Le très médiatique procès du champion handisport sud-africain Oscar Pistorius, accusé d’avoir assassiné sa compagne Reeva Steenkamp, pourrait se prolonger jusqu’à la mi-mai, la Cour n’ayant encore entendu qu’un faible nombre de témoins.
Vingt-heures après son inculpation pour génocide et crimes contre l’humanité, le médecin Charles Twagira a été placé en détention provisoire vendredi à Paris. Celui-ci est écroué une semaine seulement après la condamnation historique d’un autre Rwandais, Pascal Simbikangwa, par la justice française.
Selon des sources judiciaires, des juges parisiens ont mis en examen jeudi Charles Twagira. Le médecin rwandais, installé en France, serait poursuivi notamment pour complicité de génocide et crimes contre l’humanité.
Selon son avocat, Teodorin Obiang a été mis en examen mardi pour blanchiment d’argent dans l’affaire dite des « biens mal acquis ». Le fils du président de la Guinée équatoriale a été informé de cette décision lors d’une audition en visio-conférence.
Le Maroc a déposé plainte contre le journal « El País » auprès du parquet général espagnol, a-t-on appris mercredi. Le royaume accuse le quotidien d’apologie du terrorisme après que celui-ci a diffusé, le 13 septembre, une vidéo d’Aqmi dénonçant la corruption et appelant au jihad dans le pays.
Un expert balistique de la police sud-africaine a affirmé mercredi devant le tribunal de Pretoria que Reeva Steenkamp aurait eu le temps de crier et de signaler sa présence lorsqu’Oscar Pistorius tirait dans les toilettes. Une déposition qui contredit la version de l’accusé.
Le Parquet burundais a requis mardi la peine maximale. Jugés pour « participation à un mouvement insurrectionnel armé », 46 militants du parti d’opposition MSD risquent la prison à perpétuité.
Au début de la troisième semaine du procès d’Oscar Pistorius, les témoins se succèdent à la barre. Parmi eux, Sean Rens, le fournisseur d’armes de l’ancien champion paralympique sud-africain.
Pascal Simbikangwa, qui dit avoir traversé le génocide rwandais sans voir un seul cadavre, a été condamné vendredi à 25 ans de réclusion criminelle pour son rôle dans cette tragédie, 20 ans après les massacres dans lesquels le rôle de Paris a été très critiqué.
Un projet de loi approuvé vendredi en conseil des ministres veut entériner la fin de la possibilité pour les juridictions militaires de poursuivre des civils. Un changement qui intervient après le procès très controversé en 2013 de 25 Sahraouis devant des tribunaux militaires.
Après six semaines d’audience, la cour d’assises de Paris doit rendre ce vendredi son verdict dans l’affaire Pascal Simbikangwa. L’épilogue attendu d’un procès historique puisqu’il s’agit du premier tenu en France sur le génocide rwandais de 1994.
Devant le tribunal de Pretoria, la défense d’Oscar Pistorius a été mise à mal, mercredi et jeudi, par les analyses de la porte des WC à travers laquelle l’ancien champion d’athlétisme a tiré le 14 février 2013, tuant sa petite amie, Reeva Steenkamp.
Difficultés financières, pressions familiales, femmes indépendantes… Au sud du Sahara, les divorces l’emportent de plus en plus sur la tradition. Faut-il s’en inquiéter ?
L’avocat général a achevé son réquisitoire dans le procès de Pascal Simbikangwa, accusé de complicité de génocide devant la justice française. Celui-ci a demandé mercredi la réclusion à perpétuité à l’encontre de l’ancien capitaine rwandais.
La procureure générale de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, séjourne depuis mardi à Kinshasa. Un entretien avec le président congolais, Joseph Kabila, est prévu le 13 mars pour solliciter « davantage de coopération » de la RDC.
À deux jours du dénouement du premier procès lié au génocide de 1994 devant la justice française, l’accusé Pascal Simbikangwa doit faire face aux réquisitions.
Le procès de Pascal Simbikangwa entre aujourd’hui dans sa dernière ligne droite. L’avocat général demande désormais qu’il soit poursuivi comme « auteur » de crime de génocide, et pas seulement comme complice. Une lourde peine devrait être requise ce 12 mars contre l’accusé.
À au moins deux reprises, Oscar Pistorius avait déjà fait un usage imprudent d’une arme à feu. C’est ce qu’a déclaré mardi un des amis du champion paralympique sud-africain devant le tribunal de Pretoria.
Plus de quatre ans après le massacre du stade de Conakry, l’enquête se poursuit. Trop lentement selon les familles des victimes. Mais la procédure pourrait s’accélérer.
Au procès de Pascal Simbikangwa, jugé à Paris pour le génocide au Rwanda en 1994, un deuxième Tutsi « sauvé » par l’accusé a témoigné. Une fois encore, les affirmations de Simbikangwa sur son niveau de responsabilité et de connaissance des massacres ont été fragilisées.
L’ancien président égyptien, Hosni Moubarak, a comparu mercredi devant un tribunal égyptien pour détournement de fonds publics, selon des images diffusées par la télévision nationale. Il est poursuivi en tout dans quatre affaires distinctes.
Le procès de Pascal Simbikangwa est entré lundi dans sa troisième semaine. Au menu : le parcours le l’accusé, premier Rwandais jugé en France pour le génocide de 1994, dans les années précédant le drame.
Le procès intenté pour « espionnage » en vue de mener des « actions terroristes » au président islamiste égyptien Mohamed Morsi, destitué par l’armée, a été ajourné dimanche au 23 février après le retrait des avocats de la défense.
Le champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius, qui sera jugé en mars pour le meurtre de sa petite amie Reeva Steenkamp, a brisé le silence vendredi sur son site Internet. L’athlète évoque sa « tristesse » et sa « douleur », un an après le drame.
Ibuka, l’association des victimes du génocide de 1994 au Rwanda, a dénoncé mercredi un « déni de justice », au lendemain de l’acquittement en appel de deux ex-responsables militaires rwandais par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Né au Sénégal quand le pays était une colonie française, naturalisé français en 1966 et vivant depuis plusieurs dizaines d’années à Rouen, Sikhou Camara, 68 ans, pensait avoir mérité sa retraite de soudeur en tant que citoyen français. La justice a pourtant déchu ce père de famille de sa nationalité française, pour un vice de forme.
Mardi, la chambre d’appel du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) a acquitté deux officiers condamnés en première instance et réduit la peine d’un troisième. Mais le verdict concernant le principal accusé, le général Augustin Bizimungu, dont le cas a été disjoint, a été reporté sans explication.