Le chanteur algérien Cheb Mami et la société d’édition EMI ont été condamnés par la justice française, vendredi, à verser 200 000 euros à un auteur algérien pour avoir plagié ses textes.
Les autorités de la Tanzanie ont extradé vendredi Jamil Mukulu, chef des Forces démocratiques alliées (ADF) vers l’Ouganda. Il sera jugé à Kampala pour des exactions meurtrières commises en Ouganda mais aussi au Nord-Kivu dans l’est de la RDC.
Israël a libéré tôt dimanche le Palestinien Khader Adnane après près de deux mois d’une grève de la faim l’ayant mis « en danger de mort », qui a été accueilli en héros dans son village du nord de la Cisjordanie occupée.
Les autorités suisses ont autorisé vendredi le transfert aux États-Unis de l’un des sept responsables de la Fifa, arrêtés fin mai à Zurich et soupçonnés d’être impliqués dans le récent scandale de corruption qui a éclaboussé Sepp Blatter et ses collaborateurs.
Un ancien membre de l’ANC, le parti au pouvoir en Afrique du Sud, a demandé l’asile politique en France. Réfugié sur l’île de la Réunion, André Lötter, qui s’est distingué pour avoir dénoncé des fraudes électorales en 2013, affirme avoir reçu des menaces de mort.
Entendu mercredi matin par des juges guinéens à Ouagadougou, où il vit en exil depuis 2010, l’ancien chef de la junte guinéenne, Moussa Dadis Camara, a été inculpé dans le cadre de l’enquête sur le massacre du 28 septembre 2009.
L’ancien chef de la junte guinéenne est entendu depuis mercredi matin par des juges guinéens à Ouagadougou, où il vit en exil depuis 2010. Il pourrait être inculpé d’ici la fin de la semaine.
Des magistrats français se rendent dans la capitale centrafricaine pour interroger les six enfants de neuf à treize ans qui se disent victimes d’abus sexuels commis entre décembre 2013 et juin 2014 par des soldats de la force Sangaris.
Bill Cosby, accusé de viol par une trentaine de plaignantes, admet dans un document juridique avoir donné un puissant sédatif à au moins une femme pour avoir des relations sexuelles avec elle.
Une nouvelle loi antiterroriste pourrait être promulguée dans les prochains jours par le président égyptien, Abdel Fatah al-Sissi. Mais des voix s’élèvent contre cette législation qui brimerait la liberté de la presse.
Le gouvernement sud-soudanais a annoncé dimanche que, si les faits dénoncés par l’ONU étaient avérés, il punirait les membres de son armée coupables de violations des droits de l’homme.
« Des progrès importants et encourageants ont été effectués dans l’enquête sur le massacre d’au moins 157 personnes en septembre 2009 à Conakry, la capitale guinéenne », a affirmé samedi la procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda.
La police marocaine a interpellé vendredi deux jeunes hommes pour avoir agressé des femmes qui avaient été elles-mêmes arrêtées mi-juin en raison de leur robe jugée provocante.
Julius Malema a annoncé jeudi son intention de porter plainte contre le vice-président sud-africain Cyril Ramaphosa, qu’il accuse d’être le commanditaire de la tuerie de Marikana, en août 2012, lorsque la police avait abattu 34 mineurs.
C’est sur la base d’un mandat d’arrêt européen qu’Emmanuel Karenzi Karake, patron des services secrets rwandais, a été arrêté fin juin à Londres. Au-delà de la polémique sur ce dossier particulier, les États africains – y compris le Rwanda – bénéficient eux aussi des services internationaux de coopération policière, notamment du plus connu d’entre eux : Interpol. Le point en carte et infographies.
D’après « Le Figaro », des juges d’instruction français ont relevé une série d’erreurs « tragiques » qui ont conduit au crash du vol AH5017 d’Air Algérie, dans lequel 116 personnes ont été tuées en juillet 2014 dans le nord du Mali.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) s’est rendue ce jeudi 2 juillet pour trois jours en Guinée afin de faire le point sur l’enquête sur le massacre d’au moins 157 personnes en septembre 2009 à Conakry.
Anciens ministres, députés, chercheurs, écrivains ou encore juristes des quatre coins du monde… Une trentaine de personnalités ont demandé mercredi la libération de Fred Bauma et Yves Makwambala, deux militants congolais détenus à Kinshasa depuis plus de 100 jours.
Maroc, Égypte, Algérie : des autorités morales plus ou moins autoproclamées traquent les jupes trop courtes et les déhanchements trop suggestifs. Difficile de les raisonner en période de ramadan…
Selon l’expertise judiciaire française, le meurtre des religieux, revendiqué le 21 mai 1996 dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé (GIA) algérien, pourrait avoir eu lieu un mois plus tôt. La thèse d’une décapitation post-mortem est privilégiée.
Deux soldats français soupçonnés d’attouchements sur deux fillettes au Burkina Faso ont été entendus mercredi à Ouagadougou par des enquêteurs français et burkinabè, avant leur transfert en France, où ils sont arrivés jeudi matin.
François Hollande sera en visite à Yaoundé vendredi. L’un des dossiers chauds entre les deux pays reste la coopération judiciaire. Plus d’une cinquantaine de commissions rogatoires internationales émises par la justice française n’auraient jamais reçu de réponse des autorités camerounaises.
Saïd Assoumani, président de l’Association des familles des victimes du crash de l’avion de la Yemenia en 2009, qui avait fait 152 morts au large de Moroni, déplore le blocage des procédures d’indemnisations en cours.
Deux soldats français ont été accusés mardi de pédophilie sur une fillette de 5 ans au Burkina Faso. Ils ont été immédiatement suspendus par le ministère français de la Défense.
À la demande de la partie civile et de la défense, le tribunal a décidé mardi de reporter au 30 octobre le procès de 24 Tunisiens accusés d’être impliqués dans l’assassinat en 2013 de l’opposant tunisien Chokri Belaïd.
Devant le Palais de justice de Tunis s’est ouvert mardi le procès de 24 Tunisiens accusés d’être impliqués dans l’assassinat en 2013 de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, farouche critique des islamistes.
Qui sont les officiers de l’armée ivoirienne – depuis la crise postélectorale de 2010-2011, elle rassemble les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), favorables à Alassane Ouattara, et les ex-Forces de défense et de sécurité (FDS), pro-Gbagbo – récemment inculpés par la justice ivoirienne de crimes d’une extrême gravité ?
À quatre mois de la présidentielle en Côte d’Ivoire, plusieurs ONG s’inquiètent de l’accélération soudaine des enquêtes menées depuis plusieurs mois sur les violences de la crise postélectorale de 2010-2011. Et demandent au pouvoir de respecter ses engagements en faveur d’une justice plus équitable. Interview de Me Drissa Traore, vice-président de la FIDH.
Le patron des services secrets rwandais a été interpellé par la police britannique. La raison : un mandat d’arrêt controversé émis en 2008 par un juge espagnol.