Réconciliation, relance économique, dialogue avec l’opposition fidèle à Laurent Gbagbo… De passage à Paris, le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, s’est confié sur les chantiers prioritaires de son gouvernement.
La justice ghanéenne qui devait se prononcer, jeudi 20 décembre, sur la demande d’extradition du porte-parole de Laurent Gbagbo, requête formulée par la Côte d’Ivoire, a une nouvelle fois reporté sa décision, au 17 janvier 2013.
La femme de chambre guinéenne et Dominique Strauss-Kahn ont conclu un accord à l’amiable. Avec à la clé beaucoup d’argent pour la plaignante, et un mystère qui reste entier.
Accusé du délit d’homosexualité, Roger Mbédé a vu sa condamnation à trois ans de prison ferme confirmée, lundi 17 décembre, par la Cour d’appel de la chambre correctionnelle de Yaoundé.
La plainte déposée, fin novembre à Paris, par les avocats du Sénégal dans le cadre de diverses enquêtes concernant de présumés enrichissements illicites (parallèlement aux procédures engagées à Dakar), vise plusieurs personnalités nommément citées.
La justice belge s’est déclarée compétente, mercredi 12 décembre, pour enquêter sur les circonstances de l’assassinat de Patrice Lumumba, en 1961. Un « pas en direction de la vérité », selon Roland Lumumba, l’un des fils du héros de l’indépendance congolaise. Interview.
Trois ans après la révélation des détournements à la Banque des États de l’Afrique centrale, une seule personne a été condamnée. Pas un franc n’a été remboursé. Le préjudice s’élevait tout de même à 30 millions d’euros.
Le président français François Hollande a reçu son homologue tchadien Idriss Déby Itno, mercredi 5 décembre, à Paris. Au menu des discussions : le cas d’Ibni Oumar Mahamat Saleh, l’affaire de l’Arche de Zoé, la crise malienne et la situation en Centrafrique.
Le demi-frère du président togolais et ancien ministre de la Défense, Kpatcha Gnassingbé, a porté plainte pour « torture morale » contre le Togo devant la cour de la Justice de la Cedeao, qui a accepté d’en vérifier le bienfondé, mardi 11 décembre. Verdict le 21 février prochain, à Abuja.
Seuls trois des quatre militaires français accusés de l’assassinat en 2005 d’un coupeur de routes présumé, l’Ivoirien Firmin Mahé, ont été reconnus coupables. Mais le jury ne les a pas condamnés à de la prison ferme, contrairement à ce que demandait l’avocate générale.
Une plainte a été déposée à Paris, le 30 novembre, par l’État du Sénégal dans le cadre d’enquêtes sur de présumés enrichissements illicites, a appris l’AFP mercredi 5 décembre de sources concordantes. L’action vise Karim Wade, le fils de l’ex-président sénégalais Abdoulaye Wade.
L’ancienne ministre française de la Défense, Michèle Alliot-Marie, est venue témoigner au procès des quatre militaires accusés de l’assassinat de l’Ivoirien Firmin Mahé, en 2005. Elle a réaffirmé que les faits jugés étaient « inacceptables » et exposé le contexte de crise à l’époque, en Côte d’Ivoire.
Au procès des quatre militaires français accusés du meurtre de l’Ivoirien Firmin Mahé, en 2005, les proches de la victime ont enfin fait leur apparition, lundi 3 décembre. Pour eux, il y a eu méprise : un innocent a été exécuté tandis que le véritable criminel recherché à l’époque, du nom de Nestor Mahé, a été arrêté et se trouverait aujourd’hui toujours en détention.
Le procès des six membres de l’association humanitaire l’Arche de Zoé, qui avait tenté en 2007 d’exfiltrer 103 enfants du Tchad vers la France, s’ouvre lundi 3 décembre à Paris en l’absence de deux de ses principaux protagonistes et sur fond de colère des familles tchadiennes.
Le procès du jeune tribun populiste Julius Malema, qui devait comparaître vendredi devant le tribunal de Polokwane (nord) pour blanchiment d’argent, a été reporté au 23 avril 2013, le parquet ayant décidé d’ajouter le racket à la liste des chefs d’inculpation.
À Paris, au troisième jour du procès des quatre militaires français accusés de l’assassinat du « coupeur de route » ivoirien Firmin Mahé, en 2005, les langues se sont déliées. Au sujet des responsabilités présumées et de la chronologies des faits. Compte rendu.
La gestion du Festival mondial des arts nègres (qui s’est tenu à Dakar, en décembre 2010) par Sindiély Wade, la fille de l’ancien président sénégalais, pose problème.
L’ivoirien Firmin Mahé, assassiné en 2005 par des militaires de la force Licorne, était-il un coupeur de route ? L’ex-colonel Éric Burgaud en est persuadé. Mais s’il a enfin reconnu, lors du troisième jour de son procès à Paris, jeudi 29 novembre, avoir donné l’ordre explicite de le tuer, il a également à nouveau affirmé avoir traduit un ordre implicite de son supérieur, le général Poncet. Qui a lui été blanchi par la justice française.
La jeune femme de 27 ans agressée sexuellement au début de septembre par deux agents de police a vu les poursuites pour « atteinte à la pudeur » à son encontre abandonnées, jeudi 29 novembre, par le parquet de Tunis. Les policiers ont, quant à eux, été inculpés pour viol.
Paris lui a refusé sa demande d’asile mais ne veut pas pour autant l’extrader vers le Rwanda. Kigali affirme pourtant détenir « un dossier accablant » sur sa responsabilité dans le génocide. Une situation plus que délicate pour l’ex-première dame Agathe Habyarimana, qui vit en France depuis 1994.
Quatre militaires français de l’ancien contingent « Licorne », basé en Côte d’Ivoire, sont accusés d’avoir tué l’Ivoirien Firmin Mahé, en 2005. Lors du procès qui s’ouvre mardi 27 novembre, le gratin de l’armée française va défiler à la barre.
Sept barons du régime Wade ont été convoqués par la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Parmi eux, Karim Wade, le fils de l’ancien président. Jusqu’où ira la traque des biens mal acquis ?
Accusé du délit d’homosexualité passible de cinq ans d’emprisonnement, Roger Mbédé comparaissait en appel, mercredi 21 novembre à Yaoundé. Le jugement doit être rendu le 3 décembre.
Le Rwandais Léon Mugesera, extradé vers Kigali par le Canada en janvier, a demandé un report de son procès lors de sa comparution à Kigali, le 19 novembre. Il est poursuivi pour incitation au génocide lors d’un discours haineux prononcé en 1992.
L’ancien secrétaire général de la présidence du Tchad, Mahamat Saleh Annadif, est revenu en pleine lumière. Le 1er novembre, il a été nommé représentant de l’UA en Somalie. Avec pour mission de mettre le pays des Shebab sur la voie de la stabilité.
Karim Wade a bien l’intention de se présenter à sa convocation devant les gendarmes, jeudi 15 novembre. L’ancien ministre et fils du président sénégalais Abdoulaye Wade réfute les allégations de corruption portées contre lui, et fustige « l’amateurisme » du procureur en charge de son dossier.
L’ancien secrétaire général de la présidence du Tchad, Mahamat Saleh Annadif, a été nommé, jeudi 1er novembre, représentant spécial pour la Somalie et chef de la Mission de l’UA en Somalie (Amisom). Il remplace le malien Boubacar Gaoussou Diarra, nommé à cette occasion représentant spécial de l’UA pour les Grands Lacs.