Les « petites pierres à l’aspect sale » que l’ex-mannequin Naomi Campbell aurait reçues de la part de Charles Taylor refont surface. Jeremy Ratcliffe, un responsable du Fonds Mandela, auquel elle les avait données, les a remises à la police sud-africaine.
L’affaire du diamant offert à Naomi a-t-elle fait pschittt ? Convoquée contre son gré pour raconter comment elle aurait reçu un diamant brut de Charles Taylor en 1997 après un dîner chez Nelson Mandela, Naomi Campbell a sans doute plus servi la défense de l’ex-dictateur que l’accusation du procureur…
La comparution tant attendue de Naomi Campbell devant les juges de Charles Taylor a tenu ses promesses : elle a admis avoir reçu en cadeau des « pierres », vraisemblablement des diamants bruts.
Le report du témoignage de Naomi Campbell a été rejeté par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) qui juge l’ancien président du Libéria Charles Taylor. Sauf incident, c’est donc aujourd’hui que la belle et la brute seront confrontées…
Accusé d’avoir versé des pots-de-vin au régime de Saddam Hussein, GE accepte de payer une amende de 23,4 millions de dollars pour échapper aux poursuites.
Après la publication d’un article sur les barons de la filière café-cacao, notre confrère ivoirien Théophile Kouamouo a été placé en détention. Pour le contraindre à révéler ses sources. Il raconte.
Entre Naomi Campbell et Charles Taylor, c’est l’histoire d’une rencontre improbable, avec Mandela dans le rôle de l’entremetteur. Début août, la top-modèle doit aller témoigner face à l’ex-président libérien jugé à La Haye pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Cheikh Ag Aoussa, ex-chef rebelle touareg malien, a été arrêté et déféré dimanche devant la justice à Gao (nord) pour « menaces de mort » sur un élu, a appris l’AFP de source judicaire.
Un groupe de 50 députés sur les 83 que compte le parlement béninois ont demandé vendredi la mise en accusation du président Boni Yayi pour « forfaiture et parjure » dans l’affaire des « Madoff béninois ».
L’ex-président nigérien Mamadou Tandja et son ministre de l’Intérieur Albadé Abouba, détenus depuis le coup d’État du 18 février, ne seront pas « relâchés », a affirmé samedi le chef de la junte, en réponse à l’ancien parti au pouvoir qui a exigé leur « libération immédiate ». Le général Salou Djibo a par ailleurs promis de faire « payer » les auteurs de détournements de fonds publics sous le régime Tandja (1999-2010).
La chape de plomb pesant sur le rôle de l’armée française lors du génocide de 1994 ne devrait pas être levée de sitôt. La Commission consultative du secret de la défense nationale a émis un avis négatif – qui devrait être suivi par les autorités – concernant la demande d’accès à un document de la juge d’instruction Florence Michon.
La Cour de justice de la Cedeao a accepté d’examiner une plainte émanant du clan Tandja, qui réclame la remise en liberté de l’ex-président nigérien. Mais cette requête n’est pas du goût du principal intéressé, qui veut à tout prix éviter une action en justice susceptible d’en entraîner d’autres. Explications.
Trois ans après la diffusion d’un film amateur dans lequel ils humiliaient des employés noirs, des étudiants blancs de l’Université de Bloemfontein ont été jugés coupables.
Détenus pour vol de documents officiels relatifs à l’enquête sur la filière cacao, les trois journalistes du quotidien « Le Nouveau courrier » ont été relaxés.
Enquêtes, interpellations, dénonciations… La junte promet de lutter contre la corruption et de tourner la page Mamadou Tandja. Depuis mars, le pays vit au rythme des scandales et des révélations.
Un collaborateur du procureur d’Abidjan a été écroué vendredi pour son implication présumée dans la publication des conclusions d’une enquête sur des malversations dans la filière cacao ivoirienne, qui a déjà mené trois journalistes en prison.
Quatre militaires français seront jugés par la Cour d’assises du Tribunal aux armées de Paris pour le meurtre de l’Ivoirien Firmin Mahé dans un blindé français en 2005. Le général Henri Poncet bénéficie d’un non-lieu.
Les journalistes Théophile Kouamouo, Stéphane Guédé et Saint Claver Oula restent incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan. Le verdict du tribunal a été repoussé.
Considéré comme le principal responsable de l’enlèvement de trois Espagnols en Mauritanie, Omar Sid’Ahmed Ould Hamma a été condamné à douze ans de prison. Certains de ses complices présumés ont été acquittés quand d’autres suspects, en fuite, seront jugés par contumace.
Le procès des auteurs du rapt de trois Espagnols fin novembre 2009, dont deux sont toujours détenus par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a débuté mardi devant la cour criminelle de Nouakchott, en présence de quatre accusés sur onze
Le buteur décisif de l’OM en finale de la Ligue des Champions face au Milan AC, en 1993, Basile Boli est inquiété par la brigade de répression des fraudes. Son association pour « Entreprendre et réussir en Afrique » est visée par une enquête.
Le procureur de la Cour pénale internationale a fait appel de la décision de remise en liberté de Thomas Lubanga, formulée la veille par le président de Chambre à la CPI, Adrian Fulford.
Co-présider une réunion de l’ONU sur les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) avec Paul Kagamé a posé quelques problèmes de conscience à José Luis Rodriguez Zapatero. Il a préféré dépêcher sur place son ministre des Affaires étrangères.