Le Premier ministre burkinabè, Yacouba Zida, a lancé ce vendredi les travaux de construction de l’échangeur du nord à Ouagadougou, la capitale burkinabé. Son coût est de 107 millions d’euros.
L’agence kényane pour le développement de la culture du thé (KTDA) a obtenu un prêt de 55 millions de dollars auprès de quatre institutions de développement afin de financer la construction de sept petites centrales hydroélectriques.
Renaissance du chemin de fer, construction de quartiers résidentiels, rénovation du patrimoine… L’État ne lésine pas sur les moyens pour rendre à la capitale son lustre d’antan et attirer les visiteurs.
Selon un document vu par Jeune Afrique, la Cour commune de justice et d’arbitrage a annulé la sentence rendue début 2014, qui avait condamné la Guinée à payer plus de 38 millions d’euros à Getma, filiale du groupe Necotrans.
Le groupe énergétique africain Eranove, qui contrôle notamment la Compagnie ivoirienne d’électricité, la Société de distribution d’eau de la Côte d’Ivoire et la Sénégalaise des Eaux, vise une introduction coordonnée sur les deux marchés.
Réputé pour son travail à la tête de l’Autorité des ports et zones franches, le président de l’Autorité des ports et zones franches de Djibouti a une nouvelle mission : créer un gigantesque complexe logistique de 3 500 hectares.
Malgré les nombreux projets d’infrastructures en cours, Djibouti n’assure toujours pas son avenir. Il frôle même le surendettement. Seule solution : se diversifier davantage.
En bisbille avec Dubaï, le pays semble lui préférer les investisseurs chinois. Au grand dam des Occidentaux, qui craignent de perdre leur influence et de voir d’importants chantiers leur échapper.
Dans un arrêt rendu le 19 novembre, la Cour d’appel de Cotonou a ordonné l’arrêt des travaux entrepris par le groupe Bolloré entre le Bénin et le Niger.
Le gouvernement marocain a confirmé mardi qu’il ne résilierait pas le contrat de gestion déléguée des services d’eau et d’électricité liant le français Amendis à la ville de Tanger, en raison du coût jugé trop onéreux de cette rupture. Mais depuis début octobre, la contestation populaire ne faiblit pas contre la filiale de Veolia.
Selon des informations de Challenges, confirmées par Reuters, la société française Geftarail demande à la Cour internationale d’arbitrage l’arrêt des travaux lancés sur le tronçon Cotonou-Niamey de la boucle ferroviaire que construit le groupe Bolloré depuis 2014.
La ville de Johannesburg, capitale économique d’Afrique du Sud et plus grande métropole du pays, a imposé des restrictions d’eau aux habitants en raison de la sécheresse qui frappe le pays. La pire en trente ans : trois provinces ont déjà déclaré l’état de catastrophe naturelle.
Ces ressources, prévues dans le cadre de l’aide au développement française, serviront notamment à la réhabilitation du pont Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan et à la réalisation d’une quinzaine de ponts métalliques à l’intérieur du pays.
Le chef de l’État malien Ibrahim Boubacar Keïta a lancé, fin octobre, les travaux de construction de l’autoroute Bamako-Koulikoro et du pont de Kayo sur le fleuve Niger. Ils vont coûter un peu plus de 84 milliards de F CFA (128 millions d’euros).
L’institution financière européenne est associée, pour le financement de cette infrastructure portuaire, à la Banque africaine de développement et au Fonds arabe pour le développement économique.
Le holding financier français Électricité et eaux de Madagascar (EEM), spécialisé dans l’immobilier, l’hôtellerie, le papier et les casinos, cherche à développer des projets en Côte d’Ivoire.
Selon nos informations, Suez sera responsable de la production et de l’assainissement de l’eau du projet de la ville d’Eko Atlantic, le long de l’île Victoria, à Lagos.
Le pays des mille collines pourrait accueillir en 2020 une base aérienne pour drones. Ce « drone-port » est promu par l’architecte britannique Norman Foster et activement soutenu par les autorités rwandaises, qui souhaitent capitaliser sur l’image technophile du pays.
Négligée par Hassan II, la « perle du Nord » a retrouvé des couleurs avec Mohammed VI, qui en a pratiquement fait la troisième capitale du royaume. Reportage.
Raymond Tshibanda, le ministre congolais (RDC) des Affaires étrangères et chef de la délégation de son pays au Sommet du forum Inde-Afrique (IAFS) à New Delhi, a rencontré son homologue Sushma Swaraj mardi 27 octobre. Pour Jeune Afrique, il revient sur cet entretien bilatéral.
Vincent Bolloré aurait mandaté des banques pour travailler sur une introduction en Bourse de son projet de réseau ferroviaire en Afrique, connu sous le nom de Blueline, ont dit à « Reuters » trois sources proches du dossier.
L’opérateur émirati, déjà actif sur le port de Dakar, a signé un protocole d’accord avec les autorités sénégalaises pour la construction d’une nouvelle plateforme logistique dans la périphérie de la capitale sénégalaise.
La Banque africaine de développement (BAD) mettra à la disposition du Sénégal 70,61 millions d’euros pour l’édification de son Parc technologique numérique. Objectif ? Faire du pays un centre d’excellence des Technologies de l’information et de la communication (TIC).