La justice sud-africaine a refusé la libération sous caution de Pascal Kanyandekwe, accusé de la tentative d’assassinat du général rwandais en exil Faustin Kayumba Nyamwasa. D’après la cour, il a proposé un million de dollar aux policiers lors de son arrestation.
Prévue le 7 octobre, la citation à comparaître du président de la Ceni, accusé de fraude par l’UFDG, a été reportée au 21 octobre. Soit à la veille du second tour de l’élection présidentielle, qui pourrait ainsi se trouver compromis.
Une histoire d’amour qui finit mal ? Le joueur d’origine congolaise évoluant au PSG, Claude Makelele, est au cœur d’un fait divers qui pourrait se terminer devant les tribunaux.
Même s’il y a peu de chances de sortir du quartier pénitenciaire de la CPI avant la présidentielle congolaise, rien ne s’oppose juridiquement à une candidature de Jean-Pierre Bemba.
La décision de justice israélienne est désormais sans appel : la militante pro-palestinienne et prix Nobel de la paix, Mairead Maguire, sera bientôt expulsée.
Quatre semaines après son courroux contre la presse privée locale, le chef de l’État togolais, Faure Gnassingbé a décidé de surseoir à tous les procès qu’il a engagés contre trois organes de presse.
Un an après le massacre du stade de Conakry, les responsables présumés n’ont toujours pas été inquiétés. En attendant, les deux candidats à la présidentielle guinéenne promettent la constitution d’une Commission Vérité et Réconciliation.
Au bénéfice d’un nouveau procès, le magnat égyptien de l’immobilier Hicham Talaat Moustafa écope de 15 ans de prison ferme. Condamné à mort lors de son premier procès, il était accusé d’avoir assassiné son ancienne maîtresse, Suzanne Tamim, une chanteuse libanaise très populaire.
Au moins un des fils du président tchadien Idriss Déby Itno a été interrogé par la police à N’Djamena ce mardi. D’après RFI, un des gendres du président aurait été victime d’une tentative d’assassinat commandité par d’autres membres de la famille.
Un an après le massacre de dizaines d’opposants au stade de Conakry, le 28 septembre 2009, l’enquête nationale piétine et le sentiment dominant est celui de l’impunité des responsables présumés du drame. Les organisations de défense des droits de l’homme comptent sur le futur président pour accélérer la justice et menacent de recourir à la Cour pénale internationale.
En confondant « inflation » et « fellation », dimanche dernier sur Canal +, l’ex-garde des Sceaux a sans doute commis un savoureux lapsus. Mais elle est loin d’être la seule.
L’ancien vice-consul de Tunisie à Strasbourg, Khaled Ben Saïd, a été condamné par la justice française à douze ans de réclusion criminelle pour « complicité de tortures par instructions ». Les faits, qui se sont produits à Jendouba, remontent à octobre 1996.
L’ancien vice-consul de Tunisie à Strasbourg, déjà condamné à huit ans de prison en 2008, est jugé à partir de ce jeudi 23 septembre par la cour d’appel de Nancy. Les faits qui lui sont reprochés sont particulièrement graves.
La défense de Jean-Pierre Bemba, le leader du Mouvement de libération du Congo, espère obtenir de nouveaux financements et que le procès pourra s’ouvrir avant la fin de l’année.
Cinq marines sont accusés par la justice américaine d’avoir, de manière gratuite, assassiné des civils dans la région de Kandahar. Ils risquent très, très gros.
Le frère du journaliste camerounais Bibi Ngota, mort en prison en avril, a assuré dimanche que ce dernier avait été « torturé », alors qu’une enquête officielle a affirmé qu’il n’avait pas été victime de mauvais traitements.
L’un des deux livres parus sur Carla Bruni-Sarkozy revient sur les accusations de complot qui avaient visé Rachida Dati en mars 2010. Un épisode aussi savoureux que machiavélique.
Michel de Bonnecorse, dont les confidences à Jeune Afrique ont coûté un procès intenté par la veuve du juge Borrel et le Syndicat de la magistrature, a obtenu un non-lieu.
Le médecin rwandais Eugène Rwamucyo, soupçonné d’être impliqué dans le génocide de 1994 a été libéré par la justice française. Le Rwanda, qui réclamait son extradition, s’est dit « indigné et déçu ».
Dénoncée par ses partisans, la condamnation de Marc Ravalomanana complique la sortie de crise. Depuis son exil sud-africain, le président déchu dénonce une manoeuvre politique.
Un homme d’affaires sud-africain voulait brûler samedi des Bibles en réponse à la menace d’un pasteur américain de mettre le feu au Coran, mais il en a été empêché par un tribunal de Johannesburg, a indiqué l’avocat qui a porté l’affaire devant la justice.
Un tribunal de la banlieue de Conakry a condamné Ben Sékou Sylla, le président de la Ceni, à un an de prison pour fraude électorale. Une décision qui jette un froid à un peu plus d’une semaine du second tour.
Manque de moyens, lenteur, corruption… Comme ailleurs en Afrique, rares sont ceux qui font totalement confiance à l’institution judiciaire. Montrés du doigt, magistrats et avocats se plaignent également. Reportage.
Le procès intenté par deux rescapées du génocide rwandais contre l’État belge et trois de ses militaires s’est ouvert mercredi devant un tribunal de Bruxelles, qui devra dire si la Belgique est coupable d’avoir laissé se produire un massacre de plus de 2 000 réfugiés.
Après le report du procès de la filière cacao au 16 novembre, on est loin de l’épilogue dans cette affaire qui a secoué les milieux politique, financier et médiatique ivoiriens.
L’opposition centrafricaine réclame une enquête internationale sur la disparition de l’opposant et chef rebelle Charles Massi, et contesté la conclusion du parquet de Bangui, qui a estimé mi-août qu’il était « présumé vivant ».