L’opposante rwandaise Diane Rwigara, qui avait tenté de se présenter à la dernière présidentielle face à l’homme fort du pays, Paul Kagame, a été inculpée avec sa mère et sa sœur pour « incitation à l’insurrection », a-t-on appris mardi. Une audience préliminaire est programmée ce vendredi 6 octobre à Kigali.
Associations et organisations des droits de l’Homme dénonçaient depuis des mois les pratiques de « refoulement à chaud » de Madrid dans ses enclaves de Melilla et Ceuta, au nord du Maroc. La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné mardi 3 octobre l’Espagne pour avoir renvoyé collectivement, et sans aucune décision administrative ou judiciaire, des migrants à peine arrivés en terres espagnoles.
Entendu par la Cour pénale internationale dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ancien chef d’état-major des armées du président Gbagbo, est soumis depuis ce lundi 2 octobre aux questions de la défense. Hier, il a livré sa part de vérité sur les journées chaotiques d’avril 2011.
Réputées proches de la confrérie turque de Fethullah Gülen, accusé par Ankara d’être à l’origine de la tentative de coup d’État durant l’été 2016, les écoles sénégalaises du groupe Yavuz Sélim ont été fermées lundi matin par les forces de l’ordre.
C’est la surprenante déclaration qu’a livré l’ancien chef d’état-major de Laurent Gbagbo à la barre de la Cour pénale internationale, ce lundi 2 octobre. Interrogé par la défense de l’ancien président ivoirien le général Philippe Mangou est revenu dans le détail sur le financement de cette milice d’anciens rebelles qui combattaient les forces pro-Gbagbo pendant la crise post-électorale.
Pour marquer le 12ème anniversaire du référendum de septembre 2005 portant approbation de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la télévision algérienne a diffusé, jeudi 29 septembre, un « reportage » avec des images atroces, horribles et insoutenables de victimes du terrorisme barbare qui a endeuillé l’Algérie au cours des années 1990.
Au quatrième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu jeudi 28 septembre sur la question des mercenaires et des miliciens, utilisés par le camp Gbagbo, ainsi que sur la répression de certaines manifestations proches d’Alassane Ouattara lors de la crise postélectorale.
Les magistrats de la Grande Île ont décrété mercredi 27 septembre une grève illimitée pour protester contre les atteintes à l’indépendance de la justice. Ils ont été rejoints par les greffiers.
Dans un communiqué diffusé la semaine dernière, la société Commisimpex, qui affirme avoir conclu d’importants contrats d’infrastructures avec le Congo dans les années 1980 pour lesquels elle n’a jamais été payée, a annoncé vouloir mettre en oeuvre une garantie contractuelle accordée par le pays sur ses revenus pétroliers.
Au troisième jour de son témoignage devant la CPI, mercredi 27 septembre, dans le procès Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu sur l’attitude jugée par moments « inamicale » de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et sur les décrets signés par Laurent Gbagbo instaurant des couvre-feux sur l’étendue du territoire ivoirien.
À l’occasion de la commémoration des huit ans du massacre du 28 septembre 2009, un groupe de victimes porte plainte contre Sékouba Konaté, ministre de la Défense nationale au moment des faits puis président par intérim de la Transition militaire entre décembre 2009 et décembre 2010.
Au deuxième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, mardi 26 septembre, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes, est largement revenu sur les circonstances de la démission envisagée par l’ancien chef de l’État et l’utilisation de mercenaires par ce dernier.
Dans un communiqué, la CPI estime ce mardi 26 septembre que la détention est la seule mesure qui garantisse la participation de l’ancien président à son procès.
Au cœur d’un vaste montage fiscal impliquant trois de ses sociétés, l’homme d’affaires béninois Sébastien Ajavon n’a pas su convaincre la commission chargée de recevoir son recours. Le paiement des 167 milliards de francs CFA (250 millions d’euros) mis à sa charge sous forme de redressement fiscal semble désormais inévitable. À moins de lancer des manœuvres dilatoires qui, au vu des éléments du dossier, ne feraient que différer l’imputation.
Plus de 100 000 victimes ivoiriennes du déversement de déchets toxiques par le cargo Probo Koala, à Abidjan en 2006, tenteront à nouveau, mercredi 27 septembre, de convaincre la justice néerlandaise de juger la société affréteuse Trafigura. Objectif : obliger cette dernières à verser des indemnités.
C’est un officier général très attendu qui témoigne depuis lundi à la barre de la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit, Charles Blé Goudé. Voici ce qu’il a dit le premier jour de son audition.
L’encombrement de l’instruction et le rôle limité du parquet ont créé une chaîne pénale trop longue, qui rend les citoyens suspicieux à l’égard de la justice.
Des juges français ont été désignés pour enquêter sur une plainte d’ONG qui accusent la banque BNP Paribas d’avoir financé un achat d’armes au profit de la milice hutu pendant le génocide contre les Tutsi en 1994 au Rwanda, a appris lundi l’AFP de source proche du dossier.
Accra et Abidjan se sont engagés à respecter la frontière maritime tracée par un tribunal international pour régler un contentieux entre les deux pays sur des réserves d’hydrocarbures offshore.
Les procès de 1 600 membres présumés du groupe jihadiste nigérian Boko Haram détenus dans des camps militaires à travers le pays commenceront le mois prochain, a annoncé dimanche le ministère de la Justice.
Un tribunal du Caire a condamné 14 personnes dimanche, dont deux à perpétuité, pour avoir participé à des violences ayant provoqué une bousculade meurtrière devant un stade du Caire en 2015.
Le parquet de Bunia dans le nord-est de la République démocratique du Congo a libéré samedi neuf activistes, qui avaient été détenus quatre jours pour avoir tenté de célébrer la mémoire des manifestants tués par les forces de l’ordre il y a un an, a-t-on appris auprès de la défense.
En détention depuis plus de deux ans, trois étudiants camerounais sont accusés d’avoir relayé un message de recrutement du groupe jihadiste Boko Haram. « Un SMS sarcastique », jugent pour leur part trois ONG, qui ont réclamé jeudi leur libération. Leur procès en appel a été une nouvelle fois reporté.
Après cinq ans d’exil aux Seychelles, Sakr el-Materi aimerait rentrer en Tunisie. Pour cela, il a rencontré Rached Ghannouchi, le chef du parti islamiste Ennahdha, a qui il a transmis ses conditions.
La Cour suprême kényane a détaillé mercredi matin les raisons de l’invalidation du scrutin du 8 août, en évoquant « des révélations perturbantes, voire saisissantes ».
La top-model sud-africaine qui accuse Grace Mugabe de l’avoir agressée s’est présentée mardi 19 septembre devant la justice pour contester l’immunité diplomatique accordée à l’épouse du président zimbabwéen, première étape d’une longue procédure judiciaire.