Sami Fehri, le patron d’Ettounsiya TV, s’est rendu jeudi 30 août à la justice tunisienne, qui avait ordonné son placement en détention dans une affaire de corruption remontant à l’époque Ben Ali.
Enfin un tribunal spécial pour juger l’ex-président du Tchad, Hissène Habré, en exil depuis plus de deux décennies au Sénégal ! C’est en tout cas ce que prévoit l’accord conclu entre Dakar et l’Union africaine.
Une information judiciaire pour assassinat concernant le décès de Yasser Arafat a été ouverte mardi 28 août par le parquet de Nanterre, en région parisienne.
Faut-il défendre Sami Fehri et ses marionnettes ? Depuis que la justice a ordonné, vendredi dernier, le placement en détention du patron d’Ettounsiya TV, les twittos tunisiens sont partagés.
Le fils de Mouammar Kadhafi sera jugé à partir du mois de septembre à Zenten, a annoncé jeudi 23 août le porte-parole du procureur général libyen. Il est accusé d’avoir commis des crimes contre l’humanité durant la révolution libyenne qui a renversé le régime de son père.
L’Union africaine (UA) et le Sénégal ont annoncé, mercredi 22 août, avoir signé un accord historique pour que l’ex-président tchadien Hissène Habré soit prochainement jugé à Dakar par un tribunal spécial, composé de magistrats africains et sénégalais.
Le chanteur congolais Koffi Olomidé a été condamné, jeudi 16 août, à trois mois de prison avec sursis pour avoir agressé son producteur à Kinshasa. Ce dernier a annoncé qu’il mettait fin à ses poursuites contre le chanteur et que l’incident était clos.
L’association Convergence pour l’Émergence du Congo (CEC) a engagé une action en référé (procédure d’urgence) devant le Tribunal de grande instance (TGI) de Paris. Son but : empêcher la tenue du sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à Kinshasa, du 12 au 14 octobre.
Le fait divers serait banal s’il n’impliquait la star de la rumba congolaise : Koffi Olomidé. Déjà poursuivi en France pour « viols et séquestration », le chanteur a été arrêté mercredi après une altercation avec son producteur Diego Lubaki. Son procès ce déroule en ce moment à Kinshasa.
Selon ses avocats, Jean-Pierre Bemba a confiance dans sa ligne de défense devant la CPI. Laquelle s’appuie sur les témoignages d’une soixantaine de personnes.
Le procès de l’ex-vice-président congolais, Jean-Pierre Bemba, devant la Cour pénale internationale (CPI) a repris mardi 14 août à la Haye et entre « dans une nouvelle phase », a déclaré la juge Sylvia Steiner. Après le bureau du procureur, c’est désormais au tour de la défense de présenter son dossier.
Marvin Wilson, un Africain-Américain de 54 ans condamné pour meurtre en 1998, a été exécuté mardi 8 août au Texas en dépit du fait qu’il ait été diagnostiqué comme attardé mental, a-t-on appris auprès des autorités pénitentiaires de cet États du sud des États-Unis.
Le célèbre blogueur Sofiane Cheroubi a été arrêté dimanche 5 août pour ivresse et « atteinte aux bonne moeurs ». Quelques heures plus tard, une manifestation contre le gouvernement a été violemment dispersée à Tunis
La justice sud-africaine a ouvert une enquête pour crimes de guerre présumés sur l’ex président malgache Marc Ravalomanana qui vit en Afrique du Sud depuis son renversement en 2009, a déclaré dimanche la porte-parole du parquet.
Les ennuis français du fils du président équato-guinéen s’accumulent dans l’affaire des « biens mal acquis » : cible d’un mandat d’arrêt international, privé de ses grands crus et de ses voitures de luxe, Teodorin Obiang a vu son hôtel particulier parisien saisi mi-juillet.
Vendredi 3 août, la Cour pénale internationale a annoncé que l’audience de confirmation des charges contre l’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, était reportée « jusqu’à ce que l’évaluation médicale de son aptitude à y participer soit faite ».
L’ancien président tchadien, Hissène Habré pourrait être jugé au Sénégal par un tribunal spécial composé de magistrats africains. Sous réserve d’ultimes ajustements.
La nouvelle présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, estime que la paix au Darfour est plus importante que la justice internationale. Selon elle, le président soudanais Omar el-Béchir fait partie intégrante d’une solution de paix dans son pays et ne doit pas être remis à la CPI.
Il a mené son pays au bord du gouffre. Pourtant, Silvio Berlusconi conduira sans doute la liste de son parti lors des législatives de l’an prochain. Pour sauver son empire audiovisuel et éviter une condamnation pénale.
La justice helvétique accuse Khaled Nezzar, ancien ministre algérien de la Défense, membre du Haut Comité d’État, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis en Algérie entre 1992 et 1999.
La plupart des musulmans, qu’ils soient ou non pratiquants, ont entamé le 20 juillet trente longs jours de privations. En Tunisie, comme en Algérie et au Maroc, le respect des us et interdits liés à ce mois sacré est presque aussi culturel que cultuel. À quelques différences près. Notamment au regard des non-jeûneurs.
L’ancien ministre de l’Intérieur camerounais, Marafa Hamidou Yaya, est suspecté d’avoir détourné, avec d’autres accusés, la somme de 29 millions de dollars dans l' »affaire Albatros ». Son procès a débuté sous haute tension, le 26 juillet à Yaoundé.
Incarcérés depuis quinze ans, Michel Thierry Atangana et Titus Edzoa pensaient enfin sortir de prison. Mais ils ont appris, le 18 juillet, que la procédure pourrait repartir de zéro…
Des représentants de l’Union africaine (UA) et du Sénégal ont proposé, mardi 24 juillet, de faire juger l’ex-président tchadien Hissène Habré par une Cour d’assises formée de magistrats africains et sénégalais. Une procédure extraordinaire qui serait similaire à celle mise en place au Cambodge pour juger d’anciens responsables khmers rouges.
Le Sénégal doit poursuivre « sans aucun autre délai » l’ancien président tchadien Hissène Habré, accusé de génocide, ou l’extrader, a ordonné vendredi la Cour internationale de Justice (CIJ), alors que Dakar a annoncé le début de « consultations » avec l’UA pour le juger.
Ses partisans y croyaient. Mais le miracle ne s’est pas produit. Laurent Gbagbo, 67 ans, restera en prison à Scheveningen, en proche banlieue de La Haye, jusqu’à son procès devant la CPI, qui le suspecte d’être co-auteur indirect de crimes contre l’humanité commis en Côte d’Ivoire.