De confortables honoraires, une grande exposition médiatique, le tout dans un cadre juridique familier, hérité du temps des colonies… Quelles que soient la complexité des dossiers ou la réputation de leurs puissants clients, les plus grands ténors français se pressent sur le continent pour les défendre.
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C’est aujourd’hui que débute le procès de Simone Gbagbo et de ses 82 coaccusés, tous proches du régime de l’ancien président Laurent Gbagbo, devant la justice ivoirienne. Un procès historique.
Le procès de l’ex-président du Parlement du Niger et opposant, Hama Amadou, et d’une vingtaine de personnes dont son épouse, impliquées dans un présumé trafic international de bébés, s’ouvrira le 2 janvier à Niamey, a indiqué mercredi un avocat de la défense.
L’annonce de la réouverture du dossier de l’assassinat de Norbert Zongo en 1998 a été faite mardi par la ministre de la Justice, Joséphine Ouédraogo, lors du Conseil des ministres.
Selon l’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de Niamey que J.A. a consultée, Hama Amadou, son épouse et trente coïnculpés devront passer en jugement dans une vaste affaire de trafic de bébés. Alizéta Ouédraogo, l’ancienne « belle-mère nationale » du Burkina Faso, est quant à elle pour l’instant simplement citée.
À l’appel du « Balai citoyen », quelque 300 personnes ont déposé dimanche des balais sur la tombe de Thomas Sankara pour commémorer le 65e anniversaire de sa naissance. Ce geste symbolique vise à demander « justice » pour l’ex-président du Burkina Faso, assassiné lors d’un coup d’État le 15 octobre 1987.
Vingt-six hommes accusés d’avoir organisé ou participé à des « orgies homosexuelles » en Egypte ont comparu dimanche pour « débauche » quinze jours après leur interpellation dans un hammam du Caire.
Une juge de Caroline du Sud vient d’annuler la condamnation à mort de George Stinney, un afro-américain de 14 ans exécuté le 16 juin 1944 dans une prison de Columbia pour le meurtre supposé de deux jeunes filles blanches.
Le vote d’une loi sécuritaire très controversée jeudi par l’Assemblée nationale kényane s’est déroulé dans un chaos indescriptible. Les membres de l’opposition dénoncent un coup sévère porté aux libertés démocratiques.
En déclarant mercredi « nul et non avenu » le congrès du Front populaire ivoirien (FPI), la justice ivoirienne a donné raison à Pascal Affi N’Guessan, qui souhaitait d’abord voir tranchée la question de la validité de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du parti.
Après 20 ans de travail et 61 condamnations, le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) s’apprête à fermer ses portes. Avec un bilan en demi-teinte.
Face à la procédure lancée par Winnie Madikizela-Mandela pour récupérer la maison familiale de Qunu (Sud), les exécuteurs testamentaires de l’ex-président sud-africain entendent bien défendre les volontés de Madiba.
Reconnue coupable de « maltraitance » grâce à une vidéo rendue publique qui la montrait en train de rouer de coups une fillette dont elle avait la garde, une baby-sitter ougandaise a été condamnée lundi à quatre ans de prison à Kampala.
Le parquet égyptien a déféré samedi devant la justice militaire un nouveau groupe de 438 partisans du président islamiste destitué Mohamed Morsi pour des violences meurtrières en 2013.
Le Parlement de Madagascar a voté un projet de loi sur l’abolition de la peine de mort, une peine qui n’est toutefois plus appliquée depuis plus de 50 ans, a-t-on appris vendredi de source parlementaire.
Le parti de Laurent Gbagbo a appelé vendredi la Cour pénale internationale (CPI) à abandonner ses poursuites contre l’ex-président ivoirien, son épouse et son ancien ministre Charles Blé Goudé, tous trois accusés de crimes contre l’humanité, « pour sa propre crédibilité ».
Soupçonnés d’implication dans l’attaque de la résidence du président Condé en 2011, le général Nouhou Thiam et le colonel Sadou Diallo attendent depuis plus de 3 ans d’être jugés. Jeudi, un tribunal de Conakry a condamné l’État à leur verser des dommages et intérêts pour « détention abusive ».
L’ancien ministre sénégalais Karim Wade, poursuivi pour enrichissement illicite au Sénégal, et l’expert financier Pape Alboury Ndao, qui est à l’origine de certaines des accusations contre le fils de l’ancien président, seront confrontés le 22 janvier 2015.
Le Burkina Faso célébrait jeudi le 54e anniversaire de son indépendance. À cette occasion, le président de transition Michel Kafando a annoncé la tenue prochaine d’états généraux de la justice.