Quatre militaires français étaient entendus mardi à Paris dans l’enquête sur les soupçons de viols d’enfants lors d’un déploiement en Centrafrique, a appris l’AFP de source proche de l’enquête.
La Haute cour de Pretoria a décidé mardi d’accorder une libération sous caution au champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius, récemment condamné en appel pour meurtre.
Les avocats de Guillaume Soro ont dénoncé lundi le mandat d’amener émis par la justice française à l’encontre du président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire.
Le champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius, condamné en appel pour le meurtre de sa petite amie, comparaîtra mardi devant la justice pour demander sa mise en liberté sous caution, a indiqué lundi la porte-parole du ministère de la Justice, Lusanda Ntuli.
On le savait déjà inculpé de crime contre l’humanité. Le général Gilbert Diendéré est également poursuivi depuis près d’un mois notamment pour assassinat et recel de cadavre dans l’affaire Sankara, selon le parquet militaire.
Jeudi, la Cour suprême a requalifié les faits reprochés à Oscar Pistorius en « homicide volontaire », invalidant le jugement de première instance de la juge Thokozile Masipa. Celle qui avait condamné, à la surprise générale, le « Blade Runner » sud-africain pour homicide « involontaire » sur sa petite amie Reeva Steenkamp,en décembre 2014, est maintenant la cible de toutes les critiques.
Après le général Hassan, condamné à 5 ans de prison ferme, c’est au tour du général Djamel Kehal Medjdoub d’écoper de 3 ans de prison dans le cadre de l’affaire dite de Zéralda.
Le champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius a été reconnu « coupable de meurtre » avec préméditation jeudi lors de son procès en appel. En première instance, il avait été condamné à cinq ans de prison pour l’homicide involontaire de sa petite amie Reeva Steenkamp en octobre 2014.
Le procureur général de la République démocratique du Congo (RDC), Flory Kabange Numbi, s’en est notamment pris mercredi à ceux qui invoquent l’article 64 de la Constitution congolaise.
Des officiers de l’armée française, dont le chef de l’opération Turquoise au Rwanda en 1994, ont réfuté les accusations « invraisemblables » et « monstrueuses » de complicité de génocide portées par des associations parties civiles dans une enquête menée à Paris.
Commandant de la force africaine en attente de l’Union africaine, le général guinéen Sékouba Konaté a plaidé coupable pour une affaire de « trafic de devises » datant de 2013.
Un responsable au ministère de l’Intérieur a confirmé l’arrestation du journaliste Ismaïl Alexandrani, mais a refusé de préciser les faits qui lui sont reprochés.
Selon un document vu par Jeune Afrique, la Cour commune de justice et d’arbitrage a annulé la sentence rendue début 2014, qui avait condamné la Guinée à payer plus de 38 millions d’euros à Getma, filiale du groupe Necotrans.
La Cour suprême d’appel a annoncé mardi en Afrique du Sud qu’elle rendrait jeudi sa décision dans l’affaire du champion paralympique Oscar Pistorius, condamné en première instance à 5 ans de prison pour avoir tué sa compagne.
Dans son dernier documentaire, « La liberté en prime », projeté à Dakar en avant-première vendredi dernier, le réalisateur Nils Tavernier explore une expérience inédite menée à la prison de Thiès, au Sénégal : l’enseignement de l’escrime comme outil de réinsertion pour les mineurs incarcérés.
Les quatre hommes, accusés du meurtre d’un vendeur d’or, ont été lynchés dimanche à Kouroussa dans l’est de la Guinée. Ils avaient été extraits de la prison où ils étaient détenus par des habitants s’opposant à leur éventuelle libération.
L’ex-président ivoirien est physiquement et mentalement apte à participer à son procès pour crimes contre l’humanité, qui doit s’ouvrir le 28 janvier, ont décidé vendredi les juges de la Cour pénale internationale (CPI).
Le chef de l’État équato-guinéen en est convaincu : l’affaire des biens mal acquis, cette enquête diligentée par la justice française concernant divers achats immobiliers qu’aurait effectués à Paris son fils Teodorin en puisant dans les caisses de son pays, n’est qu’un malentendu.
Le général Hassan, ancien chef de la lutte antiterroriste en Algérie, a été condamné jeudi à cinq ans de prison ferme. « Une première pour un haut responsable des services secrets », a annoncé l’un de ses avocats, qui compte saisir la cour de cassation.
Il n’a pas posé le pied sur le sol nigérien en homme libre. Soupçonné de trafic d’enfants, le principal opposant au président Mahamadou Issoufou a été arrêté dès son arrivée à Niamey.
Le procès des assassins présumés du général Robert Guéï, ex-chef de la junte en Côte d’Ivoire tué en 2002 dans des circonstances troubles, va s’ouvrir plus de 12 ans après les faits.
Le collectif d’avocats de l’ex-ministre burkinabè des Affaires étrangères Djibrill Bassolé s’est indigné mercredi du fait que l’enregistrement controversé commenté dans la presse, présenté comme une « pièce maîtresse » contre leur client écroué pour « haute trahison », ne figure pas dans la procédure.
Au moins 93 Africains sont passés par les geôles de la base américaine de Guantánamo, à Cuba, depuis 2002. Parmi eux, plusieurs y sont encore détenus, la plupart depuis plus de treize ans. Qui sont-ils ?
À Paris, l’Assemblée nationale pourrait se saisir du dossier de Michel Thierry Atangana, ce Français d’origine camerounaise emprisonné dans son pays natal pendant dix-sept ans et libéré le 24 février 2014.
Seydou Kane, homme d’affaires d’origine malienne opérant au Gabon, a été interpellé mercredi matin à l’aéroport de Paris Charles-de-Gaulle avant d’être déféré devant un juge d’instruction. Le nom de ce proche de Maixent Accrombessi avait été cité dans l’enquête pour corruption visant ce dernier en France.
Après un long séjour médical au Maroc consécutif à une fracture du fémur, Blaise Compaoré, l’ancien président burkinabè, a regagné fin septembre sa villa abidjanaise du quartier de Cocody-Ambassades, à deux pas de celle de l’ancien président Konan Bédié.
Quatre jours après les attentats qui ont fait 129 morts à Paris, Salah Abdeslam, l’un des principaux suspects, est toujours en cavale. Mais l’enquête progresse aussi bien en France qu’en Belgique.
L’ancien patron de la Fédération internationale d’athlétisme a-t-il reçu de l’argent des Russes pour fermer les yeux sur un système institutionnalisé de dopage ? La justice française l’a mis en examen.
L’enquête, qui se partage entre la France et la Belgique, avance rapidement, trois jours après les attentats ayant fait 129 morts à Paris. Le point sur les dernières évolutions.