Au début de la troisième semaine du procès d’Oscar Pistorius, les témoins se succèdent à la barre. Parmi eux, Sean Rens, le fournisseur d’armes de l’ancien champion paralympique sud-africain.
Pascal Simbikangwa, qui dit avoir traversé le génocide rwandais sans voir un seul cadavre, a été condamné vendredi à 25 ans de réclusion criminelle pour son rôle dans cette tragédie, 20 ans après les massacres dans lesquels le rôle de Paris a été très critiqué.
Un projet de loi approuvé vendredi en conseil des ministres veut entériner la fin de la possibilité pour les juridictions militaires de poursuivre des civils. Un changement qui intervient après le procès très controversé en 2013 de 25 Sahraouis devant des tribunaux militaires.
Après six semaines d’audience, la cour d’assises de Paris doit rendre ce vendredi son verdict dans l’affaire Pascal Simbikangwa. L’épilogue attendu d’un procès historique puisqu’il s’agit du premier tenu en France sur le génocide rwandais de 1994.
Devant le tribunal de Pretoria, la défense d’Oscar Pistorius a été mise à mal, mercredi et jeudi, par les analyses de la porte des WC à travers laquelle l’ancien champion d’athlétisme a tiré le 14 février 2013, tuant sa petite amie, Reeva Steenkamp.
Difficultés financières, pressions familiales, femmes indépendantes… Au sud du Sahara, les divorces l’emportent de plus en plus sur la tradition. Faut-il s’en inquiéter ?
L’avocat général a achevé son réquisitoire dans le procès de Pascal Simbikangwa, accusé de complicité de génocide devant la justice française. Celui-ci a demandé mercredi la réclusion à perpétuité à l’encontre de l’ancien capitaine rwandais.
La procureure générale de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, séjourne depuis mardi à Kinshasa. Un entretien avec le président congolais, Joseph Kabila, est prévu le 13 mars pour solliciter « davantage de coopération » de la RDC.
À deux jours du dénouement du premier procès lié au génocide de 1994 devant la justice française, l’accusé Pascal Simbikangwa doit faire face aux réquisitions.
Le procès de Pascal Simbikangwa entre aujourd’hui dans sa dernière ligne droite. L’avocat général demande désormais qu’il soit poursuivi comme « auteur » de crime de génocide, et pas seulement comme complice. Une lourde peine devrait être requise ce 12 mars contre l’accusé.
À au moins deux reprises, Oscar Pistorius avait déjà fait un usage imprudent d’une arme à feu. C’est ce qu’a déclaré mardi un des amis du champion paralympique sud-africain devant le tribunal de Pretoria.
Plus de quatre ans après le massacre du stade de Conakry, l’enquête se poursuit. Trop lentement selon les familles des victimes. Mais la procédure pourrait s’accélérer.
Au procès de Pascal Simbikangwa, jugé à Paris pour le génocide au Rwanda en 1994, un deuxième Tutsi « sauvé » par l’accusé a témoigné. Une fois encore, les affirmations de Simbikangwa sur son niveau de responsabilité et de connaissance des massacres ont été fragilisées.
L’ancien président égyptien, Hosni Moubarak, a comparu mercredi devant un tribunal égyptien pour détournement de fonds publics, selon des images diffusées par la télévision nationale. Il est poursuivi en tout dans quatre affaires distinctes.
Le procès de Pascal Simbikangwa est entré lundi dans sa troisième semaine. Au menu : le parcours le l’accusé, premier Rwandais jugé en France pour le génocide de 1994, dans les années précédant le drame.
Le procès intenté pour « espionnage » en vue de mener des « actions terroristes » au président islamiste égyptien Mohamed Morsi, destitué par l’armée, a été ajourné dimanche au 23 février après le retrait des avocats de la défense.
Le champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius, qui sera jugé en mars pour le meurtre de sa petite amie Reeva Steenkamp, a brisé le silence vendredi sur son site Internet. L’athlète évoque sa « tristesse » et sa « douleur », un an après le drame.
Ibuka, l’association des victimes du génocide de 1994 au Rwanda, a dénoncé mercredi un « déni de justice », au lendemain de l’acquittement en appel de deux ex-responsables militaires rwandais par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Né au Sénégal quand le pays était une colonie française, naturalisé français en 1966 et vivant depuis plusieurs dizaines d’années à Rouen, Sikhou Camara, 68 ans, pensait avoir mérité sa retraite de soudeur en tant que citoyen français. La justice a pourtant déchu ce père de famille de sa nationalité française, pour un vice de forme.
Mardi, la chambre d’appel du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) a acquitté deux officiers condamnés en première instance et réduit la peine d’un troisième. Mais le verdict concernant le principal accusé, le général Augustin Bizimungu, dont le cas a été disjoint, a été reporté sans explication.
Un juge de la plus haute cour espagnole a lancé lundi contre l’ancien président chinois Jiang Zemin un mandat d’arrêt international pour « génocide » au Tibet. Le mandat vise aussi l’ancien Premier ministre Li Peng et trois autres anciens hauts fonctionnaires chinois.
Le Bénin s’apprête à s’adresser directement à la ministre française de la Justice, Christiane Taubira, pour obtenir un procès de Patrice Talon pour tentative d’empoisonnement de Boni Yayi. Mais l’homme d’affaires ne se laisse pas faire.
La Tunisie commémore jeudi l’assassinat, survenu il y a un an, de l’opposant de gauche Chokri Belaïd, deux jours après l’annonce de la mort de son assassin présumé.
Initialement prévue ce mercredi, l’ouverture du procès du président kenyan, Uhuru Kenyatta, a été reportée fin janvier sine die. Pour la défense, cela prouve que le dossier pour crimes contre de l’accusation s’est « effondré ».
Le procès de Pascal Simbikangwa, premier homme jugé pour le génocide rwandais de 1994 par la justice française, s’est ouvert mardi. Ses avocats ont échoué à faire annuler les débats. Mais l’homme est en état de donner du fil à retordre à ses accusateurs.
Le procès de Pascal Simbikangwa, un ancien capitaine de l’armée rwandaise, accusé d’avoir pris part au génocide de 1994, s’est ouvert mardi devant le tribunal de grande instance de Paris.
Le président islamiste destitué Mohamed Morsi a comparu samedi de nouveau devant les juges dans un procès lié à la mort de manifestants lors de violences sous sa présidence à laquelle l’armée a brutalement mis fin il y a sept mois en Égypte.